Eve Queler Actualités
cheffe d'orchestre américaine
- musique classique
- États-Unis
- chef ou cheffe d'orchestre
Dernière mise à jour
2024-03-29
Actualiser
2020-03-23 07:00:39
Apprenant la mort de Louis XV de la petite vérole, Le Gallick, futur Supérieur de Saint-Sulpice, eut ce mot : « Il n’y a rien de petit chez les grands ». Pour la suite de cette série consacrée aux « fous chantants », nous examinerons quelques cas où elle a pu également se manifester chez de grands artistes. © Pramzan45 pour Wikipedia Qu'est-ce qui a bien pu passer par la tête de Carlo Bergonzi pour qu'il se décide à chanter Otello ? Nous sommes début 1999 lorsqu'Eve Queler et l'Opera Orchestra of New-York annoncent pour l'année suivante cette ultime prise de rôle. La stupéfaction gagne le planète lyrique : le ténor italien avait déjà fait ses adieux à New York en 1994 (un récital rien moins que réussi) et il aura près de 76 ans à la date du concert. Certes, il arrivait à Carlo Bergonzi de conclure un récital avec « Niun mi tema », […]
2019-10-14 04:00:52
[…] Sa caractérisation du personnage était aussi particulièrement pertinente. Son Mario portait des opinions politiques, mais il n’était pas un intellectuel. C’était un personnage typiquement italien, une personnalité instinctive qui agissait et réagissait au gré des évènements. Malgré tous ses succès à l’opéra, sa performance la plus mémorable pourrait bien avoir été un concert, celui donné au Carnegie Hall le 9 mars 2002 avec l'Opera Orchestra of New York dirigé par son chef fondateur, Eve Queler. Marcello Giordani y chantait alors son répertoire de prédilection de ténor lyrique et distillait généreusement des perles d'une voix lumineuse : Adriana Lecouvreur, La Gioconda de Ponchielli, Les Huguenots et L'Africaine de Meyerbeer. Mais c’est avec Guillaume Tell de Rossini. Il bisse alors «Amis, amis, secondez ma vengeance» devant un parterre de mélomanes américains en transe, comme s’il avait marqué le touchdown décisif au Superbowl. Ce sont des images qui laissent une empreinte indélébile dans les […]
2017-11-13 03:06:03
[…] disparaîtra rapidement des affiches où elle ne revient que timidement depuis quelques décennies. C’est fort dommage car c’est une partition très attachante, dans laquelle on ne trouve pas seulement le célèbre tube pour ténor « Seul sur la terre », mais bien d’autres moments remarquables comme, par exemple, cette superbe marche funèbre, qui inspirera Gustav Mahler un peu plus tard. Le chœur et l’orchestre de l’opéra de la ville de New York sont dirigés ici par Eve Queler, dans un son malheureusement très perfectible.
ou
- chronologie: Chefs d’orchestre (Amérique du Nord).
- Index (par ordre alphabétique): Q...