Dernière mise à jour
2024-03-29
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2023-12-12 03:12:00
Alessandro Scarlatti (1660-1725) : Arpeggio de la toccata en ré mineur ; Largo de la toccata en sol mineur. Johann Sebastian Bach (1685-1750) : Fantaisie chromatique en ré mineur BWV 903 ; Concerto en ré mineur BWV 974 d'après le concerto pour hautbois d'Alessandro Marcello ; Largo e spiccato du concerto pour orgue en ré mineur BWV 596 d'après l'opus 3 n° 11 d'Antonio Vivaldi ; Cadenza de l'Allegro du concerto en ut majeur BWV 594 d'après le concerto RV 208 "Grosso Mogul" d'Antonio Vivaldi ; Concerto italien en fa majeur BWV 971 ; Andante du concerto en ut majeur Anh. 151 ; Praeludium BWV 921 ; Concerto en fa majeur BWV 978 d'après le concerto opus 3 n° 3 d'Antonio Vivaldi ; Andante du concerto en si mineur BWV 979 d'après le concerto RV 813 d'Antonio Vivaldi ; Toccata en mi mineur BWV 914 ; Concerto en ré majeur BWV […]
2022-05-17 08:03:40
Philippe Boesmains auraut eu 86 ans aujourd'hui. Décédé le 11 avril dernier, Forumopera lance un grand dossier évolutif consacré à son art, sous la direction de Cécile Auzolle, Martine Dumont Mergeay, Benoît Jacques de Dixmude et Camille De Rijck. Né à Tongres en 1936, Philippe Boesmans connaît une jeunesse marquée par la maladie et l’éloignement d’avec les siens lors de séjours en sanatorium. Toute sa force de vie se cristallise alors dans l’écoute et l’imagination. Les programmes de la radio l’accompagnent et il s’enflamme pour Wagner. Il étudie le piano au Conservatoire de Liège, puis s’adonne à la composition de pièces âpres (Sonances, 1964-67), virtuoses (Explosives, 1968 ; Fanfare II, 1972), lyriques (Cadenza, 1978 ; Concerto pour violon, 1980) affinant peu à peu son style autodidacte, à la fois libre, ourdi dans les réminiscences, ouvert à toutes les influences et sculpté avec les interprètes (Francette Bartholomée, Bernard Foccroulle, Katia et Marielle Labèque, Fabrizio Cassol). En 1971, le […]
2021-12-20 05:00:00
« Non ti scordar di me » (Ne m'oublie pas). C'est la mélodie de De Curtis que la Tebadi chantait à la fin de la plupart de ses récitals. Voilà en tout cas quelqu'un qui ne l'a pas oubliée. On le sait, « il n’y a pas d’amour, il n’y a que des preuves d’amour ». Ceux qui connaissent Paul-André Demierre savent que ses sentiments à l’égard de Renata Tebaldi vont au-delà de l’amour et de l’admiration, qui va sans dire : c’est de dévotion qu’il faudrait parler. Les auditeurs d’Espace 2, la chaîne culturelle de la Radio Suisse Romande, dont il fut le M. Opéra pendant un quart de siècle, n’ont pas oublié sa lyricomanie, sa connaissance impeccable du chant, ses foucades et ses oukases, ses emballements et ses éreintements, en un mot sa passion, appuyée sur une culture opératique sans faille. Quand il aime, il aime très fort (et il s’illumine), mais […]
2018-11-01 12:59:00
Dvořák tel que je l'ai connu - article 3
Dvořák tel que je l'ai connu - article 3 Pour son troisième article dans la revue Fiddlestring, sans doute daté de 1920, Joseph Kovařík abandonne les souvenirs de Spillville (voir l'article 1 et l'article 2) pour aborder le séjour new-yorkais de Dvořák. Il relate ici l'habitude du compositeur d'assister à des concerts symphoniques, et rapporte quelques réactions du maître - sans doute pas aussi nombreuses que nous le voudrions - sur les œuvres de ses confrères. Ces souvenirs permettent toutefois d'éclaircir la démarche créatrice de Dvořák. Il étudiait avec soin la musique de tous les genres qui lui passait entre les mains ou qu'il pouvait entendre et s'émerveillait de bonnes idées qu'il y découvrait. Il décela ainsi dans le Concerto pour violoncelle de Victor Herbert une perle fascinante. Je reviens sur ces points dans l'après-propos.* ** Fiddlestrings 1920 ?DR. DVOŘÁK TEL QUE JE L'AI CONNU PAR JOSEPH J. KOVAŘIK Pendant […]
ou
- Choeurs (Europe).
- Index (par ordre alphabétique): C...