Jacques Jacques Le pont des soupirs Vídeos
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2024-03-21
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Jacques Offenbach Jean Christophe Keck 1861 2022
*** Jacques Offenbach : Le Pont des soupirs (1861) Ouverture Orchestrion Sibeloformer, dir. Jean-Christophe Keck Orphée 58, 2022 Jean-Christophe Keck Editeur 2022 Enregistré le 16 mars 2022 au Studio du Pied du ban Partition et matériel d'orchestre en location. Nous contacter : •••@••• N'hésitez pas à vous abonner à notre chaîne Youtube et à cliquer sur la clochette pour être tenu informé de nos prochaines publications.
Jacques Offenbach Halévy Hortense Schneider Schneider Dupuis Charles Lecocq Opéra Comique 1865 1867 1868 1869 1874
Couplets de l'Incognito de la Périchole La Périchole est un opéra-bouffe de Jacques Offenbach, sur un livret de Ludovic Halévy et Henri Meilhac inspiré d'une comédie de Prosper Mérimée : Le Carrosse du Saint-Sacrement créé le 6 octobre 1868 au théâtre des Variétés dans une version en deux actes, puis dans une version remaniée en 3 actes et 4 tableaux le 25 avril 1874, toujours aux Variétés. En 1867, Offenbach est présent sur quatre théâtres à la fois : La Vie parisienne continue de divertir le public de l'Exposition universelle au Palais-Royal, tandis que La Grande-duchesse de Gérolstein triomphe aux Variétés avec Hortense Schneider (les deux œuvres étant dues à la plume de ses librettistes favoris, Henri Meilhac et Ludovic Halévy), que les Menus-Plaisirs font florès avec la seconde version de Geneviève de Brabant et que l'Opéra-Comique donne à nouveau sa chance au compositeur avec Robinson Crusoé, dans lequel Offenbach alterne avec talent romantisme et bouffonnerie, sans convaincre tout à fait. En revanche, 1868 est une année plus sombre : Le Château à Toto, nouvel opéra-bouffe signé Offenbach, Meilhac et Halévy, surprend en raison d'un livret où la nostalgie et la lassitude de la grande ville ont pris la place de la bouffonnerie échevelée à laquelle le trio a habitué son public (Halévy traverse cette année-là une phase de dépression). Le Pont des soupirs (2e version en quatre actes) a fait son retour le 8 mai au théâtre des Variétés et se solde par un demi-échec. Ce n'est que fin septembre qu'Offenbach retrouve les faveurs du public aux Bouffes-Parisiens, où il donne deux opérettes en un acte : Le Fifre enchanté, créé en 1865 à Bad Ems et dont c'est ici la première apparition à Paris, et L'Île de Tulipatan, toutes deux saluées par la critique, la première pour sa musique, la seconde pour son excellent et audacieux livret. Fort de ce succès, Offenbach revient aux Variétés avec Hortense Schneider et Dupuis, sur un nouveau livret de Meilhac et Halévy : La Périchole. La pièce est un demi-succès… Le livret est, tout comme le Château à Toto, très différent dans l'atmosphère : on y a faim, on y est incapable d'aimer car pauvre, on y est méprisé, malheureux, on y est le jouet des souverains (contrairement à la Grande-Duchesse où c'est l'héroïne qui est le jouet de ses amours capricieuses). La scène de griserie et le mariage à la fin de l'acte I, où les futurs conjoints sont saouls, sont très mal perçus. Le livret se termine de façon abrupte. Et même si les « Couplets de l'Espagnol », la « Lettre » et d'autres airs deviennent très vite populaires, la pièce ne reste pas à l'affiche. Il est vrai que la situation politique s'assombrit : la guerre franco-prussienne (qui précipitera la chute du Second Empire) couve, ainsi que le trio le prédisent en 1869 dans Les Brigands et leurs célèbres « bruits de bottes ». Il faudra attendre 1874 pour que l'œuvre connaisse enfin un succès pérenne dans sa version définitive en 3 actes et 4 tableaux (Offenbach en aura donné entre temps pas moins de cinq versions entre Vienne et Paris). Avec le Château à Toto, La Périchole constitue ainsi les prémices d'une évolution irrémédiable d'Offenbach vers le style « opéra-comique » abordé ponctuellement jusque-là (Les Bergers, La Chanson de Fortunio, etc.) et qui fera le succès de Charles Lecocq sous la Troisième République. Sur ce bonne écoute et passez de bons moments en musique :-)
Offenbach Debussy Hoffmann Hortense Schneider
Ce film est un vrai festival. Un Festival Offenbach. 90 minutes d'extraits des principales oeuvres du génial compositeur, brillamment interprétées par une pléiade d'artistes lyriques endiablés et au sommet de leur art, réunis à Étretat à l'occasion du bicentenaire de la naissance de ce magicien du Second Empire qui, comme l'a dit joliment Debussy « eut le talent de sauver son époque de la chose la plus immorale qui soit au monde, c'est-à-dire l'ennui ». Demandez le programme : bien sûr, La Vie Parisienne, La Belle Hélène, La Perichole, Orphée aux enfers, Les Brigands, Les Contes d'Hoffmann, La Fille du Tambour Major et la célèbre Grande Duchesse de Gérolstein, immortalisée à tout jamais par la pimpante Hortense Schneider qu'Auber allait entendre « pour se gargariser délicieusement les oreilles », mais également des pièces moins connues telles que l'Ile de Turlipatan, Mr Choufleuri, La permission de 10 h, La Jolie parfumeuse et Le Pont des Soupirs. Réalisateur : Armand Isnard
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