Dernière mise à jour
2024-04-25
Actualiser
2024-01-03 13:37:18
Berlin. Konzerthaus. 1-I-2024. Claudio Monteverdi/Frank Löhr, Lo spirito di Orfeo ; Jacques Offenbach, Ouverture d'Orphée aux enfers ; Claudio Monteverdi, Lettera amorosa ; airs et pièces instrumentales de Mozart (Voi che sapete, ouverture des Noces de Figaro), Rossini (Temporale et Una Voce poco fa extraits du Barbier de Séville), Prokofiev (extraits de Roméo et Juliette), Gounod (Je veux vivre dans ce rêve) et Bernstein (Somewhere et Symphonic Dances extraits de West Side Story). Lea Desandre, soprano ; Konzerthausorchester Berlin, direction : Joana Mallwitz L’article est apparu en premier sur ResMusica.
2023-12-21 03:12:19
Claudio Monteverdi (1567-1643) : « E pur io torno qui » extrait de L’Incoronazione di Poppea ; canzone a Voce sola SV 337 « Voglio di vita uscir ». Johann Hieronymus Kapsberger (1580-1651) : extrait du Libro quarto d’intavolatura di chitarone. Giulio Caccini (1551-1618) : « Amarilli, mia bella » extrait de Le Nuove Musiche. Girolamo Frescobaldi (1583-1643) : aria di passacaglia « Così mi disprezzate » extrait du Primo libro d’arie musicali. Barbara Strozzi (1619-1677) : « L’Amante consolato » extrait des Cantate, Ariette e Duetti op. 2. Francesco Cavalli (1602-1676) : « Incomprensibil Nume » extrait de Pompeo Magno. Johann Kaspar Kerll (1627-1693) : sonata pour 2 violons et continuo en fa majeur. Claudio Saracini (1586-1630) : « Udite, lagrimosi spirti d’Averno » extrait du n° 11 des Seconde Musiche. Carlo Pallavicino (1630-1688) : sinfonia extraite de Demetrio. Pietro Paolo Cappellini (fl. 1641-1660) : « Chi vuol ch’il cor […]
2023-12-10 08:49:24
Vissi d’Arte – Gala Maria Callas Récital du 02 décembre 2023 Palais Garnier ‘Una Voce poco fa’ (Le Barbier de Séville, Rossini) – Maria Callas (Palais Garnier, 1958) Monologue d’ouverture de ‘Master Class’ (McNally, 1995) – Carole Bouquet ‘Casta Diva’...
2023-11-08 17:37:57
Français - Le point de vue d’Alain Duault : Turandot à l’Opéra de Paris, une reprise chic et choc
Turandot, l’ultime opéra (inachevé) de Puccini suscite toujours l’intérêt d’un public en mal de livres d’images et de sons colorés : il est bien servi avec cette reprise du spectacle créé par l’Américain Robert Wilson, qu’on hésite à désigner comme « metteur en scène », plutôt metteur en espace et en lumière. Car on connait son style, épuré, hiératique, anti-réaliste : s’il ne convient pas à tous les ouvrages, il convient assez bien à cette fable située dans une Chine de tapisserie, « aux temps légendaires » dit le livret. Une Princesse étrange et comme étrangère à elle-même, aux antipodes des habituelles « petites femmes » de Puccini ; des personnages qui apparaissent comme des masques mi Nô mi commedia dell’arte ; une musique teintée d’un orientalisme entêtant, comme une menace indistincte : Turandot plonge dans un monde qui nous interroge en nous montrant les images de nos plus vieilles peurs. Et son originalité est d’opposer deux figures de femme, […]
ou
- Choeurs (Amérique du Nord).
- Index (par ordre alphabétique): V...