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Ultimo aggiornamento
2024-03-28
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Nicolas Cavallier Janacek Marchand Vogler Berlioz Opéra Rhin Théâtre Champs Élysées
Rencontre avec Nicolas Cavallier, baryton basse, à l'Opéra Grand Avignon, maison et ville de Culture qu'il fréquentait depuis son plus jeune âge en spectateur bien avant de débuter le chant. Nicolas Cavallier revient sur son parcours, parcours atypique, où enfant qu'il était d'artiste, est passé du haut de ses 20 ans, d'artisan d'encadrement et restauration de meubles à figurant, puis de figurant à chanteur d'art lyrique, après avoir tout laisser tombé et être parti en Angleterre, où il revint 6 ans après diplômé de la Royal Academy of Music de Londres. "Parti de très très bas" comme Nicolas Cavallier le précise, ses professeurs ne croyaient pas en une carrière possible pour le baryton qu'il est devenu aujourd'hui, avec une voix qui résonne l'excellence, et dont sa tessiture ne cesse d'évoluer. "Travailleur et être très déterminé, c'est ce qui amène les choses..." Aventurier à juste titre, Nicolas Cavallier a dépassé ses craintes et ses doutes, grâce à l'insouciance, qui lui a permis d'accepter les rôles qu'on lui proposait sans retenue sur ses capacités. Au moment de notre rencontre, Nicolas Cavallier interprétait le rôle de DiKoï dans Katia Kabanova de Janacek. Riche marchand, sa voix de baryton basse résonne avec force et symbolique comme résonne l'oeuvre interprétée en Tchèque. Ses projets : Albert (La Juive) à l’Opéra du Rhin, Nilakantha à Marseille, L’Homme de la Mancha à Tours, Heinrich der Vogler (Lohengrin) et Roméo et Juliette de Berlioz à Saint-Étienne, le Marquis de La Force (Dialogues des carmélites) à La Monnaie de Bruxelles et au Théâtre des Champs-Élysées.
Jean Luc Chaignaud Régine Crespin Gabriel Bacquier Christa Ludwig Hans Hotter Herbert Karajan Maschera Verdi Plácido Domingo Josephine Barstow Sumi Jo Schlesinger Sir Georg Solti Eberhard Wächter Donizetti Luciano Pavarotti Puccini Mirella Freni Massenet Renée Fleming Roberto Alagna Bizet Zeffirelli Mahler Arditti Michel Béroff Cilea Rolando Villazón Riccardo Muti Giuseppe Sinopoli Richard Bonynge Seiji Osawa Pierre Boulez Valeri Guerguiev Jeffrey Tate Christian Thielemann Charles Dutoit Christoph Eschenbach Festival Salzbourg Scala Théâtre Liceu Barcelone Carnegie Hall Royal Albert Hall Opéra Monte Carlo Opéra Vienne Metropolitan Opera Quatuor Arditti Opmc 1988 1989 1990 1991 1992 1993 1994 2009 2010 2014
Kassis - Concerts à la maison : Jean-Luc Chaignaud -Leçon de chant Jean-Luc Chaignaud : un baryton soliste français, chanteur d'opéras, de lieders et d'oratorios. Étudie le chant avec Régine Crespin et Gabriel Bacquier au Conservatoire de Paris, puis entre à l’École d’Art Lyrique de l’Opéra de Paris où il participe aux master class de Christa Ludwig et Hans Hotter. Après avoir fait ses débuts en 1988 au mai musical de Bordeaux et au Festival Ossiachersee en Autriche, il est engagé par Herbert von Karajan pour le rôle de Silvano dans Un ballo in maschera de Verdi, aux côtés de Plácido Domingo, Josephine Barstow et Sumi Jo, enregistré pour la Deutsche Grammophon (1989). Une mise en scène par John Schlesinger de cette production, cette fois-ci sous la baguette de Sir Georg Solti, est réalisée pour le