Josef Beneš Actualités
compositeur
- Autriche, République tchèque
Dernière mise à jour
2024-03-24
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2023-10-21 14:08:00
[…] vrai et du faux, comme pour la plupart de ses confrères.Pendant quatre ans, de 1924 à 1928, F. de Méans signa de son nom plus d’une quarantaine de lettres de Prague où il résidait. Il y a de quoi être étonné de la légèreté de son savoir à propos de Janáček. Il est vrai qu’il embrassait une large actualité dans ses articles, allant de la politique du gouvernement tchécoslovaque, aux personnages célèbres (František Palacký (3), Edvard Beneš (4), etc.), aux travaux du Hradčany, aux rapports franco-tchèques, aux écrivains tchèques et artistes peu connus en France à cette époque. Il n’intervint que très peu dans le domaine musical, trois à quatre fois seulement. Pour cet article Janáček, il dut se renseigner auprès de personnes qu’il crut bien informées. Et celles-ci ne l’étaient manifestement pas. Pourtant, en 1928, Janáček, que le monde musical pragois avait longtemps ignoré, l’était beaucoup moins depuis la première […]
2019-04-15 17:53:00
[…] 17 cm. 5. Consécration de ces Olympiades, Erato ne grava pas moins de 8 autres disques dédiés chacun à un ensemble choral distingué par le palmarès (deux chorales françaises, une italienne, deux allemandes, une israélienne et deux chorales tchèques). 6. Ce cycle choral fut le premier à pénétrer en Europe occidentale, en Belgique, à Spa plus précisément, en 1905 le 25 juillet porté par les voix de la Chorale Smetana dirigée par Bohuslav Beneš au cours d'une de ses tournées internationales. 7. Revue Disques, numéro 86, février 1957. Un peu plus tard, Erismann rédigea un livre en l’honneur de Janáček, une cinquantaine d’année après celui de Daniel Muller. Robert Brussel dans les années 1920 et 1930, Marc Pincherle, un peu plus tard et Jacques Feschotte, dans les années 1950, tentèrent bien d’attirer l’attention sur Janáček, sans succès dans l’immédiat.
2019-03-07 13:52:56
Francfort. Opernhaus. 2-III-2019. Bedřich Smetana (1824-1884) : Dalibor, opéra en 3 actes sur un livret de Josef Wenzig. Mise en scène : Florentine Klepper. Décor : Boris Kudlička. Costumes : Adriane Westerbarkey. Lumière : Jan Hartmann. Vidéo : Anna Henckel-Donnersmarck, Kai Ehlers. Avec : Aleš Briscein, Dalibor ; Izabela Matuła, Milada ; Gordon Bintner, Vladislav ; Simon Bailey, Budiboj ; Thomas Faulkner, Beneš ; Theo Lebow, Vítek ; Angela Vallone, Jitka ; Lena Reidt, Max Walcha, live-vidéo. Chor (chef de chœur : Tilman Michael) et Frankfurter Opern-und Museumorchester, direction musicale : Stefan Soltesz
2018-02-26 09:06:44
C’est la version de Stockholm qu’on nous propose à l’opéra de Prague. Il nous sera donc donné de voir un roi assassiné sur scène, ce que l’on avait refusé en son temps à Verdi. Cela l’avait conduit, bien malgré lui, à contourner l’obstacle et à transposer l’intrigue à Stettin, à Boston, Naples ou Stockholm... Un bal masqué fatal donc, subtilement préfiguré d’emblée par un superbe pavage en trompe-l’œil qui couvre toute la scène; il sera comme le fil conducteur de l’action jusqu’au III, où il se mariera magnifiquement avec les éclatants décors de la scène de bal (superbes et riches costumes de Marek Spin). Le signe du trompe-l’œil est omniprésent et pas seulement au bal où il s’agit bien sûr de reconnaître qui est l’autre, de ne pas se tromper de cible quand le coup fatal va partir. Mais ce fil conducteur dans le décor dit aussi l’équivoque des sentiments. […]
ou
- chronologie: Compositeurs (Europe).
- Index (par ordre alphabétique): B...