Daniel Schmutzhard Actualités
artiste lyrique
- baryton
- Autriche
- chanteur ou chanteuse, artiste lyrique, artiste interprète
Dernière mise à jour
2024-04-25
Actualiser
2022-10-20 08:28:29
CRITIQUE, opéra. Paris, le 18 oct 2022. Richard Strauss : Elektra. Simone Young / Lydia Steier.
CRITIQUE, opéra. Paris, le 18 oct 2022. Richard Strauss : Elektra. Simone Young / Lydia Steier. Après les reprises début septembre de Tosca ici de La Flûte enchantée (voir en 2014 ici rien de tel qu’une nouvelle production au parfum de scandale pour lancer véritablement la saison 22 / 23 de l’Opéra de Paris ! C’est ainsi que la grande maison s’est fendue d’un rarissime communiqué d’avertissement sur le « caractère violent et / ou sexuellement explicite » de certaines scènes – un communiqué envoyé à l’ensemble des personnes qui avaient réservé le spectacle, et ce dès le lendemain…
2021-11-24 05:00:00
[…] stature, son timbre clair et puissant, font autorité dans le rôle du maître des dieux. A ses côtés Stephanie Irányi compose une Fricka imposante par la puissance et des aigus particulièrement brillants. Julian Prégardien, indisposé, a été remplacé au pied levé par Thomas Mohr pour le rôle de Loge, qu’il connaît bien et défend avec toute la rouerie qu’on attend du personnage. Il articule son texte prestement et avec une grande clarté. Le redoutable Nibelung, Alberich, est chanté par Daniel Schmutzhard, magnifique voix qui réussit à restituer tous les états par lesquels passe le personnage : cajoler les filles du Rhin, renoncer à l’amour, posséder le pouvoir absolu avant d’être dépossédé de tout. Le reste de la distribution se situe dans un niveau d’excellence comparable : Tanzel Akzeybek propose un Froh sarcastique à souhait, Thomas Ebenstein, est le Mime craintif totalement sous la coupe de son frère, Tijl Faveyts (Fasolt) et Christoph Seidl (Fafner) campent parfaitement les deux géants, peu subtils mais imposants. La […]
2021-06-20 02:12:05
Carl Maria von Weber (1786-1826) : Der Freischütz, opéra en trois actes sur un livret de Johan Friedrich Kind d’après la nouvelle éponyme de Johann August Apel. Mise en scène : Clément Debailleul et Raphaël Navarro (compagnie 14:20). Chorégraphie : Aragorn Boulanger. Lumières : Elsa Revol. Avec : Stanislas de Barbeyrac, ténor (Max) ; Johanni van Oostrum, soprano (Agathe) ; Chiara Skerath, soprano (Ännchen) ; Vladimir Baykov, baryton-basse (Gaspard) ; Christian Immler, baryton-basse (L’Ermite) ; Thorsten Grümbel, basse (Kuno) ; Daniel Schmutzhard, baryton / Samuel Hasselhorn, baryton (Ottokar) ; Anas Séguin, baryton (Killian) ; Chœur Accentus ; Insula Orchestra, direction : Laurence Equilbey. 1 CD + 1 DVD Erato. Enregistré en octobre 2019 (CD) au Théâtre des Champs-Élysées et en novembre 2019 (DVD) à l’Opéra de Rouen Normandie. Durée : 79:35 (CD) et 90:44 (DVD) L’article est apparu en premier sur ResMusica.
2021-03-10 05:22:48
[…] frôle l’accident. Dommage. Chiara Skerath, en Ännchen, impressionne au contraire par sa maturité : en quelques années, la voix a pris du corps, de la couleur. Ne cédant pas aux œillades et aux facilités du rôle, elle en livre une performance musicale et théâtrale très aboutie. De même, le Kaspar de Vladimir Baykov échappe à tout histrionisme, et sait varier à merveille la bonhomie et le démoniaque, avec une plasticité vocale étonnante. Dans les seconds rôles, la noblesse de Daniel Schmutzhard fait merveille, comme le Kilian percutant d’Anas Séguin. Même si les autres opéras de Weber sont moins propices à la mise en scène, il serait intéressant que Laurence Equilbey en explore les secrets.
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