Ciro Visco Actualités
Dernière mise à jour
2024-03-28
Actualiser
2023-02-10 04:03:36
Rome. Teatro Costanzi. 3-II-2023. Giuseppe Verdi (1813- 1901) : Aida. Opera en quatre actes sur un livret d’Antonio Ghislanzoni. Mise en scène et chorégraphie : Davide Livermore. Décors : Giò Forma. Lumières : Antonio Castro. Vidéo : D-Wok. Costumes : Gianluca Falaschi. Avec : Krassimira Stoyanova, soprano (Aida) ; Ekaterina Semenchuk, mezzosoprano (Amneris) ; Gregory Kunde, ténor (Radamès) ; Vladimir Stoyanov, basse (Amonasro) ; Riccardo Zanellato, basse (Ramfis) ; Giorgi Manoshvili, baryton (le Roi ); Veronica Marini, soprano (La prêtresse) ; Carlo Bosi, ténor (le Messager). Orchestre et Choeur du Teatro dell’Opera di Roma (chef de choeur : Ciro Visco), direction : Michele Mariotti L’article est apparu en premier sur ResMusica.
2022-07-19 18:18:51
Hector Berlioz (1803-1869) : Grande messe des morts, Op.5. Javier Camarena, ténor ; Chœurs de l’Accademia Nazionale di Santa Cecilia, chef des chœurs : Ciro Visco. Orchestre royal du Concertgebouw d’Amsterdam, Antonio Pappano. 2019. Livret en […]
2022-05-12 04:00:00
[…] peut-être plus encore le jeu investi et nuancé du violoncelliste Alberto Guerrero, aussi impressionnant dans les parties orchestrales et solistes qu’en continuiste. Les attaques sont mordantes, les notes pointées précises, l’ornementation discrète ; le passage d’un mouvement à l’autre s’opère dans une fluidité parfaite, faisant de cette passacaille une entrée en matières plus que prometteuse pour la suite. Et ces promesses sont tenues. Dans le ravissant Salve Regina de Leonardo Leo, la jeune soprano napolitaine Leslie Visco, finaliste en 2015 du concours de chant de Clermont-Ferrand, séduit par son interprétation sobre et expressive. Le timbre est agréable, la voix homogène sur toute la tessiture, le vibrato régulier, le souffle long ; les vocalises, impeccables, semblent d’une grande facilité. Elle conduit sa ligne de chant avec intelligence et sensibilité. Tout au plus peut-on regretter quelques consonnes dentales pas toujours bien projetées (« dulcis virgo »), et un léger déséquilibre en terme de volume, l’orchestre ayant […]
2021-11-09 05:01:00
[…] et recueillie. L’unique soliste de ce Requiem met au service de l’œuvre un instrument idéal pour elle. Sa voix semble comme descendue de pâturages célestes, avec un legato somptueux et des aigus pleins de naturel, accompagné par un orchestre cristallin et un chœur comme suspendu, dont l’Hosannah empreint de sérénité peut toutefois sembler un peu trop rapide. L’ensemble de la prestation du chœur de l’Académie Sainte-Cécile, sollicité en permanence et très bien préparé par son chef, Ciro Visco, est d’ailleurs exemplaire, d’une parfaite homogénéité, avec un bel équilibre entre les différents pupitres, que la prise de son met par ailleurs bien en relief. C’est ainsi que, sans gigantisme démonstratif, cette interprétation concilie brillamment grandeur et recueillement, jusqu’à l’implacable Agnus dei final dont les derniers accords laissent entrevoir la lumière au milieu des coups sourds des timbales. Voici « l’horrible grandeur » transformée en passionnante cérémonie du passage de la mort terrestre vers la vie céleste, non […]