Jean-Georges Kastner Actualités
compositeur et auteur français
- opéra
- France
- compositeur ou compositrice, musicologue, professeur ou professeure de musique, théoricien ou théoricienne
Dernière mise à jour
2024-04-26
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2021-11-05 08:56:23
Nuremberg. Opernhaus. 1-XI-2021. Antonio Vivaldi, Il Bajazet, opéra en trois actes sur un livret d'Agostino Piovene, pastiche avec airs de Riccardo Broschi, Giacomelli, Porpora, Hasse. Mise en scène : Nina Russi ; décor : Mathis Neidhardt ; costumes : Annemarie Bulla. Avec : David DQ Lee (Tamerlano) ; Florian Götz (Bajazet) ; Almerija Delic (Asteria) ; Nian Wang (Andronico) ; Julia Grüter (Irene) ; Maria Ladurner (Idaspe). Staatsphilharmonie Nürnberg ; direction : Wolfgang Kastner. L’article est apparu en premier sur ResMusica.
2019-01-21 04:13:13
[…] de l’orchestre ». Et il n’est pas tendre avec le public non plus, surtout le parisien, qu’il juge souvent absolument ignare, ou l’italien qui fait à peu près tout sauf écouter la musique qui est donnée. Lire les articles de Berlioz sur les premières représentations d’œuvres nouvelles auxquelles il a assisté donne une idée certes superficielle mais non moins claire de l’étendue d'un répertoire aujourd'hui totalement disparu : L’An Mil de Grisard, Le Remplaçant de Batton, Eva de Girard et Coppola, La Maschera de Kastner et tant d’autres. Ces articles sont aussi des bijoux littéraires, qu’il écrit comme s’il s’agissait d’un roman ou d’une nouvelle, avec style, esprit et mordant. Berlioz est un boulimique, il voit tout, entend tout, écoute tout, décortique chaque livret dans le détail (en s’en moquant un peu au passage, comme dans le Marie Stuart de Louis Niedermeyer : « Les marins chantent, comme dans le Tableau parlant : Déjà les vents s’apaisent, Les voilà qui se taisent. Pourtant […]
2018-08-01 03:04:01
Berlioz appréciait les deux compositeurs, dont le second est injustement oublié. Est-ce suffisant pour ouvrir le concert par le premier concerto pour clarinette de Weber ? D’autant que l’œuvre – abondante – de Georges Kastner autorisait un autre choix (chœur orphéonique ou mixte, fragment d’opéra, pièce pour orchestre d’harmonie etc.). Grand classique parmi les concertos pour clarinette, le premier de Weber est un pur joyau, suffisamment connu pour nous dispenser d’en rappeler les qualités. Si l’éloignement de l’orchestre en étouffe le son, la direction d’Hervé Niquet laisse ici perplexe, qui brasse beaucoup d’air, en ces temps de canicule, pour un effet modeste. Les phrasés, les couleurs, les respirations, les oppositions sont estompés pour une production insipide, plate. C’est particulièrement vrai dans le finale. L’allegretto est pris très rapide, trop, les couplets du rondo, délibérément contrastés, paraissent pâles à l’orchestre. Le bonheur vient de Paul Meyer, à la virtuosité magistrale, au jeu d’une […]
2018-04-09 13:23:24
[…] son ultime opéra. Massenet s’en chargea. Mais depuis un siècle, c’est à peine si son nom est mentionné dans les ouvrages musicaux. Pour ressusciter cette œuvre créée en 1893, soit deux ans après la mort de Delibes, sera réunie une distribution qui paraît idéale (Véronique Gens, Cyrille Dubois, Alexandre Duhamel, Anne-Catherine Gillet), dirigée par Michael Schønwandt. Enfin, une exhumation humoristique (le 26) due à Hervé Niquet, les Cris de Paris, sorte de poème symphonique de Jean Georges Kastner dont on découvrira peut-être un jour l’œuvre lyrique. Des rendez-vous à ne pas manquer !
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