Claire Levacher Vidéos
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2024-05-02
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Pré Ferdinand Hérold Paul McCreesh Bianchi Claire Levacher Schmitt Lamy Lenormand Michael Spyres Emiliano Gonzalez Toro Eric Huchet Opéra Comique Palazzetto Bru Zane Chœur Accentus 1832 2014 2015
Le Pré aux clercs de Ferdinand Hérold du 23 mars au 2 avril 2015 à l'Opéra Comique En savoir plus : (http•••) OPÉRA-COMIQUE de Ferdinand Hérold en 3 actes créé à l’Opéra Comique en décembre 1832. Sur un livret d’Eugène de Planard, d’après Chronique du règne de Charles IX de Prosper Mérimée. Direction musicale, Paul McCreesh Mise en scène et décors, Éric Ruf Costumes, Renato Bianchi Lumières, Stéphanie Daniel Chorégraphie, Glyslein Lefever Collaborateur artistique, Léonidas Strapatsakis Assistante direction musicale, Claire Levacher Assistant mise en scène, Laurent Delvert Assistante décors, Dominique Schmitt Assistantes costumes, Camille Lamy, Sara Sablic Chef de chant, Marine Thoreau la Salle Chef de chœur, Christophe Grapperon Marguerite de Valois, Marie Lenormand Isabelle de Montal, Marie-Eve Munger Nicette, Jaël Azzaretti Baron de Mergy, Michael Spyres Marquis de Comminge, Emiliano Gonzalez Toro Cantarelli, Eric Huchet Girot, Christian Helmer Le brigadier, Olivier Déjean L’exempt du guet, Grégoire Fohet-Duminil Les archets, Thomas Roullon et Jean-Christophe Jacques Danseurs, Anna Beghelli, Camille Brulais, Anna Konopska, Paul Canestraro, Andrea Condorelli, Clément Le Disquay Chœur, accentus Orchestre Gulbenkian Production, Opéra Comique Coproduction, Palazzetto Bru Zane Partenaires associés, Fondation Calouste Gulbenkian, Festival de Wexford En partenariat avec : Palazzetto Bru Zane, RATP, France Musique, France 2
Marianne Crebassa Félix Kévin Amiel Claire Levacher Krüger Perrin Elsbeth Hartmann Bock Orchestre Philharmonique Radio France Théâtre Châtelet Opéra Comique Grand Théâtre Genève Opéra Rouen
Vous attendiez de voir à quoi ressemblait #Fantasio avant de vous décider à y aller ? Alors regardez un peu ce teaser. Bravo à toute l'équipe : Thomas Jolly, Laurent Campellone, Marianne Crebassa, Franck Leguérinel, Marie-Eve Munger, Jean-Sébastien Bou, Loïc Félix, Alix Le Saux, Philippe Estèphe, Enguerrand de Hys, Kévin Amiel, Flannan Obé, Bruno Bayeux, Orchestre Philharmonique de Radio France, Choeur Aedes... Merci à Julien Condemine pour cette vidéo Et pour réserver, c’est par là : (http•••) Du 12 au 27 février Théâtre du Châtelet Direction musicale, Laurent Campellone Mise en scène, Thomas Jolly Collaborateur artistique, Alexandre Dain Décors, Thibaut Fack Costumes, Sylvette Dequest Lumières, Antoine Travert et Philippe Berthomé Assistant direction musicale, Claire Levacher Assistant mise en scène, Katja Krüger Assistant mise en scène pour le chœur, Pier Lamandé Assistant création costumes, Magali Perrin Toinin Chef de Chant, Martin Surot Chef de chœur, Mathieu Romano Fantasio, Marianne Crebassa Le roi de Bavière, Franck Leguérinel La princesse Elsbeth, Marie-Eve Munger Le prince de Mantoue, Jean-Sébastien Bou Marinoni, Loïc Félix Flamel, Alix Le Saux Sparck, Philippe Estèphe Facio, Enguerrand de Hys Max, Kévin Amiel Hartmann, Flannan Obé Rutten, le tailleur, le garde Suisse, Bruno Bayeux Chœur Aedes Orchestre Philharmonique de Radio France Production, Opéra Comique Coproduction, Grand Théâtre de Genève, Opéra de Rouen – Normandie, Opéra national de Montpellier, Croatian National Theater in Zagreb Coréalisation, Théâtre du Châtelet Éditeur, D'après l'édition critique de Jean-Christophe Keck OEK - Boosey & Hawkes- Bote & Bock, Berlin
