Musica Viva Actualités
Dernière mise à jour
2024-04-24
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2022-08-07 23:17:28
Ondřej Adámek, en mode poursuite
Musica Viva #38. Ondřej Adámek (né en 1979) : Follow Me, Concerto pour violon et orchestre ; Where are you ? pour mezzo-soprano et orchestre. Isabelle Faust, violon ; Magdalena Kožená, mezzo-soprano ; Symphonieorchester des Bayerischen […]
2017-11-15 10:39:03
Tigran Mansurian (né en 1939) : Canti paralleli ; Postludia ; Agnus Dei. Mariam Sarkissian, mezzo-soprano. Julian Milkis, clarinette. Anton Martynov, violon. Daria Ulantseva, piano. Musica Viva Moscow Chamber Orchestra ; direction : Alexander Rudin. 1 CD Brilliant Classics. Enregistré à Moscou en octobre 2016. Notice bilingue (français-anglais). Durée : 65’46.
2014-05-05 15:14:58
Les chemins audacieux de Mariss Jansons
Quelques jours à peine après avoir confirmé qu’il quittait la direction du Concertgebouw, Mariss Jansons retrouvait l’orchestre auquel il a donc préféré rester fidèle, et ce malgré les difficultés irrésolues causées à Munich par l’absence de salle de concert affectée à l’orchestre : son contrat actuel court jusqu’en 2018, et il n’est certainement pas trop tôt pour dire que la longue lune de miel entre l’orchestre et son 6e directeur musical marquera pour longtemps la vie musicale de la capitale bavaroise. Non pas, d’ailleurs, que le mandat de Jansons se caractérise par une particulière audace dans les choix de programmation des concerts qu’il dirige – au contraire, le programme qu’on entend ce soir est sans doute l’un de ses plus modernes et exigeants. La musique contemporaine, certes, joue un rôle important pour l’orchestre, mais dans une série parallèle, Musica Viva, fondée par Karl Amadeus Hartmann, et qui a le défaut […]
2013-06-07 13:21:02
Dvořák : Un Concerto en quête d’auteur
Le présent enregistrement consacré à Dvořák est l’occasion pour nous de découvrir une oeuvre que même le compositeur avait semble-t-il oublié, un concerto pour violoncelle de jeunesse, dédié à l’un de ses amis, et retrouvée dans les années vingt, nous dit le livret. Oubli ou lucidité ? Peut-être Dvořák n’a-t-il tout simplement pas voulu déterrer cette oeuvre de 1865, qui, il faut l’admettre, pour agréable et inventive qu’elle soit, ne souffre pas la comparaison avec l’autre concerto pour violoncelle, en si mineur, composé trente ans plus tard. Non-orchestré, d’une longueur initiale jugée trop importante (près de cinquante minutes), le présent concerto est passé par les mains de plusieurs orchestrateurs/arrangeurs – même les interprètes ont procédé à des choix, entendez coupes – avant de nous être présenté. On nous assure que Dvořák aurait lui-même remanié l’oeuvre s’il avait orchestré. Si. Il ne l’a pas fait. À quoi bon alors la jouer […]