Nicola Conti Actualités
compositeur italien
Commémorations 2024 (Décès: Nicola Conti)
- orgue
- musique classique, opéra, musique liturgique
- Italie
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Dernière mise à jour
2024-03-29
Actualiser
2023-08-03 14:49:30
Français - Jakub Józef Orliński au festival de Menton : « Please, enjoy ! »
[…] d’Oro avec qui il a collaboré pour divers projets, dont le disque qui inspire le programme. La beauté et l’harmonie de « Crudo amor non hai pieta » (extrait de Claudio Cesare, de Boretti) résonnera ensuite, offrant un moment de grâce, avant que les airs ne s’enchaînent jusqu’à l’entracte, qui arrive assez rapidement. Bien que rapide, cette première partie nous a laissé le temps d’apprécier une belle énergie revigorante pour « Odio, vendetta, amor » (Don Quisciotte, de Conti), ainsi que le violon léger, aérien, omniprésent et omnipotent de Zefira Valova qui transporte lors d'extraits instrumentaux. Toujours vêtu de son costume vert aux légères zébrures rouges créé spécialement pour ce disque et ce programme, Jakub Józef Orliński revient pour une seconde partie plus conséquente dans la durée, pour notre plus grand plaisir. Le Concerto de Locatelli est un interlude véritablement délicieux au cours de cette soirée, tout comme l’ensemble des interventions d’Il […]
2022-04-19 04:02:00
[…] vedette au chanteur (cette ritournelle folle au basson inextinguible !), on est proche de la « battle » où chaque partie alterne. Ce chant très déclamatoire lui va bien : présentant peu de difficultés techniques et alignant des vocalises assez prévisibles, Orlińksi n’en fait qu’une bouchée, mettant l’emphase sur l’indignation voulue par le texte (devant l’erreur du peuple qui ne sut pas reconnaitre la divinité de Jésus) avec de beaux effets variés sur « horrida ». Après l’entracte, les airs de Conti et Schiassi sont plus génériques mais toujours flatteurs pour le chanteur. Si l’air d’Ozias chez Reutter manquait de sévérité et donc de caractère (ici encore, le contre-ténor a manqué d’intelligence du personnage et du drame pour rendre justice au texte), ce même personnage sous la plume de d’Almeida lui va comme un gant. Après une superbe et minimaliste introduction au théorbe, le polonais respecte parfaitement la pudeur du morceau, tout en réussissant à y […]
2022-04-18 04:00:00
[…] le roi n’y a pas assisté. C’est le Dauphin Louis de France, 21 ans, qui honore de sa présence le spectacle. Pour vous faire une idée, je ne résiste pas à vous faire part du portrait qu’en fait le grinçant mémorialiste Saint-Simon : « Monseigneur était plutôt grand que petit, fort gros, mais sans être trop entassé, l’air fort haut et noble, sans rien de rude, et il aurait eu le visage fort agréable, si M. le prince de Conti (…) ne lui avait pas cassé le nez par malheur en jouant, étant tous deux enfants. Il était d’un fort beau blond, avait le visage fort rouge de hâle partout, et fort plein, mais sans aucune physionomie ; les plus belles jambes du monde ; les pieds singulièrement petits et maigres. Presque tous ses portraits lui ressemblent bien. (…) Monseigneur était sans vice ni vertu, sans lumières ni connaissances quelconques, radicalement incapable d'en acquérir, très paresseux, sans […]
ou
- chronologie: Compositeurs (Europe). Interprètes (Europe).
- Index (par ordre alphabétique): C...