René de Castéra Vidéos
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2024-05-03
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Joseph Jongen René Castéra Damien Top 2021
Provided to YouTube by CDBaby Sonate en Mi, Op. 13: I. Modéré · Ensemble Joseph Jongen René de Castéra: Chamber Music 1 ℗ 2021 Damien Top Released on: 2021-07-01 Auto-generated by YouTube.
Albert Charles Paul Marie Roussel Debussy Ravel Kathryn Rudge Rudge Alessandro Fisher Yan Pascal Tortelier Tortelier Gustave Samazeuilh Castéra Maus Caves Cbso Cbso Chorus Bbc Philharmonic Lotus 1856 1869 1873 1877 1910 1911 1919 1937 1944 1955 1967
Albert Charles Paul Marie Roussel (5 April 1869 – 23 August 1937) was a French composer. He spent seven years as a midshipman, turned to music as an adult, and became one of the most prominent French composers of the interwar period. His early works were strongly influenced by the impressionism of Debussy and Ravel, while he later turned toward neoclassicism.'' Évocations. Op. 15 (1910 April-1911 June, possibly revised 1920s) For Solo Voices, Chorus and Orchestra Librettist: Michel Dimitri Calvocoressi +••.••(...)), after Kālidāsa (fl.4th century–5th century) 1. Les dieux dans l’ombre des cavernes (0:00) 2. La ville rose (13:43) 3. Aux bords du fleuve sacré (23:38) Kathryn Rudge, mezzo soprano Alessandro Fisher, tenor Francois le Roux, baritone CBSO Chorus & BBC Philharmonic conducted by Yan Pascal Tortelier Dedication: Gustave Samazeuilh +••.••(...)) René De Castéra +••.••(...)) Octave Maus +••.••(...)) Description by "Blue" Gene Tyranny [-] This symphonic triptych of lovely Impressionist textures was composed in the years 1910-1911 and reflects the composer's profound experience with Eastern cultures while in the French Navy in his early years (he had also made a special study of mathematics in the Naval School). The instrumental first part, "Les Dieux dans l'ombre des cavernes" (The gods in the shadow of the caverns) is a sweeping impressionist tone poem on the emotional impact of the Hindu statues and other representations in the cave temples, especially that of Lord Shiva in the Ellora cave. The rays of light through the jungle and the mysterious darkness of the caves soon change from a shimmering transparent texture to overwhelmingly dramatic melodicism that expresses awe in the face of the thousands of years and profundity of Indian culture and philosophy. The instrumental second part, "La ville rose" (The rosy city) expresses varying images of a bustling city, of festival dances, of the rays of the setting sun, and other images deliberately left to the imagination of the listener. The third part, "Aux bords du fleuve sacré" (On the shores of the sacred river) adds a chorus and three soloists who employ the (somewhat overwrought) text by M.D. Calvocoressi to describe the life-giving force of the holy river, the temples, the lotus blossoms, the lovers wandering on the banks. Not often performed, this work is certainly as compelling as the works of Debussy and Ravel within this same period.
