Ludwig van Beethoven Canzone popolare Video
Ultimo aggiornamento
2024-04-28
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Beethoven Bruno Canino Severino Gazzelloni 1770 1827
Ludwig van Beethoven +••.••(...)) Ten national airs with variations, Op. 107 for piano with accompaniment of a flute - Volkslied aus Kleinrubland (Russian) Bruno Canino, piano Severino Gazzelloni, flute
Manuel Falla Luciano Berio Senn Eduardo Mata Bach Haydn Beethoven Brahms Tchaikovsky Shostakovich Granados Vaughan Williams Bartók Sibelius Claude Debussy Paul Dukas Moor 1876 1946
Falla’s cycle of Seven Popular Spanish Songs is a perfect synthesis of artsong and folksong, performed here in Luciano Berio’s orchestration by Marta Senn and the Simon Bolivar Orchestra of Venezuela under the baton of Eduardo Mata. Composer: Manuel de Falla Artists: Various artists Online purchase or streaming (Spotify, iTunes, Amazon Music, Deezer): (http•••) More Information: (http•••) These tracks are available for sync licensing in videos, films, tv-shows, games, advertising and more. For more information and to request a license go to: (http•••) With its super-budget-priced boxes of Bach, Mozart, Haydn, Beethoven, Brahms, Tchaikovsky and Shostakovich among many others, Brilliant Classics cornered the market in definitive composer editions long before other labels began to follow their lead. Music-lovers can now add a one-stop guide to the thrilling and colourful world of Manuel de Falla to their libraries with this comprehensive collection of his greatest masterpieces in modern digital recordings. As the central figure of Spanish music in the first half of the last century, de Falla +••.••(...)) came to define the sound of Spain for listeners beyond its borders. Folk music, romanticism, neoclassicism, modernism: all the prevalent styles of his time were assimilated and absorbed within a personal idiom that advanced the work of notable predecessors such as Albeniz and Granados in establishing a distinctively Spanish idiom for art music, making him a worthy contemporary of other composers outside the central European mainstream from Vaughan Williams in England to Bartók in Hungary and Sibelius in Finland. Tracklist: El amor brujo: 00:00 Introduccion y escena 00:33 En la Cueva 02:32 Canción del amor dolido 04:12 El aparecido 04:26 Danza del terror 06:35 El circulo mágico 09:08 A media noche 09:47 Danza ritual del fuego 14:04 Escena 15:04 Canción del fuego fatuo 16:58 Pantomima 21:04 Danza del juego de amor 23:49 Final. Las campanas del amanecer Canciones populares españolas: 25:26 El paño moruno 26:44 Seguidilla musciana 28:11 Asturiana 30:42 Jota 33:36 Nana 34:59 Canción 36:03 Polo Homenajas: 37:45 Fanfare 38:49 Á Claude Debussy 42:18 Rappel de la fanfare 42:41 Á Paul Dukas 46:27 Pedrelliana Dances from the Three-Cornered Hat, Suite No. 2: 54:49 The Neighbour’s Dance 58:18The Miller’s Dance 01:01:25 Final Dance La vida breve, Pt. 1: 1:08:02 1st Tableau. Scene 1 1:15:37 Scene 2 1:20:52 Scene 3 1:25:13 Scene 4 1:26:01 Scene 5 1:28:57 Scene 6 1:32:28 2nd Tableau. Intermezzo La vida breve, Pt. 2: 1:38:58 1st tableau. Scene I 1:42:03 Spanish Dance 1:45:22 Scene 2 1:49:10 Scene 3 1:52:41 Orchestral Interlude 1:56:01 2nd Tableau. Dance 1:59:52 Final Scene Master Peter’s Puppet Show: 2:05:46 The Proclamation 2:06:41 Master Peter’s Symphony 2:09:42 The Court of Charlemagne 2:11:33 Entrance of Charlemagne 2:15:03 Melisandra 2:19:07 The Moor’s Punishment 2:20:37 The Pyrenees 2:22:46 The Escape 2:26:55 Finale 2:32:09 Psyché Concerto for Harpsichord: 2:37:14 Allegro 2:40:45 Lento 2:46:29 Vivace Dances from el sombrero de tres picos: 2:50:54 Danza del molinero 2:53:23 Danza de la molinera 2:57:17 Danza de los vecinos 3:00:47 Danza de la vida breve 3:04:16 Homenaje de Claude Debussy 3:07:44 Serenata 3:11:47 Mazurka 3:16:58 Serenata Andaluza 3:22:43 Nocturno 3:27:19 Cancion 3:29:29 Fantasia baetica Noches en los jardines de España, G.49: 3:43:23 En el generalife 3:54:05 Danza lejana 3:59:13 En los jardines de la sierra de Córdoba Piezas Españolas: 4:07:58 