Luis Bernardo Jalón Vidéos
Dernière mise à jour
2024-04-28
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Tchaïkovski Beethoven David Walter Alexandre Bloch Bloch Joseph Haydn Orchestre National Lille 2020
Concert enregistré à l’auditorium du Nouveau Siècle – Lille le 19 juin 2020 Programme Tchaïkovski : Sérénade pour cordes Beethoven : Symphonie n°1 – version de chambre, arrangement David Walter Orchestre National de Lille Direction : Alexandre Bloch À l’apogée de sa carrière, Tchaïkovski livre un chef-d’œuvre rayonnant d’optimisme. Correspondant à un moment d’apaisement voire de joie dans la vie tourmentée de ce compositeur, la Sérénade pour cordes Op. 48 jouit d’un élan communicatif d’insouciance et de volupté. Une partition d’un raffinement extrême qui comporte, comme dans les grands ballets du maître russe, une irrésistible valse. Premier jalon de l’épopée symphonique beethovénienne, la Symphonie n°1, composée dans la tonalité légère et lumineuse de do majeur apporte un souffle nouveau et révolutionnaire. Encore très influencé par le modèle classique de son maître Joseph Haydn, le jeune Beethoven s’en détache pourtant en osant des tournures audacieuses qui deviendront sa véritable signature. On y perçoit déjà l’essence-même de toute son œuvre : la liberté. Programme de salle complet ici : (http•••) FIND US : Subscribe - (http•••) Website - (http•••) Instagram - (http•••) Twitter - (http•••) Facebook -(http•••)
Achille Claude Debussy Philippe Entremont Arturo Benedetti Michelangeli Benedetti David Hertzberg 1862 1889 1894 1918 1959 1960
From the LP you see above, issued on the Columbia Masterworks label in 1960, catalogue number MS 6214. Reflets dans l'eau (0:01) L'isle joyeuse (5:07) Danseuses de Delphes (10:36) Achille-Claude Debussy est un compositeur français, né le 22 août 1862 à Saint-Germain-en-Laye et mort le 25 mars 1918 à Paris. En posant dès 1894 avec Prélude à l'après-midi d'un faune, le premier jalon de la musique moderne, Debussy place d'emblée son œuvre sous le sceau de l'avant garde musicale. Il fut brièvement Wagnérien en 1889, puis anticonformiste le reste de sa vie, en rejetant tous les académismes esthétiques. Avec La Mer, il renouvelle la forme symphonique, avec Jeux, il inscrit la musique pour ballet dans un modernisme prophétique, avec Pelléas et Mélisande l'opéra français sort des ornières de la tradition du drame lyrique, tandis qu'il confère à la musique de chambre avec son quatuor à cordes et son trio des accents impressionnistes inspirés. Avec une œuvre modeste en nombre mais si décisive dans l'histoire de la musique, Claude Debussy laisse à jamais l'image du créateur original et profond d'une musique où souffle le vent de la liberté. Plus encore que les romantiques, Debussy marque une rupture avec la forme classique, bien que la perfection formelle et le sens de l'unité qui structurent ses compositions en fassent, d'une certaine manière, un "classique". Sa musique se distingue en effet par une architecture secrète mais souveraine: inspirée parfois des musiques orientales, elle anticipe tantôt le jazz, tantôt la musique contemporaine, mais n'exprime souvent que son propre mystère. Les thèmes sont épars, disséminés, les recherches harmoniques audacieuses, les nuances infinies et les rythmes complexes. Le discours musical debussyste donne globalement l'impression d'être à la fois logique et imprévisible et d'obéir à une rationalité imparable mais inconnue, à une "arithmétique occulte". Ses œuvres sont de prime abord sensorielles, elles visent à éveiller chez l'auditeur des sensations particulières en traduisant en musique des images et des impressions précises. Les titres évocateurs de ses pièces illustrent d'ailleurs assez bien cette ambition, même s'ils ne sont qu'indicatifs et ne constituent pas de « programme » : Des pas sur la neige, La Fille aux cheveux de lin, Ce qu'a vu le vent d'Ouest, La Cathédrale engloutie, etc. (Préludes). Il substitue de cette manière les couleurs aux notes (et préfigure ainsi ce kaléidoscope de timbres que la Seconde Ecole de Vienne appellera klangfarbenmelodie): il n'est qu'à écouter Arturo Benedetti Michelangeli, sans doute le meilleur interprète de son œuvre pianistique, pour accéder à cette synesthésie. Ainsi, même s'il est difficile de le rattacher à un courant artistique, on le qualifie généralement d'« impressionniste », étiquette qu'il n'a lui-même jamais revendiquée et plutôt abandonnée aujourd'hui. "David Hertzberg"
Andres Segurola Isaac Albéniz Darclée Lina Cavalieri Cavalieri Swanson Jalón Caruso Eugenio Giraldoni Mario Sammarco Arturo Toscanini Pietro Mascagni Borgatti Puccini Costanzi Gatti Casazza Galán Liceo San Carlo Opera Company 1875 1894 1895 1901 1902 1908 1932 1951 1953
