Andreas Spering Actualités
musicien allemand
- clavecin
- Allemagne
- musicien ou musicienne, chef ou cheffe d'orchestre
Dernière mise à jour
2024-04-24
Actualiser
2022-12-10 09:00:24
[…] Montague Rendall, Papageno ; Elisabeth Boudreault, Papagena ; Peter Kirk, Monostatos ; Julie Goussot, Première Dame ; Eugénie Joneau, Deuxième Dame ; Liying Yang, Troisième Dame ; Manuel Walser, l’Orateur ; Iannis Gaussin, Premier Homme armé ; Oleg Volkov, Deuxième Homme armé ; Louisa Bouzar, Léon Hieber et Benjamin Ogier, les trois Enfants. Chœur de l’Opéra national du Rhin (chef de chœur : Hendrik Haas) ; Orchestre symphonique de Mulhouse ; direction musicale : Andreas Spering L’article est apparu en premier sur ResMusica.
2020-02-03 21:37:22
[…] de Rossi en 2016. Elle avait alors montré un grand talent pour le drame, et offre ce soir un talent tout aussi grand pour le comique et un registre plus léger. Trouble-fête omniprésent, mais toujours innocent, elle incarne d’une voix ambrée et chatoyante le jeune garçon émoustillé par l’amour. La pauvre parvient même à suivre le rythme galopant de la fosse pour son « Non so più » ! Il est vrai que sous la baguette d’Andreas Spering, l’Orchestre de la maison est emporté dans la dimension festive de la partition, oubliant peut-être un petit peu de se mesurer dans un premier temps, tant dans le tempo pour ce « Non so più » que pour la puissance contre laquelle les solistes doivent lutter dans un premier temps. Heureusement, les marques sont vite prises et tout cela est rectifié afin d’offrir non seulement du festif et du coloré, mais aussi de la nuance et des […]
2020-02-01 23:00:39
[…] très à l’aise dans le chant syllabique. En revanche, on se réjouit de pouvoir applaudir à Nancy ce que Paris semble incapable de proposer : une Marceline qui ait la voix plutôt que l’âge du rôle, et à qui on laisse chanter « Il capro e la capretta ». Merci et bravo à Marie Lenormand, donc. Elisabeth Boudreault a la voix déjà presque trop corsée pour Barberine mais se tire fort bien de « L’ho perduta ». En fosse, Andreas Spering parvient à éviter toute précipitation brouillonne mais n’en adopte pas moins des tempos parfois fort rapides (la canzonetta prise à un train d’enfer ne permet pas à la comtesse d’émettre toutes les notes vers la fin). Sa direction énergique met en relief certains détails d’écriture orchestrale – certains couinements narquois dans le fandango, par exemple –, et n’hésite pas à pratiquer le fondu-enchaîné entre airs et récitatifs (au premier acte, Suzanne lance son « Cosa […]
ou
- chronologie: Chefs d’orchestre (Europe). Interprètes (Europe).
- Index (par ordre alphabétique): S...