Aragonesa 4:11:35 Cubana 4:15:52 Montanesa 4:21:05 Andaluza El amor brujo: 4:25:45 Ritual Fire Dance 4:29:35 Cortejo de gnomos 4:31:55 Vals capricho 4:36:01 Allegro de concierto 4:46:45 Canto de los remeros del volga 4:50:59 Pour le tombeau de Paul Dukas Suite populaire Espagnole: 4:55:14 El paño moruno 4:57:23 Nana 4:59:32 Canción 5:01:02 Polo 5:02:18 Asturiana 5:04:36 Jota Social media links: Instagram: (http•••) Facebook: (http•••) TikTok: (http•••) Spotify: (http•••) Thank you for watching this video by Brilliant Classics, we hope you enjoyed it! Don’t forget to share it and subscribe to our YouTube channel. And visit our channel for other pieces by de Falla and more of the greatest composers. We upload daily with complete albums and compilations with the best classical music. (http•••) #Falla #deFalla #BrilliantClassics #ClassicalMusic #Bach #Mozart #Beethoven #Haydn
Liszt Bach Alexandre Kantorow Kantorow Chopin Tchaïkovski Beethoven Alexandre Siloti Richard Wagner 1714 1835 1837 1840 1862 1876 1880 1882 1883
Le pianiste Alexandre Kantorow interprète Weinen, Klagen, Sorgen, Zagen, prélude de Liszt d'après la cantante BWV 12 de Bach. Extrait du concert donné le 26 mars à l'Auditorium de la Maison de la Radio et de la Musique. En 1835, Liszt quitte Paris avec sa maîtresse Marie d’Agoult pour se rendre en Suisse. À partir de 1837, il séjourne en Italie. Dans ses Années de pèlerinage, il regroupe des pièces qui font écho à cette période, mais dont la composition s’étend jusqu’au début des années 1880. Le cahier médian, « Deuxième année – Italie », comporte trois morceaux inspirés par des sonnets de Pétrarque : il s’agit en réalité de versions pianistiques de mélodies vocales écrites dans les années 1840, ce dont témoigne leur ligne héritée du bel canto. Après une introduction agitato assai, le Sonnet n° 104 « Pace non trovo » prend la forme d’un nocturne influencé par Chopin. Au centre, un épisode passionné et tumultueux traduit le sujet du poème : l’impossibilité pour l’amant d’accéder à une paix intérieure. Liszt, qui compose nombre de ses œuvres instrumentales à partir d’un substrat littéraire, ne pouvait qu’être fasciné par Dante. Le poète, mis en musique par les madrigalistes de la fin de la Renaissance, était ensuite entré dans un purgatoire dont il sort seulement au début du XIXe siècle. Toutefois, seule une partie de son œuvre rencontre la sensibilité romantique : les musiciens choisissent presque toujours la Divine Comédie et privilégient L’Enfer, qui entre en résonance avec leur goût pour le fantastique et leurs interrogations sur le destin de l’homme. En outre, ils assimilent la trajectoire de l’enfer vers le paradis à la quête de l’idéal, Dante à l’artiste romantique. Placée au cœur d’une réflexion sur la poétisation de la musique, la Divine Comédie suscite de nombreuses œuvres instrumentales, presque toutes oubliées de nos jours, à l’exception de celles de Liszt et Tchaïkovski (Francesca da Rimini, 1876). Après une lecture du Dante est esquissé en 1837. Liszt envisage un temps de l’intituler Paralipomènes à la Divina Commedia. Fantaisie symphonique : signe qu’il considère sa pièce pianistique comme un « supplément » à l’œuvre de Dante – non comme une « illustration » – et qu’il ambitionne de lui donner une ampleur orchestrale. La source littéraire motive l’élaboration d’une forme émancipée des schémas préétablis, même si subsistent quelques traces de forme sonate, comme le suggère le sous-titre « fantasia quasi sonata ». Elle encourage des audaces de langage sans équivalent à l’époque : dès les premières mesures, le triton (la-mi bémol), en détruisant tout sentiment tonal, évoque les puissances infernales (depuis le XIe siècle, l’intervalle est associé à Satan et surnommé « diabolus in musica »). Dante « trouvera peut-être un jour son expression musicale dans le Beethoven de l’avenir », suppute Liszt, en s’identifiant à cette figure de prophète. Au fil du temps, son langage devient d’ailleurs de plus en plus audacieux, notamment grâce à l’usage du chromatisme (l’abondance de demi-tons, l’intervalle