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2024-05-01
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Achard Bondeville Renzo Rossellini Cervi Hofman Lemon 1963
(11 Jan 1963) Bay of Monte Carol. Flags. Table with members in conference. Jury watch TV. TV screen announing festival. Arleen Francis. Georges Sion. Marcel Achard. Emmanual Bondeville. Marcel Pagnol. Renzo Rossellini, Gino Cervi, Tetsuro Furikaki, Arthur Crovetto, Edouard Hofman, Constantin Kuzakov, Richard Lemon. People on jury. Find out more about AP Archive: (http•••) Twitter: (http•••) Facebook: (http•••) Instagram: (http•••) You can license this story through AP Archive: (http•••)
Perret Dauphin Duré Doll Ibsen Delannoy Duvivier Achard Camus 1926 1945 1950 1956
La vie et la triste fin de Danièle Delorme Actrice française populaire et très photogénique avec soixante-dix génériques à son actif, Daniéle Delorme est née le 9 octobre 1926, à Levallois-Perret en banlieue parisienne. Née Gabrielle Daniéle Girard, elle était la fille du peintre André Girard et a étudié pour devenir pianiste concertiste avant l'intervention de la Seconde Guerre mondiale. Après l'expulsion de sa mère et la fuite de son père en Angleterre, Daniéle, 15 ans, s'installe à Cannes, où elle commence à prendre des cours d'art dramatique auprès de Jean Wall. Peu de temps après, elle fait ses débuts sur scène, dans la compagnie théâtrale de Claude Dauphin. Toujours férue de talent, la réalisatrice Mare Allégret remarque Delorme et lui offre ses premiers rôles au cinéma dans trois de ses films tournés sous l'Occupation : La Belle aventure, Les Petites du quai aux fleurs et Félicie Nanteuil. En 1945, elle épousa l'acteur Daniel Gélin et ils eurent un fils, Xavier Gélin, l'année suivante ; le mariage n'a duré que dix ans. Après avoir perfectionné son art avec les professeurs d'art dramatique René Simon et Tania Balachova, Delorme est apparue dans une série de productions théâtrales comprenant Dangerous Corner de J.B. Priestley, Colombe de Jean Anouilh et A Doll's House d'Henrik Ibsen. Après avoir marqué les esprits dans un petit rôle dans Les Jeux sont faits de Jean Delannoy, la comédienne est invitée par Jacqueline Audry à jouer le rôle-titre dans deux adaptations fidèles de Colette - Gigi et Minne, l'ingénue libertine. Ces deux films se sont fait un nom et elle s'est vite retrouvée appelée à jouer des rôles similaires de gamine mignonne - notamment le rôle principal dans Miquette et sa mère de H.G. Clouzot et Sans laisser dadresse de Jean-Paul Le Chanois. La Jeune folle d'Yves Allégret lui a permis de dépeindre un exemple de féminité beaucoup plus fragile et perturbé, et dans Les Dents longues, le seul film réalisé par son premier mari Daniel Gélin, elle et Gélin offrent une représentation poignante de une rupture conjugale qu'ils allaient bientôt jouer dans la vraie vie. Delorme a fait une Fantine mémorable dans le somptueux Les Misérables de Jean-Paul Le Chanois et dans Voici le temps des assassins de Julien Duvivier elle a été rejetée contre le type comme une intrigante diabolique, capable de séduction et de meurtre. C'est vers le milieu des années 1950 que l'actrice a eu peur d'être cataloguée comme l'ingénue perpétuelle. Cela l'a amenée à s'éloigner du cinéma et à consacrer plus de temps à sa carrière scénique. Elle a eu de nombreuses années productives dans le théâtre français, apparaissant dans plusieurs mises en scène impressionnantes de pièces de théâtre de Marcel Achard, Luigi Pirandello, Paul Claudel, George Bernard Shaw, Eugène lonesco et Albert Camus. C'est en 1956 que Delorme épousa l'acteur Yves Robert - ils avaient se sont rencontrés cinq ans auparavant en travaillant ensemble sur une mise en scène de Colombe de Jean Anouilh, mise en scène par André Barsacq au Théâtre de l'Atelier à Paris. / Bonjour et surtout bienvenue sur la chaîne Nikstok1 ! Nous sommes heureux de vous révéler des informations sur la vie et la triste fin des stars du cinéma. Leur vie célèbre mais avec des fins très tristes.
