Hector Berlioz Harold en Italie, Op. 16 Video
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2024-03-28
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Berlioz Arturo Toscanini Nbc Symphony Orchestra 1953
(http•••) Choix comparatif A 3ème partie : Sérénade d'un montagnard à sa maîtresse. NBC Symphony Orchestra Direction Arturo Toscanini Editeur RCA 1953 Concept MusicHorama en HD direct vinyl original
Transcription pour petit orchestre de chambre ou quintette mixte (cordes et vents) de la marche Hongroise de Berlioz. Small or chamber orchestra arrangement (or mixed string wind quintet) of Berlioz's Hungarian March . Transcription : Paul-Henri Bullot Orchestration : Flûte, Clarinette, Cor, Violon, Violoncelle Flute, Clarinet, French horn, Violin, Cello / La Damnation de Faust est une légende dramatique en 4 parties, composée par Hector Berlioz en 1846 et tirée du Faust de Goethe. La Marche Hongroise est un extrait de la première partie l'oeuvre. C'est une marche de guerre inspirée de la marche de Rakoczi, un thème populaire hongrois du XVIIIe siècle. The Damnation of Faust is a dramatic legend in 4 parts, composed by french composer Hector Berlioz and inspired by Goethe's Faust. The Hungarian March is a war march also called Rakoczi March, based on a popular Hungarian theme of the 18th century. D'autres oeuvres d'Hector Berlioz/other works composed by Hector Berlioz : - Les Troyens / The Trojans - Symphonie Fantastique - Harold en Italie/Harold in Italy - Benvenuto Cellini - Requiem, Grande messe des morts / Partitions/Score and parts : (http•••)
Johannes Brahms Emmanuel Krivine Berlioz Liszt Mendelssohn Schumann Hans Richter Orchestre National France 1853 2019
00:00-0:36 : Intro 00:36 : 1er Mouvement - Allegro con brio 12:45 : 2ème Mouvement : Andante 20:54 : 3ème Mouvement : Poco allegretto 27:37 : 4ème Mouvement : Allegro Sous la direction d'Emmanuel Krivine, l'Orchestre national de France joue la 3e symphonie de Johannes Brahms. Extrait du concert enregistré le 6 juin 2019 à la Maison de la Radio. Allegro con brio Andante Poco allegretto Allegro Faire se rencontrer Berlioz et Brahms à l’occasion d’un concert peut paraître singulier, tant les Histoires de la musique routinières opposent systématiquement l’École dite « de Weimar », qui serait celle de la « musique de l’avenir », inaugurée par Berlioz puis incarnée par Liszt et Wagner, à celle « de Leipzig », que représenteraient Mendelssohn, Schumann et Brahms. Une telle dichotomie ne tient pas. Berlioz, qui aimait la musique de Mendelssohn et ne dirigea qu’une œuvre de Liszt (le Premier Concerto, le soir de la création), a toujours détesté se faire enrôler sous une bannière : « On m’a longtemps attribué à ce sujet, en Allemagne et ailleurs, des opinions qui ne sont pas les miennes ; par suite, on m’a souvent adressé des louanges où je pouvais voir de véritables injures », avoue-t-il dans À travers chants. Et après avoir rencontré Brahms à Leipzig, en 1853, à l’initiative du violoniste Joseph Joachim, il écrira à ce dernier : « Je vous remercie de m’avoir fait connaître ce jeune audacieux si timide qui s’avise de faire de la musique nouvelle. Il souffrira beaucoup… » La sympathie entre les deux musiciens, séparés par une trentaine d’années, fut vive mais sans lendemain. Mais la Troisième Symphonie de Brahms, comme Harold en Italie, ne fut-elle pas composée quelques mois après un séjour au-delà des Alpes ? Elle suit par ailleurs de quatre ans le Concerto pour violon et fut créée à Vienne sous la direction de Hans Richter, qui crut voir en elle une Symphonie héroïque. Il s’agit en réalité d’une partition aux couleurs d’automne comme Brahms aime à les composer, qui commence par un Allegro véhément, certes, mais dont les pages les plus éloquentes sont les deux mouvements centraux (l’Andante, avec ses trombones, est d’une solennité inattendue), au point que le tendre Quasi allegretto fut repris et adapté par plus d’un musicien de jazz et plus d’un auteur de chansons. Brahms pressentait-il cet engouement déboutonné en parlant déjà de sa « symphonie malheureusement trop célèbre » ? Le finale, sinueux et changeant, s’achève dans une espèce de sérénité résignée. On a du mal à y entendre cette « mélancolie de l’impuissance » dont parlait Nietzsche ! #Brahms #EmmanuelKrivine #OrchestrenationaldeFrance
