Dario Volonté Vidéos
Dernière mise à jour
2024-04-27
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Pyotr Ilyich Tchaikovsky Yevgeny Mravinsky Furtwängler Sviatoslav Richter Con Anima 1840 1844 1893 1960
Pyotr Ilyich Tchaikovsky +••.••(...)) Symphonies n°4,5,6 Pathetique by Yevgeny Mravinsky. Listen to our latest mastering update: (http•••) Qobuz (http•••) Tidal (http•••) Spotify (http•••) Youtube Music (http•••) Apple Music (http•••) Amazon Music (http•••) Deezer (http•••) Soundcloud (http•••) Napster (http•••) Awa日本 (http•••) LineMusic日本 (http•••) QQ音乐 (http•••) *Click to activate the English subtitles for the presentation* (00:00-06:15) Symphony #4 In F Minor, Op. 36 1. Andante Sostenuto, Moderato Con Anima (00:00) 2. Andantino In Modo Di Canzona (18:44) 3. Scherzo_ Pizzicato Ostinato, Allegro (28:02) 4. Finale_ Allegro Con Fuoco (33:52) Listen to our latest mastering update: Youtube Music (http•••) Symphony #5 In E Minor, Op. 64 1. Andante, Allegro Con Anima (41:50) 2. Andante Cantabile, Con Alcuna Licenza (56:23) 3. Valse_ Allegro Moderato (1:08:18) 4. Finale_ Andante Maestoso, Allegro Vivo (1:13:45) Listen to our latest mastering update: Youtube Music (http•••) Symphony #6 In B Minor, Op. 74, _Pathétique 1. Adagio, Allegro Non Troppo (1:24:49) 2. Allegro Con Grazia (1:42:28) 3. Allegro Molto Vivace (1:50:35) 4. Finale_ Adagio Lamentoso, Andante (1:58:57) Listen to our latest mastering update: Youtube Music (http•••) Leningrad Philharmonic Orchestra Evgeny Mravinsky Recorded in 1960 FOLLOW US on SPOTIFY (Profil: CMRR) : (http•••) Download CMRR's recordings in High fidelity audio (QOBUZ) : (http•••) COMMENTAIRE COMPLET : VOIR PREMIER COMMENTAIRE ÉPINGLÉ. Depuis la publication originale de ces enregistrements, l'interprétation des trois dernières symphonies de Tchaikovsky par Mravinski fait autorité. Il y a beaucoup à dire sur les qualités musicales et techniques de ces précieux enregistrements. Mravinski utilise à fond les ressources dynamiques de son orchestre, exigeant le maximum des instruments à vent. Les cordes sont chauffées à blanc » ou, au contraire, d'une couleur sombre très Après avoir entendu la Philharmonie de Leningrad dans ces conditions, l'auditeur a du mal à entendre autre chose. Il a surtout cet art inimitable d'associer les attaques les plus tranchantes à un rubato d'une hardiesse extrême. Aucune distance, mais au contraire un engagement total, une volonté d'assumer jusqu'au bout ce que cette partition peut avoir d'exubérant, voire de redondant. Devant la sonorité miraculeuse, et inimitable elle aussi, des cordes dans le début du second mouvement (les violoncelles !), les dernières réticences que l'on pouvait encore avoir vis-à-vis de l'œuvre tombent définitivement. Ce second mouvement est un miracle, de poésie; c’est une fresque épique que Mravinski déroule lentement, la domptant avec douceur et autorité et qui aboutie à une explosion totale (à la manière de Furtwängler) lors du Climax. Comment entendre mieux cette terrible procession morbide, ce requiem pour lui-même que Tchaïkovski a composé avec la/ Sixième Symphonie*** ? L'implication émotionnelle de Tchaïkovski dans sa musique atteint son sommet dans la dernière année de sa vie, dans la magnifique et profondément émouvante Symphonie « Pathétique », composée en 1893. « Foncièrement subjective », selon les termes mêmes de Tchaïkovski, c'était une symphonie à programme au thème si poignant et si douloureux qu'il versait souvent d'amères larmes en la composant : le mouvement final est un cri de détresse. Ce fut la dernière musique que Tchaïkovski écrivit jamais. Moins d'une semaine après la première il mourut. Mravinski empoigne et subjugue d'emblée l'auditeur. Le drame est présent à tout moment, sans relâche. Son troisième mouvement est une marche fantastique, écrasante, visionnaire. Le mouvement finale est un véritable sombre chant de lamentations, similaire, dans son intensité glaciale, à l’Ile des morts de Böklin. Mravinski est véritablement le seul chef à donner une unité organique au triptyque des trois dernières Symphonies. La trilogie ainsi réalisée, marquée par le thème du Destin, comme on l'a rarement entendu exprimé aussi absolument, constitue non seulement un des sommets de la discographie tchaïkovskienne mais un des plus beaux enregistrements de l'histoire. Tchaikovsky - Piano Concerto No.1 / REMASTERED (Century's record : Sviatoslav Richter / Evgeny Mravinsky): (http•••) Pyotr Ilyich Tchaikovsky PLAYLIST (reference recordings): (http•••)
Dario Volonté Romero Iturralde Pablo Sorozábal Vittorio Terranova Terranova Maschera Panizza Puccini Sirena Malas Festival Musica Teatro Regio Teatro Massimo Teatro Colón Teatro Regio Parma 1963 1982 1998 1999 2009
