Erika Köth Actualités
artiste lyrique
Commémorations 2025 (Naissance: Erika Köth)
- soprano léger
- Allemagne
- artiste lyrique, professeur ou professeure de musique, professeur ou professeure d'université
Dernière mise à jour
2024-04-19
Actualiser
2021-03-17 05:24:14
[…] grand art. Jamais le pianiste, Daniel Heide, ne démérite : le partenaire est réactif, le jeu sait épouser les articulations, les touchers, les phrasés pour s’accorder au chant et à l’esprit de chaque pièce. Voilà un enregistrement de prix, où l’on découvre une jeune soprano dans son répertoire d’élection. Pour avoir écouté nombre d’autres « grandes » cantatrices dans ces mêmes œuvres, il faut saluer la performance, qui se situe parmi les plus réussies depuis Elisabeth Schwarzkopf, Erika Köth ou Lucia Popp. Le livret, bilingue (anglais – allemand), comporte les textes chantés, en plus d’une interview de la soprano, et les biographies des interprètes.
2021-01-19 05:13:18
[…] à l’endroit de ce répertoire. Ulf Schirmer, dont les qualités sont reconnues dans le monde lyrique, est ici chez lui, avec ce qui était alors « son » orchestre de Münich. Sa direction est précise, attentive et distinguée, joviale sans exubérance. L’orchestre joue avec élégance et les solistes, comme le chœur sont exemplaires, servis par une prise de son remarquable de précision et de relief. A écouter Konja Gül, que chante Kristiane Kaiser, on comprend pourquoi Erika Köth choisissait d’incarner l’héroïne au début des années 80. L’écriture du rôle est exigeante, elle appelle une voix légère, sensible, aux aigus aisés (dès le long contre-ut, finale de son premier air, par exemple). Kristiane Kaiser possède toutes les qualités requises et c’est un bonheur que de l’écouter, aussi convaincante dans ses plaintes de se voir enfermée au harem et imposer le voile, que dans sa résolution, enthousiaste, et sa passion. Une grande voix. Malgré […]
2020-04-14 08:00:35
[…] Radamès de Carlo Bergonzi dispense une leçon de chant italien digne de figurer dans toutes les anthologies. L’Amonasro de Cornell MacNeil et le Ramfis d’Arnold van Mill, sans démériter, ne se situent clairement pas aux mêmes hauteurs. La Chauve-souris, gravée en juin 1960, offre une plongée incomparable dans le plus pur esprit viennois : cast 100% maison avec la Rosalinde diablement idiomatique de Hilde Güden, l’Eisenstein très convaincant de Waldemar Kmentt, l’Adèle un peu pointue d’Erika Köth, ou encore Walter Berry en Flake et Eberhard Wächter en Frank, voici, à l’évidence, une distribution qui a du chien. Surtout, on a droit, conformément à la tradition, à un véritable gala chez Eisenstein à la fin du II, et pas n’importe lequel : entre autres noms prestigieux, Leontyne Price y offre le plus incroyablement onirique des Summertime (ces trois minutes irréelles justifient à elles seules l’achat du coffret), Giulietta Simionato et Ettore Bastianini se […]
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Le blog d'Olivier Bellamy
2014-12-19 10:20:51
Nathalie Stutzmann, le naturel au galop
Si elle ne possédait pas une voix aussi étrange, Nathalie Stutzmann ne se serait peut-être pas engagée dans ce processus long et patient qui consiste à trouver le naturel, la clarté de l’expression, une sorte d’évidence organique dans la pulsation même de la musique. “Meurs et deviens !” pour être totalement soi sans rien abdiquer de ses idéaux artistiques. La direction d’orchestre est arrivée au bon moment pour compléter cette maturité artistique, non quand la voix décline mais quand au contraire elle se libère de ses chaînes et accueille toutes les couleurs du texte, c’est-à-dire du sentiment intérieur, et qu’elle incarne tous ces affects plutôt que des les jouer. C’est le geste de la vie, c’est le souffle de l’amour. Voici son programme : Petites Madeleines : Schubert Frühlingsstimme H. Hotter Gounod Romeo et Juliette Alain Vanzo : Ah lève toi Soleil Extrait d’operettes/ Erika Koth […]
ou
- chronologie: Artistes lyriques (Europe). Interprètes (Europe).
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