Renato Capecchi Actualités
artiste lyrique
- baryton-basse
- Italie, royaume d'Italie
Dernière mise à jour
2024-03-19
Actualiser
2020-05-11 04:00:31
[…] a chanté le rôle d'Osaka dans sept productions différentes de 1962 à 1970. Mais son approche manque un tantinet d'ampleur dramatique. Osaka est également un personnage sombre, et cela doit s'entendre dans l'interprétation. Ottolini a une belle voix à la fraicheur juvénile, mais peine à capter le dépit amoureux en filigrane des agissements indélicats de son personnage. L'approche est trop linéaire pour montrer pleinement tous les aspects d'Osaka, plus complexe qu’on ne le pense. Renato Capecchi qui chante Kyoto est une basse de premier ordre qui s'est distinguée par la longévité de sa carrière, laquelle s'est poursuivie jusque dans les années 1980. Avec une solide expérience et un beau timbre grave, le chanteur donne une belle présence sombre au gérant de maison close. La direction de Fulvio Vernizzi confère l'amplitude nécessaire à une telle partition, pétrie de motifs et de références musicales. Mais il manque dans sa direction le souffle […]
2018-11-21 17:44:00
Français - Entretien avec Nicola Alaimo : « Nous chanteurs, nous devons être des acteurs »
[…] l’opéra, surtout Rossini. Ma grand-mère m’a ensuite initié à la musique avec le piano et le chant et ainsi, progressivement, l’opéra est devenu une passion puis mon métier. Mon modèle ne peut être, à l’évidence, que mon oncle Simone qui est devenu mon Maître de chant, mais aussi un guide dans ma vie, surtout après le décès de mon père. Puis, en progressant, j’ai eu d’autres références dont je me suis inspiré : Giuseppe Taddei, Renato Capecchi, Sesto Bruscantini. Des artistes superbes d’éclectisme, capables d’interpréter tant le répertoire bouffe que dramatique sans dénaturer leur voix. Comment décrieriez-vous l’évolution de votre voix et à cet égard, quel répertoire sied le mieux à votre tessiture ? Nicola Alaimo, Falstaff J’ai commencé le chant comme baryton et je me suis toujours senti baryton. Même si au cours de ma carrière, on m’a plus d’une fois proposé des rôles de basses-barytons que […]
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Le blog d'Olivier Bellamy
2018-06-13 12:29:45
André Ferréol, Aix-tra !
On en redemande. Voici son programme : DON JUAN /MOZART PAR UN RENATO Capecchi (SI POSSIBLE) -RACHMANINOV / LA 7EME VÊPRES -UN EXTRAIT DU BOLERO DE RAVEL -UN AIR DE CECILIA BARTOLI LES MADELEINES -JOHNNY HALLIDAY « QUE JE T’AIME » -UN TITRE DE LIONEL HAMPTON AU VIBRAPHONE -UN EXTRAIT DE VIOLONCELLISTE C DOMINIQUE DE WILLIENCOURT ETCHMIADZINE ET LE MONT ARARAT OP. 2 POUR VIOLONCELLE SEUL EDITIONS FORTIN-ARMIANE
2016-07-19 17:33:23
[Carnet d'écoutes n°98] – Czerny, Jaëll, les Nozze, la Forza, le Ring, expos
[…] ♣ Solti à Covent Garden (1962), paru chez Myto (et pas réédité, apparemment – mais c'est désormais du domaine public) : Floriana Cavalli y chante assez faux, mais déclame comme personne. Bergonzi, dans ces années, dispose, en plus de la grâce du timbre, de toute l'ardeur requise (perdue dans le studio de Gardelli, où il paraît assez bonhomme pour un mulâtre maudit, fils d'empereur provoquant en duel les Grands d'Espagne…). Veasey, (John) Shaw, Capecchi, Ghiaurov, et même (Forbes) Robinson (Marquis de Calatrava extrêmement prégnant, dans un très bel italien d'ailleurs) tous marquants, et surtout cette énergie d'équipe. Solti y est direct, sobre, toujours animé, à l'opposé des studios rutilants et assez figés de la même période. Vraiment idéal en tout point. [écoutable ici ] ♣ Schmidt-Isserstedt à Hambourg (1952) en allemand (chez Walhall), avec Clara Martinis (timbre cousin de Mödl, avec plus de souplesse), Mödl, […]
ou
- chronologie: Artistes lyriques (Europe).
- Index (par ordre alphabétique): C...