Blanche Selva Saint Amant Vincent Indy Indy Bach Isaac Albéniz Beethoven César Franck Rameau Couperin Schumann Chopin Albert Roussel Paul Dukas Albéric Magnard Jean Roger Ducasse Ducasse Marcel Labey René Castéra Déodat Séverac Debussy Ravel Honegger Rachmaninov Smetana Massià Schola Cantorum 1884 1897 1901 1903 1904 1920 1924 1925 1927 1928 1930 1936 1942
rec. 1928 Blanche Selva est une pianiste, pédagogue et compositrice française, née à Brive-la-Gaillarde en Corrèze le 29 janvier 1884 et morte le 3 décembre 1942 à Saint-Amant-Tallende dans le Puy-de-Dôme. D'origine catalane, elle commence le piano à quatre ans et demi. Son père décide de s'installer à Limoges puis à Paris où Blanche Selva rentre en classe préparatoire du Conservatoire de Paris et y obtient sa première médaille. Elle quitte le conservatoire à 12 ans et demi. Autodidacte, elle travaille ardemment ses dons exceptionnels. En janvier 1897, à 13 ans, elle donne son premier concert public à Lausanne. À 16 ans, sa rencontre avec Vincent d'Indy est déterminante et celui-ci la nomme professeur de piano à la Schola Cantorum en décembre 1901. Elle partage avec d'Indy, tout au long de son existence, les valeurs essentielles de l'art au point d'être considérée comme sa fille spirituelle et elle devient sa principale interprète. Ainsi, pendant près de 20 ans, elle est l'une des plus ferventes propagatrices de la musique de la famille Scholiste. Mais elle ignore les compositeurs d'Avant-garde. Elle donne en première audition Les Variations Goldberg en France en 1903. Puis, en 1904, elle interprète au piano en 17 concerts la première intégrale de l'œuvre pour clavier de Bach (un de ses compositeurs préférés). Les annotations et les conseils d'interprétation qu'elle note sur les partitions du Cantor font encore autorité. Isaac Albéniz lui demande la relecture d'Iberia dont elle maîtrise les difficultés et les nouveautés pianistiques. Elle a été la créatrice de la quasi totalité d'Ibéria en France et devient la dédicataire du second cahier. Elle joue très régulièrement les grandes sonates de Beethoven et interprètera les 32 sonates à Barcelone en 1925/26 puis lors du centenaire de la mort de Beethoven en 1927. César Franck est un autre de ses compositeurs favoris. Elle interprète Prélude, choral et fugue et c'est une des rares œuvres avec la Partita n° 1 de Bach qu'elle enregistre en 1928. Elle joue avec la même foi Rameau, Couperin, Schumann, Chopin, en extasiant chaque fois l'auditoire : l'esprit des maîtres semble la pénétrer et animer ses doigts. Elle ouvre ses programmes à son mentor Vincent d'Indy, mais également à ses amis compositeurs de la Schola Cantorum. Ceux-ci lui dédient des œuvres et lui en confient la création de même qu'Albert Roussel, Paul Dukas, Albéric Magnard, Jean Roger-Ducasse, Marcel Labey, René de Castéra. Pour Déodat de Séverac, ami et compositeur proche en esprit dont elle achève la dernière œuvre et écrit une monographie, elle crée aussi plusieurs de ses compositions pour piano. Elle interprète aussi Debussy, Ravel, Honegger, Rachmaninov, Smetana. Elle compose très peu, des mélodies, des pièces pour piano et un oratorio. Admirée des grands pianistes de son temps, elle est, à son époque, une des pianistes française les plus renommées. Ainsi, elle sillonne la France et l'Europe pour donner des concerts et des récitals, souvent accompagnés de conférences explicatives. De 1920 à 1924, elle se consacre à la promotion en France de la musique tchèque et fait connaître en Europe centrale la musique française. Elle partage son temps entre le poste de professeur au Conservatoire de Strasbourg, un autre à Prague et à l' École normale de musique de Paris. Parallèlement, elle fonde sa propre école en formant des professeurs diplômés selon sa méthode. Ce réseau de professeurs s'étend sur toute la France. À la fin de l'année 1924, elle s'installe à Barcelone où elle fonde sa propre académie et forme un duo avec le violoniste catalan Joan Massià. En 1930, sa carrière d'interprète est brutalement interrompue par une paralysie mais elle n'en poursuit pas moins son enseignement avec énergie. Elle quitte Barcelone en 1936 en raison de la guerre civile et s'installe, après un court séjour à Moulins (Allier), à Saint-Saturnin (Place de l'Ormeau) puis transférée de sa maison, très malade, dans un hospice occupé par des religieuses de Cambrai situé à Saint-Amant-Tallende où elle décède en décembre 1942 dans la solitude et un dénuement certain. Elle repose au cimetière de Saint-Saturnin situé route d'Aydat où sur une épitaphe figure, notamment, les mots suivants : Bonté - Beauté - Vérité. (Wikipedia)
ou
- chronologie: Compositeurs (Europe).
- Index (par ordre alphabétique): C...