Festival de Salzbourg en 1989 et 1990 et également filmée (Arthaus/TDK, 1990). Sa formation avec la mezzo-soprano allemande Christa Ludwig est déterminante pour sa carrière, comme elle le relate dans ses mémoires Ma voix et moi au cours d’un passage dithyrambique sur le talent de ce baryton d’une « très belle voix » et qui « chante bien avec musicalité ». Au cours d’une première et seule audition pour le rôle de Figaro à l'Opéra de Vienne, le directeur Eberhard Wächter donne immédiatement à Jean-Luc Chaignaud un contrat de plusieurs années, le propulsant ainsi dans une carrière sur les grandes scènes intérnationales1. Durant la saison 1991-1992 à l'Opéra de Vienne, il incarne le personnage de Belcore dans L'elisir d'amore de Donizetti aux côtés du ténor italien Luciano Pavarotti et de Marcello dans La Bohème de Puccini avec la soprano italienne Mirella Freni. Son travail avec ces deux grands interprètes, « couple mythique de l’opéra », avec lesquels il partagera la scène plusieurs fois à Vienne et à Paris, a une grande influence sur son approche du chant ainsi que sur l’évolution de sa carrière. En 1993, la critique française chante ses louanges2. Le premier quotidien national français Le Figaro qualifie Jean-Luc Chaignaud de « prodige de scène » « éblouissant d’humanité et de tendresse » et fait l’éloge de sa voix « admirablement conduite, irisée de très belles couleurs. »3. Les grandes qualités d’interprétation et de musicalité de Jean-Luc Chaignaud vont de pair avec sa voix puissante et « son solide métier »4. Connu principalement pour les rôles de Lescaut dans l’opéra Manon de Massenet aux côtés de Renée Fleming, de Marcello dans l’opéra La Bohème de Puccini aux côtés de Roberto Alagna, et d’Escamillo dans l’opéra Carmen de Bizet mis en scène par Franco Zeffirelli, il chante dans un répertoire qui comprend notamment des opéras de Mozart, Verdi, Donizetti, Puccini et Bizet, dans des grandes salles comme le Metropolitan Opera de New York, l'Opéra de Paris, l'Opéra de Vienne, La Scala de Milan, le Grand théâtre du Liceu de Barcelone, Carnegie Hall de New York, Royal Albert Hall London, l’Opéra de Munich ou l’Opéra de Pékin. Au cours de plus de trente années de carrière internationale, Jean-Luc Chaignaud interprète à travers le monde entier un grand nombre de répertoires et styles variés : le répertoire italien du Bel canto mais aussi le Baroque, les lieder, les oratorio et les musiques contemporaines comme Ça Ira de Roger Waters. Parmi ses enregistrements figurent un récital exceptionnel au Musée du Louvre des Lieder eines fahrenden Gesellen de Mahler avec le Quatuor Arditti sous la direction de Michel Béroff à l’occasion de la réouverture du musée en 1989, l’opéra Adriana Lecouvreur de Cilea avec Mirella Freni (La sept Arte/Opéra national de Paris, France musique, 1994), Manon de Massenet avec Renée Fleming (Arthaus, 2009), L'elisir d'amore de Donizetti avec Rolando Villazón (Virgin Classics, 2010) et un hommage au poète-compositeur-interprète franco-monégasque Léo Ferré à l'Opéra de Monte-Carlo (OPMC Classics, 2014).Il a collaboré avec des chefs d’orchestre comme Herbert von Karajan, Sir Georg Solti, Riccardo Muti, Giuseppe Sinopoli, Richard Bonynge, Seiji Osawa, Pierre Boulez, Valeri Guerguiev, Jeffrey Tate, Christian Thielemann, Daniel Oren, Charles Dutoit ou Christoph Eschenbach.