Alvarado Claire Levacher Beckett Festival Musica 2018
FRANCISCO ALVARADO corps et ombre ensemble s'engloutissent [2018] Florentin Ginot - double bass Ensemble LINEA Adam Starkie - clarinet / bass clarinet Marie Andrée Joerger - accordion Victor Hocquet - percussion Ieva Dudaite - prepared piano Marco Fusi - violin Elodie Gaudet - viola Elsa Dorbath - cello Claire Levacher - conductor Éditions Durand Premiered @ Opéra National du Rhin / Festival Musica 2018 Aide à l'écriture d'une oeuvre originale du ministère de la Culture 2018 « ... que ferais-je sans ce monde sans visage sans questions où être ne dure qu’un instant où chaque instant verse dans le vide dans l’oubli d’avoir été sans cette onde où à la fin corps et ombre ensemble s’engloutissent … » Tirée des « poèmes » de Samuel Beckett, la citation « corps et ombre ensemble s’engloutissent » m’a servi comme inspiration pour établir un type de relation corps/ombre, à trois niveaux distincts dans cette pièce. La relation entre le contrebassiste et sa contrebasse, entre l’instrument soliste et l’ensemble et entre le son de la contrebasse et la construction du matériau musical à travers lui. Ce qui m’a intéressé d’abord dans cette image Beckettienne est que l’ombre cesse d’être un simple reflet du corps, condamnée à suivre chaque geste qui l’est dictée. En s’engloutissant, ils se retrouvent au même niveau et cherchent à s’annuler réciproquement, « versant dans le vide ». J’ai mis à l’œuvre cette idée notamment dans l’élaboration du matériau musical. On pourrait dire que la contrebasse est le corps. En effet, j’ai commencé par composer la ligne de la contrebasse et par faire des analyses spectrales (en me servant des outils informatiques) des sons qui la composent. J’ai pu extraire donc des notes, des champs harmoniques, des rythmes, enfin, un très riche réservoir musical pour écrire ensuite la partie de l’ensemble (l’ombre). Cependant, au cours de l’œuvre, l’ensemble s’émancipera et proposera de nouvelles sonorités qui seront reprises par la contrebasse, alternant les rôles au fur et à mesure. Cette ambigüité concernant la source se constatera dès le début de la pièce, qui commence par une proposition faite par l’ensemble, qu’on pourrait considérer comme le « corps », mais qui est en réalité composée à partir des sons que la contrebasse produira par la suite, dans une sorte de conséquence anticipée. L’idée de corps/ombre est aussi présente dans la gestion de la densité instrumentale dans les moments solistes, d’ensemble et de tutti. Si bien la contrebasse est clairement présentée comme soliste, elle est souvent doublée délicatement par d’autres instruments. Elle se fondra par des moments dans l’ensemble ou elle jouera carrément comme si elle était l’ombre d’un autre instrument. Finalement le rapport corps/ombre, peut-être, le plus concret, est celui du corps même du contrebassiste et de son instrument. En réalité, on a l’impression de voir deux corps qui dansent. Si bien l’instrumentiste manie la contrebasse, cette dernière, étant des grandes dimensions, impose aussi son rythme, une cadence, une inertie du son. Dans le déroulement de cette chorégraphie implicite on pourrait donc se poser la question : Qui est le corps, qui est l’ombre ? Et finalement, qui engloutie qui ? … Francisco Alvarado 2018
ou
- chronologie: Chefs d’orchestre (Europe).
- Index (par ordre alphabétique): L...