Kiandra Howarth Actualités
Dernière mise à jour
2024-04-19
Actualiser
2022-05-04 07:23:10
[…] Kabiljak (Froh) et Jordan Shanahan (Donner) s’approprient leurs personnages avec la vigueur et la fraicheur de la jeunesse. David Soar compose un Fasolt en retrait et dont on peine à saisir le chagrin amoureux. Le Fafner d’Oleg Davydov devrait rayonner dans le Siegfried quand son tour viendra. On est un peu moins emballé par la distribution féminine. Anna Danik manque de profondeur et d’étoffe pour suspendre tout à fait le temps pendant l’apparition d’Erda. Kiandra Howarth est bien chantante dans le si court et ingrat rôle de Freia. Patricia Bardon cherche encore toute la noblesse qui font de Fricka autre chose qu’une future femme au foyer jalouse. Enfin, les trois filles du Rhin enchantent la première scène et la dernière intervention de ce prologue.
2021-05-25 14:10:00
Français - La saison 2021-2022 de l'Opéra de Zürich s'annonce riche et palpitante
[…] de Ted Huffman (qui nous glissait quelques mots à propos de ce projet de création lorsque nous l’avions rencontré en janvier 2020). La distribution est quasi identique à celle prévue initialement : Thomas Hampson, Lauren Snouffer, Dame Felicity Palmer et Laura Aikin seront donc bien de la partie. En mai, la maison suisse proposera deux nouvelles productions. Tout d’abord, L’Or du Rhin, imaginé par Andreas Homoki, avec notamment Tomasz Konieczny, Jordan Shanahan, Patricia Bardon ou Kiandra Howarth, ensuite Il mondo della luna de Joseph Haydnn que l’on aurait dû voir en 2020. La distribution a été retravaillée ici, et l’on devrait retrouver plusieurs jeunes talents. Après une version concertante d’Il Pirata, avec notamment Albina Shagimuratova et Javier Camarena, la série des nouvelles productions se clôturera avec Les Noces de Figaro, imaginé par Jan Philipp Gloger, à qui l’on doit déjà une Princesse Czardas très convaincante sur cette même scène. Lea Desandre […]
2020-09-05 05:00:00
[…] en est auteure, metteure en scène, décoratrice et actrice-performeuse. Moins neuf que radical, le fond de l’œuvre veut démontrer que art et vie personnelle de l’artiste sont identiques, que le destin des personnages de la Callas est semblable à son destin privé. Très originale, la forme montre d’abord 7 airs, des plus célèbres, où les héroïnes meurent par amour, interprétés en version concert par Parc Hera Hyesang (Violetta), Selene Zanetti (Tosca), Leah Hawkings (Desdemona), Kiandra Howarth (Cio-Cio-San), Nadezhda Karyazina (Carmen), Adela Zaharia (Lucia), Lauren Fagan (Norma). Simultanément, dans 7 vidéos, M.Abramovic joue Maria Callas dans la mort de l’héroïne, tuée à chaque fois par le même homme, Aristote Onassis (William Defoe) ; les scènes étant reliées par les compositions de Marko Nikodijevic. Puis, seule en scène, M.Abramovic est « La Divina », mourant dans son appartement parisien en 1977, avec 20 minutes de musique de Nikodijevic, qui aime fusionner structures et tonalités du […]
2019-04-10 05:37:29
[…] la version Naxos, les têtes d’affiche sont moins prestigieuses que dans la version de studio évoquée plus haut, mais la captation en public garantit cette vie que le studio ne parvient pas toujours à reconstituer. Nous sommes en Espagne, et c’est un baryton espagnol que l’on entend : Àngel Òdena, habitué aux personnages verdiens et pucciniens, et qui ne rencontre donc aucune difficulté particulière dans le rôle assez peu exposé du comte Gil. La Britannique Judith Howarth a le timbre clair et le tempérament nécessaire à l’héroïne, mais comme dans un Guillaume Tell dont elle était la Mathilde, sa diction manque de netteté, et c’est dommage. Une version qui ne démérite pas, mais qui ne s’impose pas à l’évidence au-dessus de celles déjà disponibles.
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- chronologie: Artistes lyriques.
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