De familia a medias catalana y vasca, nuestro personaje nació en Valencia el 29 de marzo de 1875. Allí inició sus estudios de Derecho y tomó las primeras lecciones de canto. Trasladado a Barcelona a fines de 1894 por asuntos familiares, cantó en la fiesta de unos amigos. Como invitado estaba nada menos que Isaac Albéniz, quien al escucharlo le recomendó abandonar el Derecho y dedicarse más a fondo al canto, augurándole un buen futuro. Pero el empujón definitivo se lo daría la gran soprano rumana Hariclée Darclée, con la que mantuvo en Barcelona un idilio que no sería sino la primera de las liasons que mantendría a lo largo de su vida con bellas y famosas artistas (Lina Cavalieri, Paula del Manto, Gloria Swanson). Segurola llegó a batirse en duelo en Barcelona para lavar el honor mancillado de la cantante y ésta, entre otros favores, le facilitó cantar por vez primera en el Liceo en una función en beneficio de la propia Darclée (27 de enero de 1895). El resultado fue más que positivo, porque la empresa liceística lo contrató para la inmediata temporada, debutando el 8 de abril de ese año en Los Hugonotes. Las críticas fueron lisonjeras y le empujaron a viajar a Italia para perfeccionar su técnica. Antes de marcharse de Barcelona, Albéniz le prometió contar con él para el estreno de su próxima ópera, Henry Clifford. 1901 supondría un jalón fundamental en su carrera. De nuevo se embarca hacia América, pero en esta ocasión en el seno de una compañía formada, entre otros, por Caruso, Eugenio Giraldoni, Mario Sammarco y la Darclée, y dirigida por el gran Arturo Toscanini. El éxito en Buenos Aires le hizo ganar su primer contrato con el Metropolitan de Nueva York para la temporada 1901/1902. Divertida es la anécdota de su primera actuación en la ciudad de los rascacielos, que no tuvo lugar en el Met, sino en los calabozos de una comisaría y ante un auditorio formado por prostitutas, borrachos y policías. Paseando por Nueva York quedó impresionado por la belleza de una joven que lo miraba fijamente; se dirigió a ella, entablaron conversación y decidieron tomar una habitación en un hotel. Antes de poder llegar a más, la policía irrumpió, los detuvo y los encerró en un calabozo. Más tarde el juez le informaría de que la señorita en cuestión era una prostituta y que ejercer tal oficio fuera de su domicilio estaba prohibido en Nueva York; por ser la primera vez y por tratarse de un forastero fue soltado sin cargos, no sin haber tenido que pasar una noche (Nochebuena, por añadidura) encerrado y cantando para amenizar la velada. De su bolsillo mandó llevar a la cárcel comida y champagne para todos, prostitutas y policías incluidos. Durante los siguientes años encontramos a Segurola en Madrid, Lisboa, Palermo (cantando bajo la dirección de Pietro Mascagni), Trieste, La Habana (jugando al póker con Giraldoni, Borgatti y Puccini durante la travesía) y en una gira por Estados Unidos con la San Carlo Opera Company. A finales de 1908 ya podía permitirse elegir entre las ofertas del Costanzi de Roma, del Colón de Buenos Aires y del Metropolitan. La elección final recayó en el teatro neoyorkino; con él iniciaría una fructífera relación de doce años en aquella edad dorada del Met bajo la dirección conjunta de Gatti-Casazza y Arturo Toscanini y con la estrella indiscutible de Caruso, de quien llegó a ser algo así como su secretario personal . Todo parecía sonreírle al seductor valenciano cuando una desgracia vino a poner fin a una carrera de gloria y sofisticación: un accidente de automóvil, en 1932, le provocó el desprendimiento de ambas retinas y la pérdida de la visión. Aunque algo de la misma logró recuperar, ya se acabaron para él las candilejas y los escenarios. Optó por quedarse en Hollywood. El cansado galán, con su inseparable monóculo, regresó a la Barcelona de sus felices años juveniles en 1951, encontrando sin duda una ciudad abismalmente distinta a la que viese sus primeros escarceos canoros y amorosos. Allí murió el 22 de enero de 1953. Tomado de (http•••)
Vladimir Jurowski Modeste Petrovitch Moussorgski Stravinsky Prokofiev Chostakovitch Debussy Opéra Bastille Théâtre Lyrique 1869 1872 2018
Pour la première fois à l’Opéra Bastille est donnée la version initiale (1869) de Boris Godounov de Modeste Moussorgski. Un compositeur qui, au regard de l’Histoire, s’impose comme un jalon essentiel du développement de la musique au XXe siècle. D’une importance majeure pour Stravinsky, Prokofiev, Chostakovitch ou encore Debussy, Moussorgski, chantre du folklorisme russe, est de ces musiciens ayant œuvré à révolutionner le théâtre lyrique. À la tête de l’Orchestre de l’Opéra, Vladimir Jurowski revient sur les particularités de cette première version, plus politique que la seconde (1872). Boris Godounov de Modeste Petrovitch Moussorgski, du 7 juin au 12 juillet 2018 à l'Opéra Bastille (http•••) The initial version (1869) of Modest Mussorgsky's Boris Godunov is being performed for the first time at the Opéra Bastille. In the light of history, the composer stands out as an essential milestone in 20th century musical evolution. Of major importance to Stravinsky, Prokofiev, Shostakovich and even Debussy, Mussorgsky, the champion of Russian folklore, is one of the musicians who worked to revolutionize lyric drama. Conducting the Paris Opera Orchestra, Vladimir Jurowski discusses the distinctive features of this first version, which possesses a more political tone than the second one (1872). Boris Godounov by Modeste Petrovitch Moussorgski, from 7 June to 12 July 2018 at the Opéra Bastille (http•••)
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- chronologie: Compositeurs (Europe).
- Index (par ordre alphabétique): J...