Dmitri Shostakóvich 4 Versos, Opp. 146 Vídeos
Última actualización
2024-04-26
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Dimitri Chostakovitch Alexandre Kantorow Kantorow Mikko Franck Rachmaninov Hanon Orchestre Philharmonique Radio France 1933
Alexandre Kantorow joue, avec l'Orchestre philharmonique de Radio France dirigé par Mikko Franck, le 2e concerto pour piano et orchestre de Dimitri Chostakovitch. ALEXANDRE KANTOROW piano CHRISTOPHE GAUGUÉ alto MATHILDE CALDERINI flûte NICOLAS TULLIEZ harpe ORCHESTRE PHILHARMONIQUE DE RADIO FRANCE MIKKO FRANCK direction Chostakovitch compose son Deuxième concerto pour piano à l’intention de son fils Maxime, près d’un quart de siècle après le Premier concerto (1933). La jeunesse du soliste, qui le créa le jour de son dix-neuvième anniversaire, l’a-t-elle incité à écarter l’ironie grinçante et l’atmosphère oppressante qui lui sont coutumières ? La clarté et l’exubérance dominent en effet dans les deux mouvements extrêmes, tandis que l’Andante, certes mélancolique, reste dépourvu des accents tragiques qui résonnent dans la Symphonie n° 11, créée quelques mois plus tard. Le premier Allegro commence dans l’esprit d’une comptine, avant un épisode martial où les scansions de la caisse claire accompagnent le piano claironnant. Le soliste expose ensuite un nouvel élément : une mélodie claire et ingénue dans le registre aigu, qui réapparaît plus loin avec un tout autre caractère, lorsque l’orchestre la clame en tutti. Dans la dernière partie du mouvement, l’effervescence s’accroît encore, accompagnée d’un déferlement de virtuosité. L’Andante au rythme de sarabande contraste avec ces pages bouillonnantes : pas de clavier percussif, ni de bois stridents, mais un lyrisme à la nostalgie poignante qui regarde vers le piano postromantique (on songe inévitablement à Rachmaninov). L’expression reste intériorisée, telle une confidence où le musicien dévoilerait son intimité. Le finale interrompt cette émouvante cantilène. Il rappelle l’esprit du premier mouvement, mais avec davantage de vivacité primesautière. Dans la partie de soliste de cet Allegro, sorte de polka bousculée par des contretemps, des traits vifs-argents alternent avec des octaves ou des accords martelés. Le piano atteint des sommets de virtuosité, Chostakovitch pastichant avec humour les études (notamment celle de Hanon) travaillées par son fils pour parfaire sa technique.
Quatuor Debussy Debussy Alexandre Borodine Dimitri Chostakovitch Leoš Janáček Kreutzer Fiocco 1880 1924 1960 2021
Contraint d’annuler à nouveau le deuxième atelier gratuit de la saison (qui devait se tenir dans le studio du Théâtre de la Croix-Rousse), le Quatuor Debussy s’engage pour vous proposer de vivre ce concert en ligne depuis chez vous ! Dans un format entièrement digital, ce rendez-vous spécialement tourné vers la prochaine création du Quatuor Debussy, Égérie(s) (création en février 2021), est proposé lundi 1er février 2021 à 19h. Ce prochain atelier 100% digital vous plongera dans l’univers de trois grands compositeurs d’Europe de l’Est : Alexandre Borodine, Dimitri Chostakovitch et Leoš Janáček. / Programme musical : Alexandre Borodine, Quatuor n°2, 1er et 2e mouvement, Allegro moderato – Notturno (1880) Dimitri Chostakovitch, Quatuor n°7, 1er et 2e mouvement, Allegretto – Lento (1960) Leoš Janáček, Quatuor n°1 en mi mineur, Sonate à Kreutzer, 4e mouvement, Con moto – Adagio – Più mosso (1924) / Captation & montage : Y-kwis Prise de son et mixage : Enrico Fiocco & Christophe Germanique Une vidéo réalisée en partenariat avec le Théâtre de la Croix-Rousse à Lyon (Février 2021) / Plus d'informations sur www.quatuordebussy.com
Roger Désormière Dmitri Chostakovitch Vaillant Vaillant Couturier Perret Bise Levant 1932 1933 1935 1936 1938
Marche. Musique : Dmitri CHOSTAKOVITCH (extraite d'un film soviétique datant de 1932) Paroles françaises : Paul Vaillant-Couturier, ou Jeanne Perret (1933) ? Cette chanson a été éditée à part et diffusée en France en 1933. En 1936, elle devient LA chanson du Front Populaire, reprise dans les rassemblements populaires, lors des journées de grève de juin, et dans les camps de jeunes par les premiers bénéficiaires des congés payés (le couplet était souvent chanté à 2 voix). Chorale Populaire de Paris, sous la direction de Roger Désormière, en 1938 (Référence Chant du Monde 610/10677 1/2 hpp) : Superbe interprétation de cette lumineuse chanson de Chostakovitch, dirigée de main de maître par Roger Désormière (qui avait effectué un voyage en URSS durant l'été 1935), avec les ponctuations instrumentales de fin de couplets. Toute une époque... - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - Ma blonde, entends-tu dans la ville Siffler les fabriques et les trains ? Allons au-devant de la bise Allons au-devant du matin. Debout, ma blonde, chantons au vent! Debout, amis! Il va vers le soleil levant, notre pays! La joie te réveille, ma blonde Allons nous unir à ce chœur Marchons vers la gloire et le monde Marchons au-devant du bonheur. Et nous saluerons la brigade Et nous sourirons aux amis Mettons en commun, camarades Nos plans, nos travaux, nos soucis. Dans leur triomphante allégresse Les jeunes s'élancent en chantant Bientôt un' nouvelle jeunesse Viendra au-devant de nos rangs. Amis, l'univers nous envie Nos cœurs sont plus clairs que le jour Allons au-devant de la vie Allons au-devant de l'amour. Help us caption & translate this video! (http•••)
Nesterenko Shostakovich Maxim Shostakovich 1974 1975 1976
Evgeny Nesterenko singing Shostakovich's Suite on Verses of Michelangelo Buonarroti, op. 145a, with the Moscow Radio SO under Maxim Shostakovich, recorded in 1976. Nesterenko premiered this work for voice and piano on 23 December 1974, and the orchestral version on 31 January 1975. Maxim confided to Nesterenko that his father considered this his 16th symphony. Timing below: 07:06 - Truth 11:38 - Morning 14:38 - Love 18:36 - Parting 21:10 - Rage 22:37 - Dante 26:28 - Exile 32:14 - Creation 35:02 - Night 39:26 - Death 44:29 - Immortality Родион Щедрин: «В последние годы он создал ряд великих сочинений: Сонату для альта, Сюиту на стихи Микеланджело, Пятнадцатый квартет... Он уже сознавал, что умирает, и в какой-то мере писал их, отрешась от мелочей, мелочных забот. Когда Шостакович писал Сюиту на стихи Микеланджело, он как-то пригласил на дачу послушать и спросил о впечатлении....И я сказал, что последняя часть выбивается из стиля сочинения, так как все сочинение атонально, а последняя часть тональная. Шостакович лукаво посмотрел и сказал: "Раз вы угадали, то я вам скажу, что еще в девятилетнем возрасте сочинил пьесу фортепианную, тему которой почему-то запомнил. Я вас прошу, не рассказывайте никому, пока я жив, а то все подумают, что я сызмальства думал о своем величии"». (Из интервью, взятого О. Дворниченко. Публикуется впервые). Евгений Нестеренко - Шостакович - Сюита на стихи Микеланджело
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