Edin Karamazov Actualités
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Dernière mise à jour
2024-03-28
Actualiser
2022-01-21 05:00:00
Il y a des disques qui nous ramènent au fil de nos souvenirs de concerts marquants. Ce nouvel enregistrement d’Andreas Scholl et de son complice Edin Karamazov fait incontestablement écho au concert donné à Gaveau par les deux artistes le 12 mars 2020, mémorable à double titre, d’abord par la qualité de l’évènement mais aussi parce qu’il fut l’un des derniers évènements musicaux avant confinement total. On retrouve en effet dans ce disque Canciones la douceur extatique de cette parenthèse unique de 2020 consacrée au folk songs traditionnelles, même si le programme était sensiblement différent. Il existe toutefois un dénominateur commun en la personne du compositeur Leo Bouwer auquel il est rendu ici hommage de son vivant. Andreas Scholl fait partie des artistes qui n’ont plus rien à prouver, explorant des chemins singuliers, sans se soucier du plaire, avec cette constance qui les maintient dans l’excellence en dépit des années qui passent. Dans […]
2020-03-13 01:05:59
[…] à ce que ce récital fasse écho au dernier album de l’artiste, Twilight People qui, dans une langueur éthérée, aborde aussi bien les rives anglo-saxonnes que celles de l’Egypte à travers les répertoires de Berg, Copland, Vaughn Williams, et des inattendus Ari Frankel et Joseph Tawadros. Mais il n’en a rien été, l’artiste ayant choisir de revenir à des rivages moins contemporains consacrés au répertoire anglais du XVI et XVII. Au côté du luthiste Edin Karamazov, il nous convie à la découverte des folk songs traditionnelles de John Dowland, Thomas Campion et Robert Johnson auxquelles a été ajoutée une pincée d’Haendel avec la cantate Nel dolce tempo. En lieu et place de Twilight People donc, c’est l’univers musical d’un album plus ancien, Wayfering stranger, gravé en 2001 pour DECCA, que l’artiste nous convie de revisiter en partie. Malgré une interruption due au malaise d’un spectateur, Andreas Scholl, imperturbable en dépit d’une […]
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Le blog d'Olivier Bellamy
2017-07-09 10:13:41
Amandine Beyer, baroque et verbe haut
Trois madeleines : - Zino Francescatti dans le concerto de Bruch. Mon premier 33 tours - la fantaisie pour pianoforte en ré mineur K397 de Mozart(par Kris Bezuidenhout chez Harmonia Mundi) - “Have you seen the bright lily grow”, chanson de Robert Johnson (par Sting et Edin Karamazov, album”Songs from the Labyrinth”, Deutsch Grammophon) Et 4 classiques: -Le début du troisième mouvement du concerto pour violon et orchestre d’Aram Khatchaturian ,dans la version de David Oistrackh -le passage central de Vortex Temporum , de Gérard Grisey(je l’ai entendu plusieurs fois en spectacle avec l’ensemble Ictus et la compagnie de danse Rosas) -la ” Ciacona” en fa mineur pour orgue de Johann Pachelbel par Markus Märkl (disque Pan Classic) - “Veni, veni, me sequere fida” , extrait de la Judita triumphans” d’Antonio Vivaldi, par Magdalena Kozena et l’Accademia Montis Regalis (disque Naïve)
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Les blogs Qobuz
2016-09-16 20:03:03
Les petits messages des haïkus – Un soupir de Schoenberg – Le Prix Arthur Honegger – Les Instituts culturels – L’Ikebana à Cernuschi
Anton Webern (1883-1945), champion de la brièveté ! (DR) Alors que les œuvres de quatre heures (de cinq, éventuellement) n’effraient pas le public de l’Opéra, alors qu’au festival d’Avignon, les spectacles de six ou huit heures plongent les vrais passionnés dans l’extase, alors que l’adaptation des Frères Karamazov, spectacle d’ouverture du Festival d’Automne, dure six heures trente, alors que, dans le domaine cinématographique, le format de quatre-vingt-dix minutes est pratiquement périmé et que Toni Erdman, l’un des films de la rentrée (magnifique !) dure deux heures quarante, je dis : « Vive les haïkus ! ». Haïku, forme ultra-courte de la poésie japonaise, juste le temps de transmettre une émotion en dix-sept syllabes et trois vers. « Exprimer un roman en un seul soupir », disait Schoenberg après avoir rompu avec le post-wagnérisme ; et Webern, adressant ses six Bagatelles (durée totale : 3 minutes 37 secondes) à Berg : […]
ou
- chronologie: Interprètes (Europe).
- Index (par ordre alphabétique): K...