Tuomas Katajala Actualités
Dernière mise à jour
2024-03-28
Actualiser
2022-10-19 20:09:43
Vendredi 14 octobre, à l’Auditorium de Radio France, l’Orchestre Philarmonique de Radio France et le ténor Tuomas Katajala exploraient les états hypnagogiques de la conscience… L’article est apparu en premier sur Première Loge.
2022-10-16 08:30:55
Paris. Maison de Radio-France. 14-X-2022. Maurice Ravel (1875-1937) : Une barque sur l’océan ; Benjamin Britten (1913-1976) : Sérénade pour ténor et cor ; Quatre Interludes marins extraits de Peter Grimes ; Claude Debussy (1862-1918) : Six épigraphes antiques (orchestration d’Ernest Ansermet). Antoine Dreyfuss, cor. Tuomas Katajala, ténor. Orchestre Philharmonique de Radio France, direction : Mikko Franck L’article est apparu en premier sur ResMusica.
2022-01-24 14:06:26
Français - Les Oiseaux de Walter Braunfels en création française à l'Opéra national du Rhin (envers et contre tout) !
[…] d’une virtuosité éprouvante. Ensemble, ils font de cette découverte des Oiseaux un événement passionnant. Lyrico-colorature par tempérament, la soprano québécoise Marie-Eve Munger nous offre un Rossignol dont les trilles pénètrent sans difficulté les contrées stratosphériques de l’enchantement. L’autorité sans faille de Christoph Pohl (La huppe) lui permet de tenir son rôle de porte-parole des Oiseaux. Le couple d’Athéniens que forment Cody Quattlebaum (Fidèlami), combinaison excellente d’un Wotan politicien et du perfide Alberich, et Tuomas Katajala (Bonespoir) que Strauss n’aurait pas traité de façon plus impitoyable, s’affirme aisément dans leur rôle d’intrus au royaume des Oiseaux. Tandis que le premier incite à la construction de la cité des oiseaux qui devrait leur assurer la suprématie sur l’univers, le second se voit gratifié de certains des plus beaux passages de la partition foisonnante de Braunfels, tels que le chant final ou le grand duo d’amour avec le Rossignol. La basse autrichienne […]
2022-01-22 05:00:00
[…] l’histoire, Fidèlami et Bonespoir proposent deux vocalités très éloignées, au-delà de la différence de tessiture. Fidèlami, le baryton s’avère un Papageno qui affronte un orchestre wagnérien. Cody Quattlebaum y excelle et impose un charisme scénique certain (malgré un bras cassé à vélo dans les semaines précédent le spectacle). Bonespoir est une marche encore plus grande. C’est un Tamino, pour le phrasé et les lignes vocales, qui doit aussi savoir puiser dans l’héroïsme d’un Bacchus. Tuomas Katajala en vient à bout avec les honneurs, de belles nuances parfois chahutées dans les passages fortissimo où le timbre s’entache d’un vibrato serré. Qu’importe, le portrait du jeune idéaliste épris d’ailleurs et de lointain est convaincant. Enfin Marie-Eve Munger remporte le triomphe attendu dans un rôle qui a tout pour séduire : roucoulades, suraigus filés et interminables comme celui qui conclut l’opéra, grand duo avec le ténor. La soprano pépie avec une agilité d’acrobate […]
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- chronologie: Artistes lyriques (Europe).
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