Aria del segundo acto de la zarzuela La tabernera del puerto, compuesta por Federico Romero Sarachaga y Guillermo Fernández-Shaw Iturralde y música de Pablo Sorozábal. Es una de las romanzas más famosas de la lírica española Interpreta Dario Volonté acompañado de la Orquesta de la Radio Televisión Pública Argentina, dirigida por Marcelo Zurlo ( Diciembre 2009 ) Breve reseña Biografia: Dario Volonté (Nació en Buenos Aires, Argentina en 1963) es un tenor lírico de actuación internacional estudió con el baritono Jose Crea y se perfeccionó luego con el tenor Vittorio Terranova en Milan. Debutó en Buenos Aires con Tosca en el Festival de musica realizado por la Opera de Buenos Aires. En 1998 debuta en Europa con Il Trovatore y Un ballo in maschera en gira por Holanda y Belgica. Se suceden Don Carlos en Bologna, Tosca, I Pagliacci, Manon Lescaut y Fedora en Teatro Regio (Turin), Lucia di Lammermoor en la Opera de Zurich, Il Corsaro en Trieste, Manon Lescaut en el Teatro Massimo de Palermo. En mayo de 1999 debuta en el Teatro Colón con la ópera Aurora de Hector Panizza. Cerrando la temporada del Teatro Colón con Lucia di Lammermoor y el Il Trovatore en el Teatro Regio (Parma). Se destaca como Calaf en Turandot de Puccini Dario Volonté es Excombatiente durante la Guerra de Las Malvinas en 1982 es uno de los sobrevivientes del hundimiento del ARA General Belgrano. Argumento La acción se desarrolla, en la fecha contemporánea al estreno, en el puerto de la ciudad imaginaria de Cantabreda, en el norte de España. En el puerto se encuentra la taberna de Marola. Nadie sabe el origen de Marola, solamente se conoce que la taberna fue costeada por el bandido Juan de Eguía, al que todos creen su marido. El marinero Simpson habla de Leandro (un pescador enamorado de Marola). Marola y Leandro se enamoran. Abel, un adolescene intérprete del acordeón, también se enamora de Marola pero no es correspondido. Un grupo de mujeres del pueblo reprochan a Marola que vuelve locos a todos los hombres, pero ella se defiende recriminándoles que no prestan atención a sus esposos. Juan de Eguía golpea a Marola ante la impotencia de Abel. Al día siguiente Abel cuenta lo sucedido, lo que hace que todos los presentes busquen a Juan para pedirle explicaciones. Leandro conversa con Juan el cual confiesa que Marola es hija suya, ante lo cual Leandro convence a su amada para que huya con el. Juan de Eguía aparece de nuevo y le promete a Leandro la mano de Marola a cambio de que introduzca un fardo de cocaína en la ciudad. Leandro acepta y acompañado de su amada se dirigen en una pequeña embarcación hacia una cueva que solo tiene acceso por mar, para cargar el fardo de cocaina, pero son sorprendidos por una tormenta y desaparecen. Abel canta a la desaparecida Marola, mientras Juan entristecido les cuenta a todos los presentes que ella es en realidad su hija. Poco después el marinero Simpson trae la buena noticia de que Leandro y Marola están vivos y se dirigen al puerto detenidos por los carabineros. Juan confiesa ser el verdadero culpable de todo lo sucedido y es detenido, mientras que Leandro y Marola quedan en libertad. ¡No puede ser! Esa mujer es buena. ¡No puede ser una mujer malvada! En su mirar como una luz singular He visto que esa mujer es una desventurada. No puede ser una vulgar sirena Que envenenó las horas de mi vida. ¡No puede ser! Porque la ví rezar, Porque la ví querer, Porque la ví llorar. Los ojos que lloran no saben mentir; Las malas mujeres no miran así. Temblando en sus ojos dos lágrimas ví Y a mi me ilusiona que tiemblen por mí. Viva luz de mi ilusión,
L’Opéra Royal de Wallonie-Liège fête cette saison son bicentenaire. 200 ans de présence au cœur de la ville pour ce théâtre né de la volonté de ses habitants. Aujourd’hui, nous fêtons ensemble un Opéra ancien et jeune à la fois, un Opéra du XXIème siècle riche d’histoire et tourné vers l’avenir. Pour passer comme il se doit ce cap exceptionnel, toutes les équipes de notre Maison se mobilisent pour offrir une saison hors du commun : un véritable feu d’artifice vocal, musical et scénique qui mettra à l’honneur tant des vedettes internationales que des talents de demain. Neuf grands opéras dont six nouvelles productions ou coproductions internationales, quatre concerts de solistes, deux spectacles participatifs pour le jeune public, un grand spectacle de clôture et de nombreuses surprises, musicales ou non, jalonneront la saison, qui se terminera en apothéose. Après les moments difficiles que nous venons tous de passer, nous vous présentons cette saison exceptionnelle, pour laquelle nous vous attendons les bras ouverts.
ou
- chronologie: Artistes lyriques (Amérique du Sud).
- Index (par ordre alphabétique): V...