Sarah Aristidou Actualités
Dernière mise à jour
2024-04-19
Actualiser
2024-01-11 17:02:39
Paris. Philharmonie- Cité de la Musique. Grande salle Pierre Boulez. 9-I-2024. Arnold Schönberg (1874-1951) : La Nuit transfigurée, version pour orchestre à cordes (extraits) ; Pelléas et Mélisande, pour grand orchestre (extrait) ; Trois pièces op.11, pour piano (extrait) ; Friede auf Erden op.13, pour chœur mixte à huit voix (version avec orchestre) ; Cinq pièces pour orchestre op.16 (extraits) ; Erwartung, monodrame en un acte, op.17 (extrait) ; Six petites pièces pour piano op.19 ; Pierrot lunaire, 2ᵉ partie ; Suite pour piano op.25 (extraits) ; Drei Lieder, op.48 ; Concerto pour piano op.42 (extrait) ; Kol Nidre op.39, pour chœur et orchestre (extrait). Bertrand Bonello, mise en scène, réalisation ; Marie Lambert Le Bihan, collaboration artistique, dramaturgie ; Emmanuel Sinisi, scénographie ; Felipe Ramos, lumières ; Pauline Jacquard, costumes . David Kadouch, piano ; Sarah Aristidou, soprano ; Julia Faure, comédienne ; Adrien Dantou, comédien ; Chœur de l'Orchestre […]
2024-01-10 13:11:00
Arnold Schönberg en majesté pour l’ouverture de l’année du cent-cinquantenaire du compositeur qui révolutionna la musique du XXe siècle par l’Orchestre de Paris et son Chœur Salle Pierre Boulez de la Philharmonie de Paris
[…] il faut convenir que le choix des partitions, difficile tant la totalité de la musique de Schönberg est grandiose, y compris le trop injustement décrié Quintette pour instruments à vent op. 26, a été des plus subtilement choisi et agencé, même si le cadre défini de la soirée ne pouvait que conduire les aficionados du leader de la Seconde Ecole de Vienne à une juste mais superflue frustration. Arnold Schönberg (1874-1951), Transfiguré, 12 vies de Schönberg. Sarah Aristidou (soprano). Photo : (c) Philharmonie de ParisAprès que le public venu en nombre se soit installé au son de la voix d’Arnold Schönberg projetée dans toute la salle s’exprimant lors d’une interview radiophonique dans un anglais limpide mais au fort accent autrichien, c’est donc la version 1943 pour orchestre à cordes de La Nuit transfigurée par les archets de l’Orchestre de Paris menés par Eiichi Chijiiwa au poste de violon solo et dirigés par […]
2023-12-06 07:55:01
Paris. Maison de la Radio et de la Musique. Auditorium. 2-XII-2023. Festival d'Automne, co-réalisateur. György Ligeti (1923-2006) : Le Grand Macabre, opéra en quatre tableaux sur un livret de Michael Meschke et György Ligeti ; version de concert ; première représentation de la version finale de 1996 en français. Mise en espace, Benjamin Lazar ; scénographie lumière, Sylvain Sechet. Avec : Matthieu Justine, ténor, Piet du Bock ; Robin Adams, baryton-basse, Nekrotzar ; Laurent Alvaro, basse, Astradamors ; Lucile Richardot, mezzo-soprano, Mescalina ; Andrew Watts, contreténor, Prince Go-Go ; Sarah Aristidou, soprano, chef de la Gepopo / Venus ; Judith Thielsen, mezzo, Amando (Spermando) ; Marion Tassou, soprano, Amanda (Clitoria) ; solistes du chœur, Ruffiack, Schobiak, Schabernack, Ministre noir, Ministre blanc. Orchestre National de France ; Chœur de Radio France, chef de chœur : Lionel Sow ; Maîtrise de Radio France, cheffe de chœur : Sofi Jeannin ; direction musicale : […]
2023-12-03 19:09:00
Festival Ligeti 4/4 : Sans scénographie, "Le Grand Macabre" a enthousiasmé le public de Radio France par sa jouissive beauté nue au lyrisme métaphysico-scatologique transcendant
[…] français Matthieu Justine, la mezzo-soprano allemande Judith Thielsen et la soprano nantaise Marion Tassou en ardents amoureux Amando/Spermando et Amanda/Clitoria, le baryton-basse français Olivier Gourdy, imposant astrologue Astradamors, et sa bestiale épouse Mescalina campée par l’endurante mezzo-soprano française Lucile Richardot entendue dans trois œuvres différentes en l’espace d’une semaines (voir http://brunoserrou.blogspot.com/2023/11/festival-ligeti-24-les-percussionnistes.html et http://brunoserrou.blogspot.com/2023/11/raphael-pichon-la-tete-de-son-ensemble.html), le brillant contreténor britannique Andrew Watts en Prince Go-Go immature, et la phénoménale soprano française à la voix agile et aux aigus triomphants Sarah Aristidou, tandis que le Chœur, avec ses solistes, et la Maîtrise de Radio France ont participé avec bonheur et cohésion à la réussite d’ensemble de cette grande et belle soirée de bonheur musical à la gloire de l’un des plus grands compositeurs de l’histoire de la musique, György Ligeti.Bruno Serrou1) À voir (pour ceux qui n’ont pas pu être présents) et à revoir (pour les chanceux qui ont eu le bonheur d’y être) sur ARTE Concert […]
ou
- chronologie: Artistes lyriques.
- Index (par ordre alphabétique): A...