Charles Rousselière Huchet Vergnet Achard Gabriel Fauré Isaac Camondo Lamoureux Pietro Mascagni Camille Saint Saëns Xavier Leroux Raoul Gunsbourg André Messager Opéra Comique Scala Concerts Lamoureux Metropolitan Opera 1875 1899 1900 1901 1905 1906 1907 1909 1913 1914 1926 1950
Charles Rousselière - Nuit devant la mer - E.Norini - J. Lahor Polydor 561022 enregistré ca 1926 Charles Rousselière ténor français (11.Saint-Nazaire-d'Aude, 17 janvier 1875 – 37.Joué-lès-Tours, 11 mai 1950*) Fils d'Antoine ROUSSOULIÈRE et de Jacquette ARTHOZOUL. Epouse à 75009.Paris le 16 novembre 1901* Jeanne Suzanne HUCHET, dite Jeanne ROUSSELIÈRE, cantatrice ; parents de Jean ROUSSELIÈRE, chanteur d'opérette. Après avoir fait ses études classiques dans sa ville natale, il vint à Paris et entra au Conservatoire national de musique, où il eut pour professeurs Vergnet (chant), Girardot (opéra) et Achard (opéra-comique). En 1899, il obtint un second accessit de chant et un second prix d'opéra. Il fut aussitôt engagé à l’Opéra et débuta dans Samson et Dalila avec un succès qui le plaça d’emblée au nombre des artistes en vue et qui, ensuite, ne s’est pas démenti. Le 26 août 1900, il a participé à la création de Prométhée (Andros) de Gabriel Fauré aux Arènes de Béziers, et le 26 avril 1906, à celle du Clown (le Clown) d'Isaac de Camondo au Nouveau-Théâtre, à Paris. Cet excellent ténor s’est également produit brillamment aux Concerts Lamoureux à Paris. Il a fait une carrière internationale qui le conduisit notamment à la Scala de Milan et au Metropolitan Opera de New York. A Monte-Carlo, il participa aux créations d'Amica (Giorgio) de Pietro Mascagni le 16 mars 1905 ; de l'Ancêtre (Tebaldo) de Camille Saint-Saëns le 24 février 1906 ; de Théodora (Andréas) de Xavier Leroux le 19 mars 1907 ; du Vieil Aigle (Tolaïk) de Raoul Gunsbourg le 13 février 1909 ; de Pénélope (Ulysse) de Gabriel Fauré le 04 mars 1913 ; de Béatrice (Lorenzo) d'André Messager le 21 mars 1914. Il faut noter qu'avant d'entrer à l'Opéra, Rousselière se produisait principalement au café-concert. Il était à ce titre l’une des vedettes du Petit Ramponneau, établissement de Montmartre, tenu à cette époque par Théophile Pathé, frère de Charles Pathé, le directeur de la maison Pathé frères pour qui il enregistrait alors des cylindres. Source: (http•••)
Charles Rousselière Edmond Vergnet Achard Fauré Mascagni Geraldine Farrar Gounod Charpentier Camondo Gunsbourg Leroux Massenet Messager Odeon 1875 1899 1900 1901 1903 1905 1906 1914 1920 1930 1950
Charles Rousselière +••.••(...)) was a French dramatic tenor whose 20-year career took him to major theaters on both sides of the Atlantic. Born into poverty in the village of Saint-Nazaire-d'Aude in the south of France, Rousselière moved with his family to Algeria as a young boy. Initially, it was expected that he would pursue his father’s trade of a blacksmith, but this profession held little interest for him. After his impressive singing voice caught the attention of friends and family, Rousselière was encouraged to audition for the Paris Conservatory. Landing in Paris at age 19, he was overwhelmed by the fast pace of the city and quickly returned to his family in Algeria. In spite of this disappointing start, Rousselière gathered his courage and tried his luck again the following year. To make ends meet, the young tenor began working the Parisian Café-Concert network. He also auditioned for the Paris Conservatory and won a scholarship. As was the custom, he studied three different musical