Jules Bordier Videos
französischer Komponist
- Klavier
- Frankreich
- Dirigent, Komponist, Pianist
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2024-05-02
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↓ TOUTES LES INFOS CONCERNANT LA VIDEO / LE PROJET ↓ : ▸ MUSIQUE : Billie Holiday - Sugar / ▸ CHER CORPS PRECEDENTS CHER CORPS — VIRGINIE → (http•••) CHER CORPS — ALICE → (http•••) / ▸ LA CHAINE de Tiphaine : (http•••) ▸ LE PROJET : Pour participer au projet, si tu es sur Paris / région parisienne avec possibilité de filmer chez toi, (avec moi bien sûr, impossible de se filmer seule) tu peux m'envoyer un petit mail à : •••@•••, merci ! À SAVOIR : - Je reçois énormément de mails (et c'est génial), désolée si je mets du temps à vous répondre ! - Sous chaque vidéo, on me demande si je vais faire des épisodes avec des hommes. La question revient tous les jours et j’essaye d’y répondre très souvent. Pour l’instant, je continue de me concentrer uniquement sur les femmes et leurs rapports au corps en élargissant certains critères comme l’âge des participantes : des vidéos avec des femmes de plus de 35 ans jusqu’à 60 ans sont en cours de tournage. Le sujet sur les hommes et leurs rapports au corps m’intéresse mais je ne sais pas si je le ferai un jour, j’ai déjà beaucoup à développer avec les femmes. Si vous avez envie de le faire, allez-y ! JE FILME AVEC : - Canon 5D mark II → (http•••) - Canon 50 mm 1.4 → (http•••) - Le Canon 50 mm 1.8 est génial aussi et beaucoup moins cher (100 euros, excellent pour débuter !) → (http•••) - Le canon G7X → (http•••) LE SON avec : - Un enregistreur ZOOM H4N → (http•••) - Un micro cravatte à moins de 30 euros ! → (http•••) / ▸ ME SUIVRE : F A C E B O O K : (http•••) T W I T T E R : (http•••) Y O U T U B E : (http•••) Léa Bordier
Michel Legrand Tournier Giordani Bartel Bordier Martel Duhamel Filippi Bailly Bernier Donat Blancard Rudel 1967 1968
FERNANDEL 1968 / L'Homme a la Buick / Original Promo (The Man in the Buick / Den Mystiske mannen med Buicken / De Man met de Buick / El hombre del Buick) Réalisateur: Gilles GRANGIER Assistant Réal.: Paul FEYDER Adaptation: Gilles GRANGIER Scénario: Gilles GRANGIER d'après le roman «Cher voyou» de Michel LAMBESC Dialogues: Henri JEANSON Musique: Michel LEGRAND Images: Jean TOURNIER Montage: Jacqueline DOUARINOU-SADOUL, Michèle MASNIER Décors: Robert GIORDANI Production: Films COPERNIC / GAFER Directeur de prod.: Roger DE BROIN Son: Jean-Roger BERTRAND Chanson: José BARTEL Tournage: 17 octobre - 16 décembre 1967 à Honfleur, Les Rousses, Paris, pour les extérieurs et dans les studios "Paris-Studio-Cinéma" Procédé: couleurs Eastmancolor - Franscope Type: Comédie policière Durée: 1h 34 Sortie: 19 janvier 1968, à Paris Interprétation: FERNANDEL (Mr Jo - Armand Favrot), Danielle DARRIEUX (Michèle Monnetier - Mme De Layrac), Jean-Pierre MARIELLE (le Marquis), Georges DESCRIERES (Lucien Bordier), Mario DAVID (La Palluche), Michael LONSDALE (l'inspecteur Farjon), Claude PIEPLU (maître Dodelin, le notaire), Raoul CURET (le commissaire de Honfleur), Bernard DHERAN (Martel de la Mothe), AMARANDE (Paulette Bordier), Christian BARBIER (Maxime, le truand), Jacques MARIN (un déménageur), Albert DINAN (le plombier), Claire DUHAMEL (Mme Dodelin, la femme du notaire), Edmond ARDISSON (Filippi), Laurence BADIE (la patronne du bar), Françoise DELBART (l'accompagnatrice), Joëlle JACQUIN (Marie-Louise), Laure PAILLETTE (une domestique), Denise BAILLY (mère à la mairie), Jean DANIEL (le procureur), Raymond JOURDAN (Dr Bernard), Alain NOBIS (M. Lang), Henri CZARNIAK (Tonnerre), Jean RUPERT (Moirier), Claude SALEZ (le menuisier), Christian BROCARD (le tapissier), Gilbert SERVIEN (agent de la mairie), Robert BERRI (agent de la mairie), Max AMYL (agent de la mairie), Paul VILLE (Auguste Lalouette), Marcel BERNIER (un inspecteur), Eric DONAT (le fils Blancard), Jean-François MAURIN (enfant), Benjamin BODA (enfant), Alain NOEL (enfant), Pierre MIRAT (voix de Roger Rudel), Yvette ETIEVANT, etc. Résumé: Au volant de sa puissante Buick, Armand Favrot ne passe pas inaperçu dans les rues d'Honfleur, où il vient d'acquérir une superbe propriété. Les notabilités locales, le notaire Dodelin et son épouse, l'assureur de La Mothe et, surtout, la charmante madame de Layrac, deux fois veuve, ont tôt fait d'adopter ce riche Parisien qui se prétend homme d'affaires. En réalité, c'est un trafiquant ! Mais du genre discret... En effet, sous prétexte d'accompagner des petits citadins en vacances de neige, Favrot se rend régulièrement en Suisse, où il prend livraison de diamants qu'il dissimule dans le boîtier d'un transistor et revend, très cher, à son retour à Paris. Quel douanier irait suspecter de trafic illicite ce brave homme à la voiture pleine