Hugh Bond Actualités
Dernière mise à jour
2024-03-29
Actualiser
2023-10-22 17:48:53
Paris. Théâtre de la Ville-Sarah-Bernhardt. 18-X-2023. 15. Chorégraphie & scénographie Tao Ye. Composition musicale : Xiao He. Lumière : Ellen Ruge. Costumes : Duan Ni. Jakie. Chorégraphie et scénographie : Sharon Eyal & Gai Behar. Création sonore : Ori Lichtik, avec la musique de Ryuichi Sakamoto. Lumière : Alon Cohen. Costumes : Sharon Eyal en collaboration avec le département costume du NDT. Avec : Les danseurs du NDT : Fay van Baar, Anna Bekirova, Conner Bormann, Pamela Campos, Emmitt Cawley, Thalia Crymble, Scott Fowler, Aram Hasler, Nicole Ishimaru, Chuck Jones, Genevieve O’Keeffe, Kele Roberson, Charlie Skuy, Yukino Takaura, Theophilus Vesely, Nicole Ward, Alexander Andison, Jon Bond, Matthew Foley, Surimi Fukushi, Barry Gans, Madoka Kariya, Paxton Ricketts, Luca Tessarini, Sophie Whittome, Rui-Ting Yu, Zenon Zubyk. L’article est apparu en premier sur ResMusica.
2023-08-17 17:16:51
Français - Le point de vue d’Alain Duault : Bayreuth, un Tannhäuser dirigé
La première version de ce Tannhäuser dans la mise en scène de Tobias Kratzer avait de quoi agacer par ses entrelacs d’effets mode, en dépit d’un propos dont la visée intéressait. Sa reprise cette année fait faire un Bond positif à cette production qui s’est éclairée au fil du temps et dont la lisibilité convainc cette fois tout à fait, en dehors de quelques scories ici ou là, mais qui n’affectent pas la cohérence d’ensemble. C’est un spectacle qui a une vraie direction, qui s’y tient et en démontre la force dramaturgique à travers des images qui donnent du sens – en étroite connivence avec une autre direction, tout aussi puissante et assumée, celle de la musique, grâce à la baguette superlative de la grande Nathalie Stutzmann, dont les débuts à Bayreuth lui valent un triomphe amplement mérité. La problématique générale, le « point de vue » du metteur en scène […]
2023-04-19 07:00:00
2022-05-31 04:00:00
Il y a dans ce disque Ravel composé comme un récital tout à la fois sa sensualité et sa part d’ombre. C’est surtout aux mélodies que nous nous arrêterons, parce que la voix est la vocation première de ForumOpera bien sûr, et aussi parce qu’elles offrent l’occasion de retrouver Stéphane Degout dans ses œuvres, dans une période décidément faste, après son sublime Jésus dans la Passion selon Saint Matthieu dirigée par Raphaël Pichon, et le non moins merveilleux Chant de la terre, de Mahler/Schönberg, tant admiré il y a peu. © D.R. « Une volupté un peu coupable » Outre le plaisir d’entendre la complicité entre Stéphane Degout et le merveilleux Cédric Tiberghien, c’est celui des timbres qui ajoute à l’intérêt de ce disque : un piano Pleyel « Grand patron » de 1892, les cordes en boyaux et les instruments « d’époque » des Siècles, tous plus vénérables les uns que les autres, […]
ou
- chronologie: Compositeurs (Europe).
- Index (par ordre alphabétique): B...