Dmitri Beloselski Actualités
artiste lyrique russe
Anniversaires
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Dernière mise à jour
2024-04-18
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2022-05-26 04:00:00
[…] son célèbre « Siegmund ! », c’est trop peu pour traduire l’effet cataclysmique de la reconnaissance de l’amour incestueux). Inutile également d’attendre d’Axel Kober qu’il ménage un bon équilibre entre la fosse et le plateau, c’est le même volume pour tout le monde, fatigué ou pas. Et de l’endurance il en faut pour survivre à une telle œuvre, surtout quand les femmes semblent aussi inépuisables. Les hommes n’ont cependant pas à pâlir ce soir. A commencer par Dimitry Belosselskiy, Fafner hier, Hunding aujourd’hui, aussi renfrogné que sonore, au chant sec et sans bavure. Stuart Skelton apparait un peu moins puissant qu’il y a quelques mois à la Philharmonie de Paris, c’est sans doute qu’il ménage ses efforts pour revenir après l’entracte. Son Siegmund est splendide, aussi bien dans le Lied d’amour que l’on croirait susurré que dans la vaillance (il se paye même le luxe d’un crescendo sur le second « Wälse ! ») ou dans […]
2022-05-24 04:00:00
[…] pas au même niveau, loin s’en faut. Tous sont, étonnamment pour une telle maison, difficilement audibles, voire carrément gênés. Si le Mime de Jörg Schneider s’en sort plutôt bien grâce à un jeu très investi, le Froh de Daniel Jenz est propre mais terne, le Donner d’Eric van Heyningen rayonne surtout physiquement, le Fasolt d’Artyom Wasnetsov a de l’attitude et des graves à revendre tout en peinant à projeter suffisamment, contrairement au Fafner de Dmitry Belosselskiy qui réussit à s’imposer malgré le peu de lignes que la partition lui réserve. Du coté des premiers rôles, c’est hélas clairement insuffisant : le Loge de Daniel Behle manque de caractère et d’envergure, c’est un dandy rusé avec beaucoup de retenue, mais on le voit mal enflammer le Walhalla ; l’Alberich de Jochen Schemckenbecher était clairement inaudible dans les eaux du Rhin, il existe sur scène surtout grâce à une énergie physique virevoltante, mais il […]
2022-01-28 18:28:16
Paris. Opéra Bastille. 26-I-2022. Modeste Moussorgski (1839-1881): La Khovantchina, drame musical en cinq actes sur un livret du compositeur et de Vladimir Stassov ; orchestration de Dimitri Chostakovitch. Mise en scène : Andrei Serban. Décors et costumes : Richard Hudson. Lumières : Yves Bernard. Chorégraphie : Laurence Fanon. Avec Dmitri Ivashchenko, Prince Ivan Khovanski ; Sergei Skorokhodov, Prince Andrei Khovanski ; John Daszak, Prince Vassili Golitsine; Evgeny Nikitin, Chakloviti; Dmitry Belosselskiy, Dosifei; Anita Rachvelishvili, Marfa; Carole Wilson, Susanna; Gerhard Siegel, Le Clerc; Anush Hovhannisyan, Emma; Wojtek Smilek, Varsonofiev; Vasily Efimov, Kouzka; Tomasz Kumiega, Strechniev; Volodymir Tyshkov, Premier Strelets; Alexander Milev, Deuxième Strelets; Fernando Velasquez, Un confident de Golitsine. Maitrise des Hauts-de-Seine / Choeur d’enfants de l’Opéra National de Paris (Chef de chœur : Ching-Lien Wu). Orchestre et chœur de l’Opéra National de Paris, direction : Hartmut Haenchen. L’article est apparu en premier sur ResMusica.
2022-01-27 19:51:56
La Khovantchina (Modest Moussorgski – 1886) Orchestration de Dmitri Chostakovitch (1959) Représentations du 26 janvier, 03 et 09 février 2022 Opéra Bastille Prince Ivan Khovanski Dimitry Ivashchenko Prince Andrei Khovanski Sergei Skorokhodov Prince Vassili...
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- chronologie: Artistes lyriques (Europe).
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