Noel Coward Actualités
acteur et dramaturge britannique
- Royaume-Uni
- acteur ou actrice, compositeur ou compositrice, producteur ou productrice de cinéma, dramaturge, écrivain ou écrivaine, parolier ou parolière, scénariste, chanteur ou chanteuse, metteur ou metteuse en scène, auteur-compositeur ou autrice-compositrice, compositeur de musique de film, acteur ou actrice de théâtre, acteur ou actrice de cinéma, réalisateur ou réalisatrice, réalisateur ou réalisatrice de télévision, agent du SOE, producteur ou productrice artistique
Dernière mise à jour
2024-03-18
Actualiser
2022-08-06 04:00:00
[…] faire l'économie, tant le programme est déjà (trop) roboratif. Les aigus sont vacillants, le corps peu impliqué vocalement, la justesse problématique. Le comédien heureusement sauve le chanteur ; Il est si drôle en adolescent emprunté dans les chants traditionnels adaptés par Benjamin Britten ! Dame Felicity Lott lui donne la réplique avec la générosité qu'on lui connaît, y compris lorsqu'elle reste silencieuse – comme dans « Don’t put your daughter on the stage, Mrs. Worthington » de Noël Coward – rendant parfaitement crédible leur couple, qu'ils interprètent comme des personnages de leur génération ou deux gamins qui aiment décidément bien dindons et moutons (la Mascotte, Audran). © Candide Camera La chanteuse ne violente jamais sa voix, travaille ses faiblesses avec délicatesse, accentuant l'expression, les couleurs , les nuances dont de très beaux piani. L'élégance vocale autant que scénique est une vraie leçon, que ce soit dans le si drôle « Never say no […]
2020-09-10 05:04:29
Leonardo García Alarcón a choisi la version de Nikolaus Harnoncourt, et rien n’est plus instructif que de comparer les deux enregistrements. Harnoncourt (1992 en public à Vienne) donne une impression de noblesse, servi par une distribution de luxe (Rolfe Johnson, Alexander, Kowalski, Miles, Scharinger, et Christophe Prégardien dans un minuscule rôle ! ) alors que dès l’ouverture Garcia Alarcón fait feu des quatre fers. Le premier chœur des Philistins « Awake the trumpet’s lofty sound» fait pétarader le Chœur de Chambre de Namur ! On est tout de suite fixé ! Ce Samson enregistré lui aussi en public à Namur sera hyper dramatique et gorgé d’énergie. Ecorniflage Nous sommes en 1742. Haendel est au sommet de sa gloire. Il a donné l’année précédente le Messie. Il est l’inventeur de l’oratorio à l’anglaise. Et Samson est son huitième. Lors de ses trente premières années londoniennes, il a surtout pratiqué le genre à la […]
2020-08-12 04:03:08
[…] impossible de tout mettre dans un livre de taille raisonnable, et déjà augmenté d'une quarantaine de pages par rapport au projet initial, fruit de quatre années de travail. L'ouvrage retrace également l'itinéraire du couple depuis leur rencontre dans les années 50. On y apprend l'origine de leur installation en Suisse. Dans les années 60, Joan Sutherland et Richard Bonynge vivaient en Grande-Bretagne et disposaient d'une résidence secondaire au bord du Lac Majeur. Le couple rencontre Noël Coward à l'occasion d'une croisière vers New-York (c'était avant la jet set society !). Il leur suggère d'abandonner leur double résidence pour s'installer comme lui en un lieu plus central, la Suisse, à proximité d'un aéroport international. Coward se propose même pour aider à trouver la maison du couple. Mais rien de plait à Bonynge, sauf un chalet au dessus de celui du dramaturge britannique, qui n'est pas à vendre. Coward prend son courage à […]
2020-02-25 03:00:29
[…] s’amuse, comme plusieurs autres airs chantés ce soir. « Dis-moi, Vénus » est un très grand moment : si elle n’a jamais eu exactement la voix du rôle, même il y a quinze ans, Felicity Lott en a totalement l’esprit, et nous fait rire comme si nous n’avions jamais entendu le texte de Meilhac et Halévy. Après tant de grivoiseries gauloises, petit détour par le monde anglo-saxon qui n’est pas en reste : la France découvrira-t-elle un jour Noel Coward, sorte de réponse britannique à Sacha Guitry, mais qui composait en outre la musique de ses propres chansons ? Même pour les auditeurs non-anglophones qui n’auront pas saisi l’entrelacs de jeux de mot dont le texte est truffé – le concert n’est pas surtitré –, le jeu de citations de Funiculi, funicula dans « A Bar on the Piccola Marina » suffirait à éveiller l’attention. « Les Chemins de l’amour » rendent hommage à Yvonne Printemps, mais certaines intonations […]
ou
- chronologie: Compositeurs (Europe). Artistes lyriques (Europe). Interprètes (Europe).
- Index (par ordre alphabétique): C...