disciplines…voice, opera and comic opera…which were taught to him by a trio of celebrated tenors, Edmond Vergnet, Adolphe Girardot and Léon Achard, respectively. Following his graduation in 1899, Rousselière sang roles with a few minor companies in France and Belgium. He created the role of Andros in the world premiere of Fauré’s Prométhée at the Arènes de Béziers on August 27, 1900 and six weeks later made his Opéra de Paris debut in the title role of Samson et Dalila. Although he would eventually be overshadowed by other tenors, Rousselière managed to gain a foothold at the Opéra, making an impression in such operas as Faust, Roméo et Juliette, Sigurd and Pagliacci. He created the role of Le Veilleur in the world premiere of Saint-Saëns’ Les Barbares at the Opéra in October of 1901 and Boris in the premiere of Marty’s opera Daria in January of 1905. He also created the role of Giorgio in the premiere performance of Mascagni’s Amica in Monte Carlo in March of that same year. Rousselière’s Met debut came about on November 27, 1906 as Roméo to Geraldine Farrar’s Juliette in Gounod’s opera. Unfortunately, the tenor failed to catch on with New York audiences and only sang 25 performances of six roles during his one season with the company. In February, he left New York, never to return. In spite of his less than stellar showing in North America, Rousselière was still quite popular in Europe and South America. He appeared in Orange, Rome, Palermo, Milan, Madrid, Berlin, Montevideo and Buenos Aires. However, Paris and Monte Carlo were the sites for the tenor’s most important work during the bulk of his career. Rousselière built a repertoire of more than 30 roles including Eléazar in La Juive, Gérald in Lakmé, Don José in Carmen, Énée in Les Troyens, Manrico in Il Trovatore, Pollione in Norma, Canio in Pagliacci, and the title roles in Otello, Don Carlo, Siegfried, Parsifal, Faust and Damnation de Faust. The tenor also created roles in the world premieres of such works as Charpentier’s Julien, Saint-Saëns’ L’Ancêtre, de Camondo’s Le Clown, Gunsbourg’s Le Vieil Aigle, Leroux’s Theodora, Fauré’s Pénélope, Massenet’s Cléopâtre and Messager’s Béatrice. Rousselière’s career experienced an interruption with the onset of the First World War in 1914. Although it is possible that the tenor’s hiatus from the stage was due to his having been conscripted into military service, there are no surviving records to support this theory. He did resume his career following the war, but his return to the stage was short lived. He retired from performing in 1920 at the early age of 45 and devoted his energies to teaching. Rousselière spent his final years in a nursing home in Joué-lès-Tours where he died in 1950. Charles Rousselière left a remarkable legacy of nearly 140 recordings. The majority of these recordings…well over 90 titles…were made during his first sessions for G&T in 1903. The last were recorded for Polydor in 1930, a decade after his retirement. In between, the tenor recorded for Odeon, Dutreih, Disque Ideal, Beka and Pathé. With the exception of a few early discs that are marred by musical errors (probably due to nervousness on the tenor’s part), Rousselière’s recordings provide today’s listener with a fascinating historical legacy. Here, Rousselière sings "Ah, fuyez, douce image" from Massenet's Manon. This recording was made in Paris for The Gramophone & Typewriter Company in 1903.
oder
- Zeitleiste: Komponisten (Europa).
- Indizes (in alphabetischer Reihenfolge): A...