William Burden Actualités
artiste lyrique
- ténor
- États-Unis
Dernière mise à jour
2024-04-25
Actualiser
2022-06-06 10:00:32
[…] ses aigus aisés et cristallins. Rod Gilfry, le visage blafard, est un Claudius inquiétant et sournois à souhait. Son medium puissant et rond fait merveille dans son monologue du premier acte en dépit d’une légère tension dans l'extrême aigu. Vêtue d’une somptueuse robe de soirée grise aux reflets argentés, Sarah Connolly, très en voix, incarne une Gertrude altière et réservée dont le vernis craque au cours de la scène qui l’oppose à son fils. William Burden excellent Polonius, possède une voix claire et bien projetée. David Butt Philip, troisième ténor de la distribution tire son épingle du jeu en Laërte, personnage tourmenté et vindicatif. Jacques Imbrailo, se révèle particulièrement touchant en Horatio, ami fidèle et compatissant d’Hamlet. Enfin John Relyea est parfait dans sa triple incarnation où son timbre de bronze se révèle idéal, spectre inquiétant, comédien jouant le rôle d’un roi et fossoyeur ironique. Mentionnons pour finir les apparitions […]
2015-11-15 22:46:45
Vladimir CHTCHERBATCHOV, génie obscur – Leon Botstein & l'American SO, messies des génies obscurs
[…] (Symphonie n°3), Raitio (Les Cygnes), Saint-Saëns (Orient et Occident), Fuchs (Sérénade n°1, Symphonie n°3), Rubin (Symphonie n°4), Holmboe (Symphonie n°8), R. Wilson (Triple concerto pour cor, marimba et clarinette basse)… On trouve même une collection assez développée d'opéra (quasiment que des bijoux, très bien interprétés de surcroît, même les opéras français sont chantés dans une langue respectueuse et un style orchestral adéquat) : Weber – Euryanthe, avec William Burden – l'œuvre ne devient pas passionnante pour autant, seul disque dont je vois sorti mitigé ; il faudrait vraiment des instruments d'époque et beaucoup d'énergie pour rendre ça ingestible sur la durée Spohr – Le Jugement Dernier (oratorio) Meyerbeer – Les Huguenots Schumann – Szenen aus Goethes « Faust » – avec Andrew Shroeder et Michael Spyres ! Saint-Saëns – Le Déluge (oratorio) Saint-Saëns – Henry VIII […]
2014-03-11 10:13:11
Interview with Philip Glass
ResMusica : In 1976, Einstein on the Beach, and in 2013, The Lost. Mr. Glass, when composing your first opera, did you know that twenty-four others would follow? Philip Glass : (Laughs.) No. No, no . . . And there soon will be another one! In 2013, The Lost (Spur der Verrirten) was premiered, but so was The Perfect American. I composed those two operas at the same time. (Laughs.) One was supposed to be premiered in January 2013, the other in April 2013, and then it changed and had to be the other way around. So I had to stop working on one and start the other, and finish both together! RM: The French critics see you today as “a worthy successor of Händel and Verdi.” What do you think of that statement? PG: I’m sorry? Händel! Verdi! (Laughs.) Oh, my. But I am not over yet! As I […]
2013-08-22 05:02:42
Au détour d'un parcours qui me tient assez muet (qu'y a-t-il à ajouter sur les grandes figures du roman féminin anglais du premier XIXe, Radcliffe, Austen, Gaskell, Brontë, Eliot... qui ne se trouve très aisément et de façon bien plus documentée ?), couplé avec un effort vers les littératures de science-fiction et dystopies, pareillement encombrées d'exégètes (et qui gagnent assez peu à la glose, à mon sens), je relève tout de même un élément insolite dans Charlotte Brontë. Ou, pour être plus juste, qui ne l'est sûrement pas mais qui m'a surpris. Votre rôle, aimable lecteur, étant de partager mes émerveillements primesautiers, vous êtes invité à lire ceci. Ce n'est pas utile, mais ce sera bref. Oh. En lisant paisiblement, je m'arrête un instant sur ceci : a machine without feelings ? Dans un roman de la première moitié du XIXe siècle. […]
ou
- chronologie: Artistes lyriques (Amérique du Nord).
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