d'enfants? Le respectable M. Armand est aussi propriétaire, près de l'Étoile, d'un hôtel où il réunit, pour monter des coups, la petite bande de truands dont il est le chef : Lucien et Paulette, gérants de l'hôtel; Maxime et «La Paluche», les moins malins de l'équipe, mais les plus vicieux; «le Marquis», bellâtre hâbleur et raffiné qui rêve d'un casse au Ritz! On se contentera, cette fois, d'une bijouterie, car Armand a un besoin urgent de liquidités: Michèle de Layrac, devenue sa maîtresse, a en effet entrepris de décorer — avec quel luxe ! — sa résidence d'Honfleur. Le hold-up se déroule comme prévu jusqu'à ce qu'un employé déclenche l'alarme. En fuyant, «le Marquis» reçoit une balle dans l'épaule; Armand le cache chez lui, à Honfleur, où un curieux inspecteur, Farjon, vient l'interroger sur son emploi du temps et ses relations avec la veuve de Layrac. Se croyant soupçonné, Favrot se hâte de «fourguer» les bijoux volés à un receleur qui, peu après sa visite, est assassiné et dévalisé... par Maxime et «La Paluche», qu'Armand démasque au moment même où la police vient les cueillir. Armand échappe de justesse au coup de filet et retourne à Honfleur. Il y découvre une Michèle parfaitement au courant de ses activités car, en son absence, elle a identifié «le Marquis» comme un des complices du hold-up de la bijouterie ! Mais, coup de théâtre, c'est elle que Farjon vient arrêter : elle a empoisonné ses deux maris... Armand respire ! Un matin, le bon M. Favrot s'apprête à retourner en Suisse avec un nouveau chargement de gamins. Farjon surgit et l'interpelle: Maxime et «La Paluche» l'ont dénoncé...
Ruggero Leoncavallo Chatterton Marston Granados Bassano Jules Bordier Calixa Lavallée Adalgisa Gabbi Talbot Aristide Anceschi Bassi Scala 1835 1882 1896 1907 1908
RUGGERO LEONCAVALLO /CHATTERTON) opera lirica nr. 2 Orchestra dell’Opera Ucraina di Dniepropetrovsk, Coro Filarmonico di Pesaro – Silvano Frontalini direttore. Chatterton lives as a lodger in a wealthy home. Unable to live by his writing, he has to look for a job to support himself. Unfortunately, he can only get a job as a servant. The other aspect of the situation is his thwarted and concealed love for Jenny Clark (Kitty Bell in Vigny's play), the wife of the industrialist who is his landlord. Finally, faced with an impossible love and a menial job, a despairing Chatterton kills himself. He is followed immediately in death by Jenny. Recordings Chatterton is notable for being one of the first complete operas ever recorded (in May 1908, by HMV's predecessor the Gramophone Company on multiple 78-rpm discs). The fact that this recording was conducted by the composer himself makes it an outstandingly valuable acoustic document.[4] It has been skilfully restored by the American audio engineer Ward Marston and distributed on CD by his label, Marston Records +••.••(...)). The orchestral playing under Leoncavallo's direction is unpolished and the quality of the cast of singers uneven, with by far the best contribution coming from a renowned La Scala dramatic tenor of the era, Francesco Signorini, who delivers his allotted music (he shares the title role with another tenor, Francisco Granados) with a fine voice and real dramatic conviction. (The 1908 Chatterton is coupled on the Marston reissue with a 1907 recording of Pagliacci in its entirety, featuring a mostly different cast.) Another complete recording of the work exists, released by the label Bongiovanni with the following cast: Renato Zuin, Tiziana Scaciga della Silva, Maurizio Zanchetti, Enrica Bassano, Fabrizio Neri – Orchestra dell’Opera Ucraina di Dniepropetrovsk, Coro Filarmonico di Pesaro – Silvano Frontalini 12 Febbraio 1835, Giovedì première nel Théâtre Français (Comédie-Française) di Parigi di "Chatterton", musiche di scena di Jules Bordier, per il dramma di Alfred de Vigny ("Stello") 1 Aprile 1882, Sabato première (per la C.D.Hess Acme Opera Company) nel Chatterton's Theatre di Springfield (Illinois) di "The Widow", opera in 3 atti di Calixa Lavallée, libretto di Frank H. Nelson {soprani (widow) e (niece), tenore (duke)} 10 Marzo 1896, Martedì première nel Teatro Drammatico Nazionale di Roma di "Chatterton", dramma lirico (opera seria, 1° versione) in 3 atti di Ruggero Leoncavallo (revisione del melodramma in 4 atti), libretto del compositore (da Alfred de Vigny: "Stello"), dirige Vittorio Podesti {soprano Adalgisa Gabbi (Jenny Clark/Caterina Bell), contralto "en travesti" Cremona (Harry/Talbot), tenore Benedetto Lucignani (Tommaso Chatterton), baritoni Giuseppe Cremona (Giorgio) e Aristide Anceschi (Skirner/Lord Lingston), bassi (Lord Klifford/Beckford), Raffaele Terzi (John Clark/Giovanni Bell) e Eraldo Coda (Lord Strafford)}
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