Jacob Moralt Actualités
compositeur
- Allemagne
Dernière mise à jour
2024-04-24
Actualiser
2019-01-31 07:26:56
[…] du dédain : du tact. Ou de la morale, une morale de l’air qui résonne plus qu’il ne sonne et qui suffit à faire chant. C’est assez peu puccinien et vocal, assez peu dynamique au sens de la nuance, c’est encore une fois un contre-exemple, c’est aussi allusivement unique pour qui veut l’entendre. » 2. Pamina – W.A. Mozart, Die Zauberflöte (1949, Zurich) « Pamina suivra très vite, toujours à Zurich (1949), Vienne et à Genève, avec Moralt et Böhm, à Hambourg, Edimbourg et Bruxelles, à Munich en 1956, à Salzbourg en 1959 avec George Szell. L’argent du timbre y fait des merveilles, un don inné de la coloration ajoute à la bonté et à la mélancolie de la silhouette, le grave se pose avec légèreté. » 3. Arabella – R. Strauss, Arabella (1950, Zurich) « Le beau monologue "Mein Elemer!", à la fin du premier acte, ne vaut-il pas dans ses incertitudes […]
2015-10-17 17:37:43
[…] faire ?) ; Dimitry Ivashchenko (Osmin), d'un allemand soigné, juste l'accent exotique qu'il faut (voix pas particulièrement gracieuse, mais dotée de l'autorité et de l'abattage nécessaires) ; et puis les autres, le squillo (éclat des résonances aiguës) de Robin Johannsen, l'élégance de Julian Pregardien. Bref, tout est superbe, la plus belle chose produite par la discographie – jusqu'ici, j'avais mes habitudes chez Christie (épuré et vif), Solti (superbes couleurs, distribution opulente), Moralt 44 (distribution formidable, à commencer par Dermota), Harnoncourt, voire Weil et Fricsay (plutôt la version de 49), mais c'est la première fois que le drame prend aussi bien, dans les dialogues incontestablement, et même dans les parties musicales, jamais aussi évidentes et urgentes. Néanmoins, je ne puis manquer de m'interroger : vu la discographie surabondante (largement au delà de la cinquantaine de publications officielles) et la permanence sur les scènes… […]
2014-07-01 15:16:37
Extraordinaire Clemens Krauss à Vienne
[…] le chef d’orchestre viennois, mais également avec l’éblouissant premier violon Willi Boskovsky. Écoutez par exemple comment il détaille son solo représentant La Femme du Héros : par son jeu de velours si expressif et si sensuel, personne ne l’a jamais égalé… Toutes les gravures straussiennes viennoises de Clemens Krauss – d’office des références – sont des premières au microsillon, si l’on excepte sa Salomé de mars 1954 qui fut anticipée uniquement par celle de Rudolf Moralt en 1952 chez Philips, nettement inférieure tant au niveau artistique que technique. Par ailleurs il est très révélateur que deux immenses violoncellistes français – clarté oblige ! – aient été requis comme solistes dans plusieurs gravures en studio de Don Quichotte op. 35 : Paul Tortelier avec Sir Thomas Beecham (78 tours, octobre 1947), Rudolf Kempe (Berlin, juin 1958), Rudolf Kempe encore (Dresde, juin 1973) ; Pierre Fournier avec Clemens Krauss (juin 1953), George […]
Pas plus ?
Tous les jours, soclassiq cherche de nouveaux articles, vidéos, concerts, etc. sur la musique classique et l'opéra, leurs artistes, leurs lieux de concert, leurs orchestres....
Jacob Moralt ? Nous n'avons pas encore rassemblé beaucoup de contenu sur ce sujet, mais nous continuons à chercher.
ou
- chronologie: Compositeurs (Europe).
- Index (par ordre alphabétique): M...