Schumann Schubert Rouleau Rhodes Jane Rhodes Weber Mado Robin Moussorgski Ambroise Thomas Fourestier Lamoureux Pasdeloup Opéra Marseille Brahms 1970 1965 1960 1959 1955 1923 Concerts Colonne Opéra Comique Palais Garnier
Isabelle Andreani - Ode saphique - Brahms - Club National du Disque CND 1064 enregistre ca 1960 Le 3 juin dernier s’est éteinte à Toulon à l’âge de 95 ans la mezzo-soprano Isabelle Andreani, figure emblématique de Carmen qu’elle a marquée par son interprétation. Née dans le sud de la Corse en 1923, elle est reçue à l’unanimité au concours d’entrée du Conservatoire de Marseille dans la classe de Jeanne Fourestier. Elle est remarquée pour les qualités naturelles de sa voix et ses Prix de chant et d’Art Lyrique. Elle est alors engagée à l’Opéra de Marseille et fait ses débuts sur scène dans Rigoletto où elle tient le rôle de Madeleine, avant de chanter Mignon dans l’œuvre éponyme d’Ambroise Thomas et Charlotte dans Werther. Elle sera par ailleurs Marina dans Boris Godounov de Moussorgski avant de devenir Carmen, son rôle le plus marquant. Poursuivant sa carrière, elle se fait remarquer dans Lakmé dans le rôle de Malika aux côtés de Mado Robin qui lui conseille de se présenter à Paris où elle est engagée suite à une audition. Elle devient titulaire du rôle de Fatime dans Obéron de Weber, puis de celui de Carmen à la salle Favart. Elle incarnera l’héroïne sur de nombreuses scènes, comme à Nancy ou Lyon, mais on retiendra surtout sa participation (en alternance avec Jane Rhodes) en 1959 à la production de Raymond Rouleau qui sera donnée 367 fois au Palais Garnier jusqu'en 1970 et qui connaîtra plus de 450 reprises en deux ans en Europe. La production ira même jusqu’au Japon. Cette production marque l’Histoire de l’Opéra et la carrière d’Isabelle Andreani dont la notoriété explose alors. Elle poursuit sa brillante carrière parisienne dans des registres divers : Le Chevalier à la Rose, Les Indes Galantes, Zoroastre, Cosi fan Tutte, Eugène Oneguine, Dialogues des Carmélites où elle chante le rôle de Mère Marie, entre autres. Outre la scène, elle se distingue également dans l’exercice du récital grâce à sa diction irréprochable, tant dans les mélodies françaises que dans les Lieder de Schubert, Schumann et Brahms. Elle est également soliste à l’ORTF, aux concerts Colonne, Lamoureux et Pasdeloup, et épouse le chef d'orchestre Pierre Cruchon, sous la direction duquel elle enregistre en 1955 un disque consacré aux héroïnes de l'Opéra-Comique Charlotte et Mignon. Toutefois, après la dissolution de la Réunion des théâtres lyriques en 1965, Isabelle Andreani débute une carrière de professeur de chant et d’Art Lyrique. Elle se voit nommée au Conservatoire National d’Aix en Provence puis s’installe à Toulon avec son époux (alors professeur au Conservatoire de Paris et auteur d‘une méthode renommée de hautbois), et devient professeur au Conservatoire de la ville. Après plusieurs mois d’hospitalisation, elle est décédée le 3 juin dernier et c’est un véritable deuil pour l’art lyrique, la ville de Toulon, et le personnage de Carmen qu’elle a tant marqué. Source: (http•••)
Igor Stravinsky Olivier Latry Notre Dame Paris 1412 1528 1913 1946 1962 1999 2012 2013 2014
Igor Stravinsky, "le Sacre du Printemps". Transcription (1999) par Olivier Latry de la réduction du compositeur pour deux pianos (1913). Olivier Latry et Shin-Young Lee, orgue à 4 mains Olivier Latry, né en 1962, a eté nommé co-titulaire de l'orgue de Notre-Dame de Paris à 23 ans. Il est professeur au Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris. 00:00 1- Introduction 03:17 2- Augures printaniers - Danses des adolescentes 06:39 3- Jeu du rapt 07:52 4- Rondes printanières 11:20 5- Jeux des cités rivales 12:47 6- Cortège du Sage 13:23 7- L'adoration de la terre (Le Sage) 14:12 8- Danse de la terre Second tableau: Le sacrifice 15:28 1- Introduction 19:46 2- Cercles mysterieux des adolescentes 23:26 3- Glorification de l'Élue 24:55 4- Évocation des ancêtres 25:55 5- Action rituelle des ancêtres 29:32 6- Danse sacrale (l'Élue) Deuxième concert du cycle de l'inauguration des grandes orgues restaurées, 27 septembre 2014. La rénovation de l'instrument a débuté en janvier 2012: remplacement de la transmission informatique (vieille de 20 ans), accord général, remise en service pour l'année 2013 (850 ans de la cathédrale) puis démontage général, restauration des mécanismes et autre éléments anciens et des tuyaux de façade. source: (http•••) Petits films sur la restauration de l'orgue par Bertrand Cattiaux: (http•••)
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- cronologia: Cantanti lirici (Europa).
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