Johannes Ockeghem Vidéos
compositeur français du XVe siècle
- Cantus firmus
- royaume de France
- compositeur ou compositrice
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Dernière mise à jour
2024-04-19
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Johannes Ockeghem Ensemble Musica Nova
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Philippe Caillard Gabel Johann Crüger Laus Jakobus Gallus Hans Leo Hassler Michael Praetorius Jacopo Bologna Corbeil Guillaume Dufay Gregor Aichinger Alessandro Scarlatti Scarlatti Pierre Thibaud Thibaud Johannes Ockeghem Jean Sébastien Bach Lassus Andrea Gabrieli Gabrieli Ensemble Vocal Philippe Caillard 1340 1397 1474 1511 1521 1550 1564 1571 1591 1598 1612 1618 1621 1622 1628 1646 1660 1662 1680 1725 1948
00:00 Fanfare “Vive le Roi” (Josquin Des Prés, c1450-1521) 01:03 Requiem (Josquin Des Prés) sol. B. Gabel 06:03 Christ lag in Todesbanden (Johann Crüger, 1598-1662) 08:57 Laus et perennis Gloria (Jakobus Gallus, 1550-1591) 10:33 Choral “Vom Himmel hoch” (Hans-Leo Hassler, 1564-1612; Michael Praetorius, 1571-1621; Crüger) 15:11 Regina Coeli (Joan Cererols, 1618-1680) 16:46 Lux purpurata radiis - Diligite justitiam (Jacopo di Bologna, fl. 1340–c1386) 19:48 Agnus Dei (Martin Fleurié, XIV siècle) 22:09 Concordi laetitia (Pierre de Corbeil, c1150-1222) 23:49 Alleluia (Gallus) 25:43 Gloria ad modum tubae (Guillaume Dufay, 1397-1474) 28:05 Duo Seraphim (Gallus) 30:35 Laudate Dominum (Gregor Aichinger, c1564-1628) 36:55 O Jesu Fili David (Josquin Des Prés) 39:14 Exultate Deo (Alessandro Scarlatti, 1660-1725) Ensemble Vocal Philippe Caillard & Ensemble Instrumental Pierre Thibaud & Bernard Gabel, trompettes René Allain & Max Foucher, trombones Direction: Philippe Caillard Philippe Caillard a réalisé le programme de ce disque en choisissant des œuvres qu'il aime, en les distribuant librement aux voix et aux instruments selon les principes en usage durant de longs siècles, sans jamais toucher à la matière proprement musicale. La succession de ces nombreux morceaux pourra sembler capricieuse, nous promenant avec désinvolture à travers les siècles, goútant fugitivement au style baroque pour revenir au Moyen Age, avant que de virevolter vers la Renaissance. Un seul but a guidé l’interprète-réalisateur, celui d'une heureuse variété esthétique et musicale, d'un enchaînement harmonieux obéissant à la logique du cœur et de l'imagination. De JOSQUIN DES PREZ, figure suffisamment illustre pour qu'il soit inutile d'en rappeler ici la biographie, on nous propose d'abord une éclatante fanfare dite Vive le Roy, écrite peut-être en l'honneur de Louis XII, et dans laquelle deux trompettes et un trombone font entendre un canon à l'octave et à la quinte, cependant que le second trombone énonce une sorte de cantus firmus. De JOSQUIN toujours, la musique du Requiem pourra sembler familière à certains: elle est en effet identique à celle de sa célèbre Déploration de Johannes Ockeghem, mais ici seule la partie de ténor comporte des paroles, celles de l'Introït de l'Office des Défunts, sur le cantus firmus du Requiem grégorien, qu'entourent quatre parties instrumentales (trompette et cordes). Après une partie confiée aux cordes seules, l'œuvre, d'une émouvante gravité d'expression et d'une écriture polyphonique grandiose, se termine par le Requiescant in pace, oà les voix, doublées par les instruments, s'épanouissent enfin à cinq parties. Johann CRÜGER, né à Gross Breesen (Prusse) en 1598, fut organiste et cantor de l'église Saint-Nicolas à Berlin, de 1622 à sa mort survenue en 1662. Auteur de nombreuses collections de Chorals et d'éminents traités théoriques, il demeure surtout vivant comme le créateur d'admirables mélodies de Chorals, immortalisées par Jean-Sébastien Bach dans ses Cantates et Passions. Les adaptations de Chorals de Crüger lui-même