le plus petit utilisé dans la musique occidentale jusqu’au XXe siècle). Il n’est pas fortuit qu’il compose un prélude à partir du chœur initial de la Cantate Weinen, Klagen, Sorgen, Zagen de Bach (1714), puis qu’il le développe dans une monumentale série de Variations trois ans plus tard, en 1862, au moment du décès de sa fille Blandine. À l’époque baroque, la basse obstinée (une formule de basse sans cesse répétée), chromatique et descendante sur laquelle est fondé le chœur, exprimait en effet la douleur, voire évoquait la mort (Bach l’a d’ailleurs réutilisée dans le Crucifixus de sa Messe en si mineur). « Les pleurs et les lamentations, les tourments et le découragement, l’angoisse et la détresse, voilà le pain noir des chrétiens qui portent le signe de Jésus », chante la cantate. À partir du motif de basse obstinée, Liszt réalise un saisissant drame sonore, où s’expriment l’abattement, la souffrance, le désespoir, mais aussi la révolte devant la cruauté du destin. Au centre de la partition, un épisode en style de récitatif précède la dernière série de variations, laquelle mène à d’amples accords symphoniques. La dernière section cite le choral Was Gott tut, das ist wohl getan (« Ce que Dieu fait est bien fait ») qui conclut la cantate de Bach. Avec cette éclatante péroraison en mode majeur, la lumière triomphe des ténèbres. Comme dans la Divine Comédie, l’âme s’élève de l’Enfer vers le Paradis. Mais les ombres funestes planent constamment sur la musique du dernier Liszt, comme on l’entend dans Abschied (arrangement d’un chant populaire russe, sans doute transmis par son élève Alexandre Siloti) et surtout dans La Lugubre Gondole, donnée ici dans sa deuxième version. Liszt compose cette pièce à la fin de l’année 1882, passée à Venise en compagnie de Richard Wagner (époux de sa fille Cosima). L’auteur de Parsifal est alors victime de malaises cardiaques qui l’emporteront le 13 février 1883. Pressentimen...
Gustav Wohlgemuth Robert Pracht Peter Tschaikowsky Bortniansky Berge Ruggiero Leoncavallo Beethoven Ziegler Roth Keller 1868 2006
"MÄNNER-GESANG-VEREIN 1868 UNTERSCHÖNAU e.V." - Seid gegrüßt vom schönen Haseltal - 01. Sangesgruß ~ Komp.: Othmar Kist 02. Oh Herr gib Frieden ~ Satz: Gerhard Kreutzburg 03. Wie's daheim war ~ Komp.: Gustav Wohlgemuth 04. Das Morgenrot ~ Komp.: Robert Pracht 05. Am Brünnele ~ Komp.: Richard Trunk 06. Zum Wohle ~ Trinkspruch 07. Ich weiß ein Fass ~ Komp.: E. May 08. Capriccio ~ Komp.: Peter Tschaikowsky 09. Ich bete an die Macht der Liebe ~ Komp.: Demetrius Bortniansky 10. Lied auf Unterschönau ~ Komp.: Dieter König 11. La Montanara, "Das Lieder der Berge" ~ Satz: Emil Rabe 12. Bajazzo ~ Komp.: Ruggiero Leoncavallo 13. Die Ehre Gottes aus der Natur ~ Komp.: Ludwig van Beethoven 14. Suliko ~ Volkslied aus Georgien 15. Pferde zu vieren traben ~ Satz: Paul Zoll 16. Arcobaleno ~ Komp.: Heinz Gietz 17. Im schönsten Wiesengrunde ~ Komp.: Reinhold Wörz 18. Balkanfeuer ~ Slawische Volksweise 19. Abend, "Die Sonne ist versunken" ~ Komp.: Hermann Ziegler 20. Caterina ~ Satz: Albrecht Rosenstengel 21. Ein schöner Tag ~ Satz: G. Kasielke 22. Auf Wiedersehen in grünen Bergen ~ Komp. Herbert Roth Solisten: Irina Mankowski & Siegfried Keller Dirigentin: Irina Mankowski Aufgenommen 2006 von Sound-Land, Viernau Der Männergesangverein 1868 e. V. hat seinem Ursprung im 1868 gegründeten Turn- und Gesangverein Unterschönau. Geleitet wird der aus etwa 45 Mitgliedern bestehende Chor von einer Dirigentin. Er ist Mitglied im Sängerkreis Schmalkalden im Chorverband Thüringen e.V. und wurde 1868 gegründet. Zudem bestehen partnerschaftliche Beziehungen zum Männergesangverein der Partnergemeinde Malsfeld und zum Männerchor Zeuthen bei Berlin. Homepage: (http•••) Bei der Einwohnerzahl eine derart große Chorgemeinschaft auf die Beine zu stellen, verdient in jedem Fall Respekt. (http•••) (http•••)o/unterschoenau.html
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- Le più grandi canzoni classiche e lieder
- Opere essenziali: era classica • epoca romantica
- Indici (per ordine alfabetico): C...