Orchestre National France Augustin Hadelich Edouard Lalo Berlioz C Debussy Quint Pablo Sarasate 1865 1874 1910
L'Orchestre national de France joue, sous la direction de Cristian Macelaru et avec Augustin Hadelich, la Symphonie espagnole composée en 1874 par Edouard Lalo. 0:01 - I. Allegro non troppo 08:05 - II. Scherzando 12:44 - III. Intermezzo 19:10 - IV. Andante 25:44 - V. Rondo : Allegro La place de Lalo constitue l’un des ponts jetés dans la musique française entre la disparition de Berlioz, qu’il connaîtra fugitivement sur le tard (Berlioz le cite en 1865 parmi ses « virtuoses favoris »), et l’avènement de Debussy. Au plan de l’inspiration également. La Symphonie espagnole, l’ouvrage qui fera le plus pour la renommée du musicien, hérite à n’en pas douter d’Harold en Italie. Les deux symphonies conjuguent la part d’un instrument principal, l’alto pour l’œuvre de Berlioz et le violon pour celle de Lalo, tout en évitant l’appellation – et les tics – du concerto. Avec pareillement l’évocation de contrées de la Méditerranée propices au dépaysement, à l’imaginaire, à la nostalgie : l’Italie dans un cas, l’Espagne dans l’autre. Sachant que le musicien lillois descendait doublement, côtés paternel et maternel, d’un lignage espagnol établi aux Pays-Bas depuis les temps lointains de Charles Quint. De là aussi le sentiment à la fois héroïque et robuste que l’on a cru déceler dans sa musique, et tout particulièrement dans sa Symphonie. Outre la participation d’un soliste, la symphonie tranche aussi par son découpage : en cinq mouvements, peu habituels au genre symphonique, et moins encore à celui concertant. C’est ici encore à Berlioz que l’on songe, mais cette fois à celui de la Symphonie fantastique. Lalo était lui-même un violoniste de talent (comme le rappelle Berlioz). De son goût pour l’instrument et de sa rencontre avec Pablo de Sarasate, gloire du violon s’il en est en ce temps, et de surcroît issu d’un pays qui ne pouvait que susciter son imagination, est née la Symphonie espagnole. À la croisée de plusieurs inspirations. Le premier mouvement débute par de grands accords intenses de l’orchestre, aussitôt enchaînés à un thème du violon d’égale profondeur, passionné sous la virtuosité et entrecoupé des sautes brutales des reprises orchestrales. Un autre motif thématique pourrait emprunter à une mélodie espagnole, assez diffuse toutefois, entrechoquée d’évocations du premier thème en rythmes dansants (de séguedilles ?). La couleur espagnole se fait encore plus caractérisée pour le Scherzando, commencé par des pizzicatos des cordes en grattements de guitare, pour laisser place à l’entremêlement d’un violon aux teintes d’aubade au-dessus d’une jota sautillante de l’orchestre. C’est à Debussy que l’on songe, celui à venir d’Ibéria. Dans l’Intermezzo, de puissants accords en récitatifs de l’orchestre conduisent à une habanera du violon, que des tutti bousculent par endroits. L’Andante pénètre dans un autre climat, en forme de sombre choral, sur une mélodie au souffle large du violon accompagnée d’un orchestre cuivré, toujours dans le bas du registre. L’inspiration prend ici son envol, redescendue pour finir par trois imperceptibles accords conclusifs des cordes (d’orchestre et du soliste). Des appels en forme de 7 tintements lointains d’orchestre, puis plus rapprochés, donnent l’entrée au soliste pour le passage le plus virtuose qui lui est dévolu. Le mouvement Rondo se poursuit par une malagueña déhanchée qui réunit le couple soliste et orchestre, avant une reprise aérienne et festive du passage initial. #Lalo #AugustinHadelich #violon
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