Norman Bailey Actualités
artiste lyrique
- baryton-basse
- Royaume-Uni
Dernière mise à jour
2024-04-15
Actualiser
2023-10-28 15:25:00
CD : 50 ans après sa mort, le disque démontre qu'Otto Klemperer est l'infaillible parangon du chef lyrique maître du temps et du rythme
[…] le Hollandais déchirant de Theo Adam, l’Elsa hallucinée d’Anja Silja et l’impressionnant Daland de Martti Talvela, l’excellent Chœur de la BBC et le New Philharmonia Orchestra chauffé à blanc, ainsi qu’un ardent premier acte de La Walkyrie (Die Walküre, 1969) avec Helga Dernesch, William Cochran, Hans Sotin et un New Philharmonia Orchestra incandescent capté en 1969, complété des « Adieux de Wotan », finale de l’acte III de la première journée du Ring (1970) chantés par Norman Bailey avec le New Philharmonia, ainsi que le finale de Tristan und Isolde (1970) ajouté aux Wesendonck Lieder (1962) avec Christa Ludwig et le Philharmonia. Quatre opéras de Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791) qui représentent une véritable somme au sein de la riche production discographique qui leur est consacrée, même s’il manque dans La Flûte enchantée (Die Zauberflöttte, 1964) les dialogues auxquels Klemperer ne voulait surtout pas renoncer, allant ainsi à l’encontre de la volonté de […]
2022-05-31 10:00:32
[…] par une Leonore d’Izabela Matuła en majesté. Timbre séduisant, sens aigu de la nuance, capable de côtoyer les sommets en pianissimo ; son « Padre, padre », véritable parenthèse extatique, fut le moment de grâce de la soirée. Un satisfecit convaincu est délivré aussi à Andreas Bauer Kanabas dans les deux rôles de Calatrava et du Padre Guardiano ; belle présence, autorité et maîtrise vocale complète. On en dira de même, l’humour en plus, du Fra Melitone de Simon Bailey. La Preziosilla de Bianca Andrew est pimpante à souhait même si son Rataplan manque un peu d’autorité (il faut dire, à sa décharge qu’elle l’achève, hélitreuillée vers un hélicoptère de l’US-Army qui l’avait déposée peu avant dans le camp de GIs !) Les deux rôles masculins principaux sont décevants : Alfred Kim (Alvaro) est la démonstration vivante que la puissance ne fait pas tout si le chant lui-même n’y est pas. Quant au Carlo de Željko […]
2022-03-02 08:00:43
Français - Puissant clap de fin au Teatro Real pour la Tétralogie de Carsen et Heras-Casado
[…] est un Gunther au profil de mante religieuse, qui observe l’interlocuteur pour mieux s’en nourrir, aidé d’une émission intacte de précision. Amanda Majeski saisit l’essence même de Gutrune en traduisant l’authenticité et l’espoir de ses actes. Son fil d’eau de source régénère également l’une des Nornes, aux côtés de la matière porteuse de message de Kai Rüütel et Claudia Huckle. Cette dernière forme sertit par ailleurs superbement la gravure des Filles du Rhin avec Elisabeth Bailey et María Miró. Enfin, l’excellence du Coro Titular del Teatro Real et la perversité radicale de Martin Winkler en Alberich achèvent d’emporter l’adhésion. À quand la prochaine Tétralogie au Teatro Real ? Thibault Vicq (Madrid, 27 février 2022) © Javier del Real - Teatro Real
2021-11-22 04:25:47
Stuttgart. Opernhaus. 13-XI-2021. Paul Dessau (1894-1979) : Die Verurteilung des Lukullus (La condamnation de Lucullus), opéra sur un livret de Berthold Brecht. Conception : HAUEN UND STECHEN. Mise en scène : Franziska Kronfoth, Julia Lwowski ; décor : Christina Schmitt ; costumes : Yassu Yabara. Avec : Gerhard Siegel (Lukullus) ; Friedemann Röhlig (le roi) ; Alina Adamski (la reine) ; Torsten Hofmann (Lasus) ; Cheryl Studer (Tertullia) ; Maria Theresa Ullrich (la poissonnière) ; Simon Bailey (le juge des morts) ; et Elliott Carlton Hines, Deborah Saffery, Philipp Nicklaus, Heinz Göhrig, Jasper Leever... Chœur de l'Opéra de Stuttgart ; Staatsorchester Stuttgart ; direction : Bernhard Kontarsky. L’article est apparu en premier sur ResMusica.
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- chronologie: Artistes lyriques (Europe).
- Index (par ordre alphabétique): B...