Ildebrando Pizzetti Actualités
compositeur italien
- opéra, musique savante
- Italie, royaume d'Italie
- compositeur ou compositrice, chef ou cheffe d'orchestre, musicologue, critique
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Dernière mise à jour
2024-04-20
Actualiser
2023-08-05 08:55:38
Ildebrando Pizzetti (1880-1968) : 3 préludes orchestraux pour le Oedipus Rex de Sophocle ; Igor Stravinsky (1882-1971) : Oedipus Rex, Opéra oratorio en 2 actes. Aj Glueckert, Oedipe ; Ekaterina Semenchuck, Jocaste ; Alex Esposito, […]
2020-10-26 03:56:06
[…] bel avenir : Giorgio Strehler, puis l'année suivante dans une création contemporaine, Proserpina e lo Straniero du compositeur argentin Juan José Castro, encore avec Strehler, suivie quelques mois plus tard par la Nannetta de Falstaff dans une distribution exceptionnelle (Stabile, Tebaldi, Valetti, Elmo, de Sabata...). Au chapitre des créations auxquelles elle aura participé, on citera également Ifigenia (en concert à l'Auditorium de la RAI de Turin en 1950, puis en création scénique au Teatro Comunale de Florence en 1951) et Calzare d'argento (Teatro alla Scala, 1961) tous deux d'Ildebrando Pizzetti, Il mercante di Venezia de Mario Castelnuovo-Tedesco (Maggio Musicale Fiorentino, 1961), Il linguaggio dei fior de Renzo Rossellini (Piccola Scala, 1963) ! Elle participe également, en 1956, à la résurrection du Don Giovanni Tenorio o sia Il convitato di pietra... de Giuseppe Gazzaniga (un ouvrage créé à Venise en février 1787, cinq mois avant que Mozart ne commence la composition de son chef-d'œuvre). Carteri débute au Festival de Salzbourg en 1952 en Desdemona, face à l'Otello de Ramon Vinay […]
2020-07-10 06:14:05
Gian Francesco Malipiero, (1882-1973) compositeur qu’on peut « classer » dans la catégorie des néo-classiques italiens, dans la veine des Pizzetti ou des Casella, a beaucoup composé pour l’opéra. On lui en doit une quarantaine. Si on l’a un peu oublié aujourd’hui, c’est que sa musique, exigeante et austère, s’est aussi beaucoup épanouie à l’ombre du régime fasciste, dont cet admirateur de D'Annunzio s’est largement accommodé. Il a par ailleurs consacré une large partie de sa vie à l’étude ébahie des baroques italiens comme Frescobaldi ou Vivaldi, alors négligés. Deux ans après le Triptyque puccinien, aussi éloigné de son propre style qu’un chien peut l’être d’un chat, Malipiero propose sa propre œuvre « à panneaux », comme un retable en musique. Trois courts opéras composent ce premier ensemble caractéristique de la première manière lyrique du compositeur : La Morte delle Maschere (la mort des masques), Sette canzoni (Sept chansons) et Orfeo. Ou plutôt s’agirait-il d’un seul opéra en trois parties dont deux […]
2019-09-23 04:00:51
[…] dont tout indique qu’il sera suivi d’au second au moins, puisqu’il porte le sous-titre de Post-Puccini Part I. Ce premier volume prend comme point de départ chronologique l’année 1922 et va jusqu’en 1945. Le doyen des compositeurs présents est Arturo Buzzi-Peccia, contemporain de Puccini puisque né en 1854, mais qui vécut jusqu’en 1943 ; la « génération de 1880 » est la mieux représentée, et le benjamin est Roberto Lupi (1908-1971). Ces noms ne vous disent rien ? CQFD. Pizzetti, Malipiero, Casella sont un peu plus connus, et encore. Mais qui en France, hormis les spécialistes, a déjà entendu parler de Virgilio Mortari (1902-1993) ? Découvertes garanties, donc, avec un tel programme. Sur le plan sonore, c’est surtout l’influence des contemporains français qui frape d’abord : on est tantôt proche du dépouillement ironique d’un Erik Satie, tendance Socrate en un peu plus mélodique, tantôt des dissonnances « Groupe des Six » à la Poulenc, dont le Bestiaire a […]
ou
- chronologie: Compositeurs (Europe). Chefs d’orchestre (Europe).
- Index (par ordre alphabétique): P...