Michael Mayes Actualités
Dernière mise à jour
2024-03-28
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2023-06-29 16:48:58
Saint-François d’Assise (Olivier Messiaen - 28 novembre 1983 - Paris, Palais Garnier) Représentation du 25 juin 2023 Stuttgart Staatsoper Saint François Michael Mayes L’Ange Beate Ritter Le lépreux Moritz Kallenberg Frère Léon Danylo Matviienko Frère...
2018-04-23 14:23:00
La Voix du NordC'est là que s'est joué son sort : « Ma mère adorait la musique classique. Elle m'a emmené au concert, à Belfast. Le violoniste solo était exceptionnel. J'ai immédiatement su que c'était le métier que je voulais faire. » Après un long cycle d'études au ...
2018-02-13 07:27:26
[…] des victimes. Les seconds rôles se placent dans ce niveau de justesse et d’engagement scénique : Damiàn Del Castillo (George Benton), Maria Hinojosa (Kitty Hart), Toni Morsol (Owen Hart) ou encore Pablo Garcia-Lopez (grand-frère). Le choeur du Teatro Real et les Jeunes Chanteurs de la ORCAM témoignent de la qualité artistique de leur institution. Enfin, le deux protagonistes partagent cette capacité à sublimer un matériau assez banal. Si la gueule et la carrure de Michael Mayes (Joseph De Rocher) le rendent tout de suite crédible en meurtrier, sa voix peu colorée et un timbre peu large viennent jurer avec son physique. C’est bien par l’intensité de son jeu et son engagement vocal que le baryton texan emporte l’adhésion. Il en va de même pour Joyce DiDonato qui fait corps avec le rôle d’Helen Prejean à tel point que son chant devient secondaire. En conséquence, certains aigus sont trop bas, certains […]
2018-02-08 14:07:39
Français - Le Teatro Real ranime avec force Dead Man Walking, de Jake Heggie
[…] (deuxième mezzo affiliée au personnage de Helen après la création à San Francisco en 2000 par Susan Graham) irradie de douceur, davantage habitée par les valeurs de la religion que par les dogmes, et fait pleuvoir d’étoiles sonores soutenues son humanisme. On aurait cependant tendance à avouer que le rôle ne lui correspond pas, bloquée d’un vibrato crispé et confrontée à certaines impasses de justesse, malgré une déconcertante virtuosité du legato et de l’attaque. Michael Mayes (Joseph De Rocher), renversant, redouble de registres et d’expressivité, l’écriture de son rôle étant cimentée par le legs jazzy de Louisiane. Le baryton peint la partition en un récitatif continu, lecture personnelle sans silence dans le son, qui se pare de rugosité et de tendresse. D’autres éloges sont à adresser à la mezzo Maria Zifchak, dans la peau de la mère du criminel, croyant à l’innocence tonnée par son fils et déchirante de générosité […]
ou
- chronologie: Artistes lyriques.
- Index (par ordre alphabétique): M...