Simon Sechter Actualités
compositeur autrichien
- piano, orgue
- opéra
- empire d'Autriche
- compositeur ou compositrice, chef ou cheffe d'orchestre, musicologue, pédagogue, professeur ou professeure de musique, théoricien ou théoricienne de la musique, professeur ou professeure d'université, pianiste, enseignant ou enseignante
Dernière mise à jour
2024-04-27
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2018-02-12 18:03:00
Franz Schubert, notre contemporain
[…] rien et je suis joyeux !» écrit-il en 1827... Autant d’indices pour une création qui penche constamment entre deux mondes, placée sous le double signe de la joie de vivre et de l’angoisse du néant, chaleureuse et inquiète, sensuelle et confiante à la fois, avec de longs moments de grâce immatérielle, le tout dans une sensation d’apesanteur qui impose une vision éthérée de l’au-delà. Cette inquiétude – il envisageait encore d’étudier le contrepoint avec Simon Sechter quelques semaines avant sa mort –, ce sentiment de vie en sursis peuvent également expliquer sa fièvre d’écrire, comme s’il voulait au plus vite jeter sur le papier le témoignage de son génie. D’où sans doute le nombre étonnant d’œuvres laissées inachevées où à peine esquissées, près de cent-cinquante au total. Et que penser de ses «divines longueurs», notion proposée par Robert Schumann à propos de la Symphonie en ut majeur «la Grande» et […]
2018-02-12 18:03:00
Franz Schubert, notre contemporain
[…] rien et je suis joyeux !» écrit-il en 1827... Autant d’indices pour une création qui penche constamment entre deux mondes, placée sous le double signe de la joie de vivre et de l’angoisse du néant, chaleureuse et inquiète, sensuelle et confiante à la fois, avec de longs moments de grâce immatérielle, le tout dans une sensation d’apesanteur qui impose une vision éthérée de l’au-delà. Cette inquiétude – il envisageait encore d’étudier le contrepoint avec Simon Sechter quelques semaines avant sa mort –, ce sentiment de vie en sursis peuvent également expliquer sa fièvre d’écrire, comme s’il voulait au plus vite jeter sur le papier le témoignage de son génie. D’où sans doute le nombre étonnant d’œuvres laissées inachevées où à peine esquissées, près de cent-cinquante au total. Et que penser de ses «divines longueurs», notion proposée par Robert Schumann à propos de la Symphonie en ut majeur «la Grande» et […]
2013-05-26 15:19:00
[…] épanchement excessif. Comme Chopin et Rossini, Schubert a souvent montré comment créer une mélodie capable de nous charmer, même sans prendre en compte son accompagnement harmonique – qui naturellement la soutient en l’enrichissant. Mais il fut accusé par ses contemporains de négliger la polyphonie, ou d’entrelacer plusieurs voix dans un tissu contrapuntique. Cette accusation, associée avec l’étude tardive des partitions de Haendel, l’amena brièvement avant sa mort à envisager des cours de contrepoint avec Sechter. Sans aucun doute cet enseignement du contrepoint avait été négligé. Il n’est sûr cependant qu’une telle étude aurait affecté profondément son style. Il était dès l’origine si personnel qu’un tel changement était impensable. Schubert ne se défit pas de son style de jeunesse aussi nettement que le firent Beethoven ou Wagner, par exemple. Du reste, Schubert n’avait aucun besoin réel d’étudier le contrepoint. Dans sa musique de chambre, tout comme dans ses symphonies, nous […]
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