Julie Miller Podcasts
Dernière mise à jour
2024-06-15
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Dans cet épisode, Droit en scène discute de la définition juridique du viol et de la prise en considération de la notion de consentement à partir de la pièce « Prima Facie » de Suzie Miller, mise en scène par Géraldine Martineau au Théâtre du Petit Montparnasse. Cet épisode a été préparé avec l'aide des étudiants de l'option clinique juridique du Master 2 Droit International et Européen des Droits Fondamentaux de l'Université Paris-Saclay. Pour aller plus loin : • Article d’Emmanuelle Saulnier-Cassia dans la chronique Du droit dans les arts à paraître sur Actu-juridique.fr • Proposition de loi n°2170 visant à intégrer la notion de consentement dans la définition pénale des infractions d’agression sexuelle et de viol • Revue Esprit, Justice ou réparation, mars 2024 • Agence des droits fondamentaux de l’Union européenne (FRA), La violence à l’égard des femmes : un phénomène omniprésent, 5 mars 2014 • V. Malingre, L’Union européenne renonce à une définition communautaire du viol, Le Monde, 5 février 2024 • Amnesty International, Parlons de consentement : les lois relatives au viol fondées sur le consentement en Europe, 17 décembre 2020 • A. Darsonville, F. Lavallière, Violences sexuelles : « La France doit inscrire le consentement au cœur de l’infraction de viol », Le Monde, 22 novembre 2023 • A. Cagé, E. Guippe, Les leçons de la pièce de théâtre « Prima Facie », Le Grand Continent, 11 avril 2023 Vous avez entendu : • Extraits de la représentation de la pièce « Prima Facie » au Théâtre du Petit Montparnasse • Extraits de la pièce « Prima Facie » lus en studio par la comédienne Elodie Navarre Remerciements : Merci à Charline Moreau et Lucie Slowinski pour la co-animation de cet épisode, à Garance Digoutte pour le repérage de cette pièce et l’idée d’origine, à Norma Lozano, Claire Maillard, Bianca Perrier, Clara Tomasi et Marion Valay, pour les recherches documentaires, de sons et la co-écriture de cet épisode. The post « Prima Facie » au Théâtre du Petit Montparnasse first appeared on Amicus Radio.
Graphe de Philippe Manoury pour déterminer les probabilités de successions à partir du mi et du sol . À vouloir réarticuler une pensée après avoir observé les fascinations d’usage devant les performances musicales des algorithmes, on entend se déclencher une petite musique assez mécanique qui dit globalement toujours la même chose : les machines ne devraient plus du tout tarder à pouvoir remplacer les talents naturels ou pour le dire plus positivement, mais sans que le constat soit si différent sur le fond : la créativité humaine n’aura jamais dit son dernier mot puisqu’elle ne fera jamais la même chose qu’une calculatrice géante. Qu’elle se joue en mode dépressif ou en mode exalté, cette petite musique revient à placer les rapports entre musique et algorithme sur une marche du progrès informatique dont l’imaginaire serait donc à jamais déconnectée des humanités. Alors qu’à fouiller l’histoire des musiques algorithmiques, à regarder comment les premiers compositeurs qui ont revendiqué l’usage de l’informatique ont modélisé la musique, les outils qu’ils ont employé devaient traiter de la musique comme d’un langage et, ce faisant, reconduire des paradigmes rhétoriques. Ce numéro de Metaclassique propose de reprendre l’histoire de la musique algorithmique à partir des chaînes de Markov, un processus stochastique qui tire son nom du mathématicien russe, Andreï Markov qui, en 1913, avait expérimenté le fonctionnement de ses chaînes dans un travail de linguistique statistique, en utilisant la séquence des 20 000 lettres d’Eugène Onéguine d’Alexandre Pouchkine. En remarquant que l’apparition de celles-ci dépendait fortement des précédentes, il a donné l’intuition qu’un algorithme pourrait simuler un style préexistant par des déductions de probabilités d’apparition de telle note à la suite de telle autre. C’est-à-dire qu’une inspiration littéraire précède l’usage des algorithmes en musique et fait penser que le discours tient alors dans l’ordre des notes et prolonge l’analogie entre lettres et notes. Pour faire l’histoire et envisager une actualité de l’usage des chaînes de Markov en musique, nous recevrons Miller Puckette connu de la communauté musicale pour avoir créé les logiciels Max et Pure Data et un compositeur pour lequel il a beaucoup collaboré, Philippe Manoury dont l’œuvre est traversée d’usages très divers et joyeusement variés desdites « chaînes de Markov ». Pour commencer : voici une œuvre de 1956, la Suite Illiac, consacrée comme un point de départ de la musique algorithmique. Une émission produite et réalisée par David Christoffel. Numéros connexes de Metaclassique : #40 – Générer et #222 – Combiner
Sur les ailes de la musique – Canal M, la radio de Vues et Voix
Retrouvez Jacques Lemaître avec une toute nouvelle sélection musicale variée. Au programme cette semaine : Glenn Miller, Françoise Hardy et Valse des fleurs. Animateur: Jacques Lemaître Mise en ondes: Nicolas Svartman Cet article les vagues qui bercent est apparu en premier sur Canal M, la voix de l'inclusion.
Sur les ailes de la musique – Canal M, la radio de Vues et Voix
Retrouvez Jacques Lemaître avec une toute nouvelle sélection musicale variée. Au programme cette semaine : Glen Miller, Tocadéo et Isabelle Boulay. Animateur: Jacques Lemaître Mise en ondes: Mathieu Tessier Cet article Vent d’hiver est apparu en premier sur Canal M, la voix de l'inclusion.
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- chronologie: Artistes lyriques.
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