Tobias Greenhalgh Actualités
Dernière mise à jour
2024-04-26
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2019-02-26 14:39:30
Montpellier. Opéra Comédie. 24-II-2019. Gaetano Donizetti (1797-1848) : Don Pasquale, opéra-bouffe en 3 actes sur un livret de Giovanni Ruffini. Mise en scène et lumières : Valentin Schwarz. Décors, costumes et lumières : Andrea Cozzi. Avec : Bruno Taddia, Don Pasquale ; Julia Muzychenko, Norina ; Edoardo Milletti, Ernesto ; Tobias Greenhalgh, Docteur Malatesta ; Xin Wang, le notaire. Chœur Opéra national Montpellier Occitanie (chef de chœur : Noëlle Gény). Orchestre national Montpellier Occitanie, direction : Michele Spotti
2019-02-26 06:18:46
[…] une allusion perceptible à leur vogue à l’époque de la création – elle descend des cintres, entre sirène et Lady Gaga, dans le décor de la demeure de Don Pasquale. Dans sa cavatine elle se dépeint, telle Rosina, à qui elle ressemble, vive mais bon cœur. Sa pétulante spontanéité doit rester séduisante ; le personnage nous est apparu d’une brusquerie peu attirante, à soupçonner une mégère en formation. Don Pasquale (Bruno Taddia) Lalatesta (Tobias Greenhalgh) et Julia Muzychenko (Norina) © Marc Ginot On pourrait encore relever des jeux de scène ou mal fondés ou ratés, quand un personnage s’adresse à un autre alors que ses mots visent un troisième situé dans son dos, un traitement des chœurs contestable quand il montre les femmes rossant les hommes – c’est un anachronisme de voir dans Norina une féministe avant l’heure, son impétuosité n’est un ressort comique qu’associée avec la faiblesse des […]
2019-02-24 08:00:00
COMPTE-RENDU, opéra. MONTPELLIER, Opéra, le 20 février 2019. DONIZETTI : Don Pasquale. Taddia, Muzychenko, Greenhalgh… Spotti / Valentin Schwarz. - classiquenews.com
classiquenews.comCOMPTE-RENDU, opéra. MONTPELLIER, Opéra, le 20 février 2019. DONIZETTI : Don Pasquale. Taddia, Muzychenko, Greenhalgh… Spotti / Valentin Schwarz.
2019-02-22 17:50:31
[…] qu’elle sait traduire dans des vocalises agiles quand la douceur du chant d’amour. Edoardo Milletti n’est pas non plus en reste en Ernesto amoureux, innocent et candide, au chant lumineux. Le rôle-titre est tenu avec maestria par Bruno Taddia à la voix grave, peinant parfois à passer l’orchestre dans les notes les plus basses, mais au jeu excellent et à l’énergie communicative. Son désarroi ou encore sa colère frappent de plein fouet, tandis que Tobias Greenhalgh se délecte en Malatesta, véritable marionnettiste dans l’ombre. Il faut saluer par ailleurs le fait que tous aient accepté de céder un peu de leur place à leur double muet et de se faire ainsi, d’une certaine manière, un petit peu « voler la vedette », les regards n’étant dès lors plus entièrement tournés vers eux. Enfin, Michele Spotti dirige avec brio l’Orchestre national Montpellier Occitanie duquel il tire le meilleur, osant de formidables contrastes et […]
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- chronologie: Artistes lyriques (Amérique du Nord).
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