Sixten Ehrling Actualités
chef d'orchestre, enseignant à l'école Juilliard de New-York
Commémorations 2025 (Décès: Sixten Ehrling)
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Dernière mise à jour
2024-04-23
Actualiser
2015-12-04 08:31:59
Leonard Bernstein pionnier des symphonies de Sibelius
Pour honorer le centenaire de la naissance de Jean Sibelius (1865-1957), plusieurs chefs entreprirent dans les années 60 l’intégrale des sept symphonies du compositeur finlandais : Sir John Barbirolli , Leonard Bernstein et Lorin Maazel , chacun appartenant à un label différent, respectivement EMI/Warner, CBS/Sony et Decca. C’était de bonne concurrence. Toutefois ce fut Leonard Bernstein (1918-1990) qui accomplit la première intégrale stéréophonique initiée en mars 1960, puisqu’il y mit un point final en mai 1967 à temps pour le dixième anniversaire de la disparition de Sibelius, tandis que Maazel la termina en avril 1968 et Barbirolli en mai 1970. Les suivantes sont innombrables. Rappelons qu’il existe également deux précédentes intégrales pionnières excellentes en mono : celle de Sixten Ehrling en 1953 (Finlandia/Warner) et celle d’Anthony Collins en 1955 (Decca). La réédition des gravures de Leonard Bernstein vient à point nommé en cette année du 150e anniversaire de la naissance de […]
2014-02-17 11:01:51
Sibelius poétique par Barbirolli
[…] Georg Schnéevoigt (amis de longue date de Sibelius), Tauno Hannikainen, Thomas Beecham, Adrian Boult, Serge Koussevitzky . Ceci pour les pionniers, chez lesquels les symphonies étaient réparties entre les mains de plusieurs chefs d’orchestre. L’apparition du microsillon allait permettre des intégrales des symphonies de Sibelius dévolues à un seul chef : lorsque Sir John Barbirolli achève son intégrale en mai 1970 avec la Symphonie n°6 en ré mineur op. 104, il avait comme concurrents Sixten Ehrling (1953, Finlandia), Anthony Collins (1955, Decca ou Beulah), Leonard Bernstein (1967, Sony Classical) et Lorin Maazel (1968, Decca). Bernstein, et surtout Maazel aidé par une prise de son sensationnelle, mettaient l’accent sur l’aspect spectaculaire de ces symphonies (une Symphonie n°4 étourdissante chez Maazel), négligeant quelque peu le côté poétique qui est essentiel chez Sibelius. Par contre, Sixten Ehrling et Anthony Collins, malgré l’ancienneté de la prise de son (quoique chez Decca…), l’aspect poétique étaient […]
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ClassiqueInfo-Disque.com
2012-04-05 10:04:28
Le Sibelius ascétique d'Inkinen
Pietari Inkinen, récemment nommé à la tête du New Zealand Symphony Orchestra à la suite de James Judd ne pouvait, en qualité de compatriote, éviter de passer par Sibelius. S'il a été démontré qu'il n'était pas indispensable d'être Finlandais pour exceller dans Sibelius (voir John Barbirolli, Leonard Bernstein, Sixten Ehrling ou Colin Davis) et qu'en être un n'était pas forcément un gage de qualité (Paavo Berglund), Pietari Inkinen se tire plutôt bien de l'épreuve avec une interprétation très contenue, peu (...) - Naxos / Symphonique, Ring de ClassiqueInfo.com
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