Hermann Friedrich Raupach Actualités
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Dernière mise à jour
2024-04-22
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2019-06-10 21:45:22
Pour l’opéra de Berlin, Gaspare Spontini –qui avait été nommé directeur général de la musique royale par Frédéric-Guillaume III quelques années plus tôt- se voit proposer 3 sujets pour composer son unique opéra en langue allemande. L’aspiration du compositeur pour écrire de grandes fresques historiques lui font choisir un épisode de l’histoire des Hohenstaufen, dont Friedrich von Raumer venait de publier un récit, qu’adaptent pour le compositeur Ernst Raupach et Karl von Liechtenstein. Spontini voit grand et compose un opéra historico-romantique, baptisé « Agnès von Hohenstaufen » qu’il considère vite comme sa meilleure partition. La création, d’abord prévue pour les noces de Charles de Prusse, est repoussée de 2 ans, pour un autre mariage (celui du futur empereur Guillaume Ier). Elle a donc lieu voici 190 ans à l’Opéra royal de Berlin. Une autre version sera créée en décembre 1837. L’action, passablement compliquée, se déroule à la fin du XIIème siècle à Mayence. […]
2017-12-06 08:31:47
Français - Cecilia Bartoli et Sol Gabetta à l'unisson à la Philharmonie de Paris
[…] ondulée et satinée. Elle met au point un vocabulaire lyrique à l’orée de l’abstrait pour frapper son public d’émerveillement. Dans le tube « Lascia la spina cogli la rosa » de Haendel, l’infime tutoie la grandeur. Cappella Gabetta y étire joliment les phrases en forme d’espoir, mais ne réussit pas à fusionner pleinement avec la chanteuse par manque de souplesse et de tendresse. Les nuances vertigineuses d’« O placido il mare », extrait de Siroe, re di Persia d’Hermann Raupach servent l’agilité technique de la Bartoli, qui traîne un peu toutefois ; les décalages de tempo et des cors peu aguerris viendront gâcher le bal. Sol Gabetta, à armes baroques égales, joue sans pique et tricote bariolages et arpèges au rythme des vocalises de sa partenaire, sauf dans le 10e concerto de Boccherini en ré majeur, qu’elle interprète bien sûr sans la mezzo. Elle ose la fureur, la rage et même certains glissendi subversifs […]
2017-12-02 09:30:19
Bruxelles. Bozar. 29-XI-2017. Johann Adolf Hasse (1699-1783) : Ouverture (extr. 'Il ciro riconosciuto'). Antonio Caldara (1670-1736) : « Fortuna e speranza » extr. 'Nitocri'. Tomato Giovanni Albinoni (1671-1751) : « Aure! Andate e baciate » extr. 'Il nascimento dell'Aurora'. Domenico Gabrielli (1651-1690) : « Aure voi di miei sospiri » extr. San Sigismondo, re di Borgogna. Carlo Francisco Pollarolo (v. 1653-1723) : Ouverture extr. Ariodante. Georg Friedrich Haendel (1685-1759) : « Lascia la spina cogli la rosa » extr. Il Trionfo del tempo e del Disinganno. « What passion cannot Music raise and quell! » extr. Ode for St Cecilia’s Day. Hermann Raupach (1728-1778) : O placido il mare » extr. Siroe, re di Persia. Luigi Boccherini (1743-1805) : concerto pour violoncelle et orchestre n°10 en ré majeur. Se d’un amor tiranno. Christophe Willibald Gluck (1714-1787) : « Dance of the Furies » extr. Orfeo ed Euridice. José De Nebra (1702-1768) : Seguedillas y Fandango. Antonio Vivaldi (1678-1741) : « Sovvente il sole » extr. Andromeda […]
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