se distinguent par une vigueur et un éclat splendides, encore proches de l'art renaissant. Ainsi du Christ lag in Todesbanden gravé ici, paraphrase luthérienne du Victimae paschali laudes, dont Philippe Caillard nous fait d'abord entendre la mélodie grégorienne à la trompette seule. Vient ensuite le Choral, harmonisé aux quatre cuivres, et enfin chanté à quatre parties vocales (doublées par les cordes), auxquelles s'ajoutent deux parties «concertantes» de trompettes, aux ornements agiles et rapides. Avec Jacob HANDL, alias Jacobus GALLUS (Rybnica, Slovénie, 1550 - Prague 1591) nous avons affaire à l’un des plus grands maîtres tardifs de la polyphonie renaissante, et à l'un des plus éminents représentants musicaux du courant de la Contre-Réforme issu du Concile de Trente. Sa formation nous est mal connue, mais révèle l'assimilation féconde des œuvres de Lassus et d'Andrea Gabrieli. Gallus est en effet l'un des premiers maitres de l'écriture polychorale, ainsi qu'en témoignent les trois admirables doubles-chœurs retenus par Philippe Caillard. Voici tout d'abord le Motet Laus et perennis gloria, aux fréquents effets d'écho : le chœur vocal à quatre parties s'y oppose au chœur instrumental des deux trompettes et des deux trombones.
Ockeghem Gilles Binchois Picard Ensemble Gilles Binchois 2016
Enregistrement produit en juillet 2016 pour le projet ReViSMartin - Renaissance virtuelle en musique de la collégiale Saint-Martin de Tours. (http•••) Roman Melish, alto - Vincent Lièvre-Picard, ténor - Dominique Vellard - ténor et direction - Guillaume Olry, basse - Tim Scott Witheley, basse Jean-François Felter : ingénieur du son
Stella Maris Kodály Bardot Zoltán Kodály Eriksson Ockeghem Josquin Desprez 2019
Chant d'entrée du public : Tábortüznél, chant populaire traditionnel hongrois harmonisé par Lajos Bárdos - ici revisité par Olivier Bardot. Chœur Stella Maris Direction / Conductor : Olivier Bardot stellamaris.fr Enregistrée en mars 2019 à la Bellevilloise, Paris, lors du spectacle : Les atmosphériques, chapitre 1 Scénographie : Aurélie Lemaignen Lumières : Eric Gest Captation du spectacle : L'air de rien Production Montage : Sophie Rozwadowski Mixage : Lucas Derode Programme de salle : Lájos Bárdos sera, avec son compatriote Zoltán Kodály, l’unique compositeur non contemporain de notre soirée. L’atmosphère d’intimité dégagée par ce magnifique chant hongrois désormais très populaire auprès des chœurs occidentaux nous a semblé un beau prétexte pour vous accueillir et commencer au grand air le voyage intérieur que vous vous apprêtez à vivre avec nous. Ayant travaillé, encore étudiant, avec l’inénarrable chef suédois Gunnar Eriksson qui savait superposer sans vergogne un standard jazz avec la Déploration sur la mort d’Ockeghem de Josquin Desprez dans la mesure où leur progression harmonique était compatible, je me suis amusé à faire chanter la moitié du chœur deux fois plus lentement que l’autre, ce qui dédouble l’effet hypnotique de la musique. Szellõ zúg távol, alszik a tábor Alszik a tábor, csak a tüz lángol. Rakd meg, rakd meg, jó pajtásom azt a tüzet, Isten tudja, mikor látunk megint ilyet Szellõzúgásnak fárad a hangja, Kis falucskának szól a harangja. Hallga, hallga, szól a harang Bim, bam, bim, bam, Lelkünk mélyén kél rá visszhang Bim, bam, bim, bam. m.......... Bim, bam, bim, bam. m.......... Bim, bam, bom Comme un murmure loin sur la plaine, Souffle le vent venant des montagnes. Mais auprès du feu qui veille rouge braise Tout repose dans le rêve, dans le calme. Lorsque le vent s'apaise vers l'aube Tinte la cloche aux toits du village. Et longtemps encore sonne, Bim, bom, bim, bom Sa chanson au cœur de l’homme Bim, bom, bim, bom m............. Bim, bom, bim, bom m............. Bim, bom, bôm
ou
- chronologie: Compositeurs (Europe).
- Index (par ordre alphabétique): O...