Fritz Rémond senior Video
Ultimo aggiornamento
2024-05-21
Aggiorna
Hector Berlioz Mikko Franck Hoffmann Rémond Orchestre Philharmonique Radio France Nda Salle Conservatoire 1828 1829 1830 1832 1855 2019
Sous la direction de Mikko Franck, l'Orchestre philharmonique de Radio France joue la "Symphonie fantastique" op. 14 d'Hector Berlioz. Concert donné en direct de l'Auditorium de la Maison de la Radio à Paris le 2 mai 2019. Symphonie fantastique op. 14 ou Épisode de la vie d'un artiste, symphonie fantastique en cinq parties : I. Rêveries - Passions II. Un bal III. Scène aux champs IV. Marche au supplice V. Songe d'une nuit du sabbat La création de l’Épisode de la vie d’un artiste eut lieu le 5 décembre 1830, quelques jours avant le vingt-septième anniversaire de Berlioz, dans la mythique salle du Conservatoire de Paris (devenu aujourd’hui Conservatoire d’art dramatique), qui resta pour le compositeur, jusqu’à la fin de sa vie, un modèle en matière de proportions et de vertus acoustiques. L’expression « symphonie fantastique » n’était encore ce soir-là qu’un sous-titre inspiré d’E.T.A. Hoffmann, dont les Phantasiestücke avaient été baptisés en français Contes fantastiques. C’est au fil des années et des exécutions de l’ouvrage que le titre Symphonie fantastique s’imposa peu à peu, Berlioz réservant alors l’expression Épisode de la vie d’un artiste pour désigner l’ensemble composé par la symphonie suivie de son complément Le Retour à la vie (créé en 1832 à Paris, revu et corrigé à Weimar en 1855 sous le titre Lélio, ou le retour à la vie). Œuvre d’une première maturité, la Symphonie fantastique consacre la reconnaissance du compositeur : après des essais dans différents domaines (messe, opéra, ouverture, mélodie...), Berlioz vient de composer une œuvre dont il est particulièrement satisfait : les Huit Scènes de Faust +••.••(...)). Mais son enthousiasme pour cette partition retombe vite et, « toujours sous l’influence du poème de Goethe », il entreprend la composition d’une « symphonie descriptive de Faust » qui illustre le « genre instrumental expressif ». Ce sera la Symphonie fantastique, qui permet au théâtre, même s’il s’agit d’un théâtre imaginaire, de faire irruption dans le concert : « Nous allons monter la symphonie comme on fait pour un grand opéra », écrit Berlioz. La Symphonie fantastique, les dessous d'un chef-d'œuvre par Anne-Charlotte Rémond : (http•••) Retrouvez tous les concerts et opéras en vidéo de France Musique sur (http•••) Cliquez ici pour vous abonner : (http•••) Suivez nous sur: - Facebook - (http•••) - Twitter - (http•••) - Instagram - (http•••)
Henry Eccles Eccles Giuseppe Valentini Koussevitzky Jean Baptiste Loeillet Londres Rémond Saito 1670 1680 1681 1713 1720 1730 1742 1753 1874 1928 1951 2021
Henry Eccles/Giuseppe Valentini Trois sonates pour contrebasse et basse continue Sonata Quarta - Grave : 00:10 -Presto : 02:10 -Adagio : 04:55 -Gavotte Allegro : 06:46 Sonata Settima -Adagio : 08:32 -Allegro : 11:15 -Adagio : 13:30 -Gavotte Allegro : 15:18 Sonata Ottava Largo : 17:09 Allegro : 19:32 Plainte Adagio : 21:03 Vivace : 22:21 Henry Eccles Eccles (Londres 1670- Paris 1742) est un violoniste qui vécut durant le dernier tiers du XVIIe siècle et la première moitié du XVIIIe siècle, d’abord en Angleterre où il est né, puis en France où il s’installe définitivement vers 1713. Seule la onzième du premier livre de douze sonates pour violon, édité à Paris en 1720, a permis à son nom de ne pas sombrer totalement dans l’oubli. Négligée par les violonistes, elle est sortie de l’oubli au 20eme siècle grâce à Serguei Koussevitzky +••.••(...)), chef d’orchestre, compositeur et contrebassiste virtuose de son temps qui la transcrivit pour son instrument et réalisa en 1928 un enregistrement de son premier mouvement. Depuis lors, on la joue dans son intégralité à la contrebasse, au violoncelle et au tuba sur la base d’éditions modernes bien éloignées dans leur réalisation des concepts originaux de l’interprétation des musiques des 17eme et 18eme siècles. Aujourd’hui, les violonistes baroques en redécouvrent enfin l’intérêt. Cependant, les choses se compliquent lorsque l’on constate que « monsieur Eccles anglois » a copieusement piraté certains de ses contemporains pour parvenir à éditer ce premier recueil, que ce soit Jean Baptiste Loeillet de Londres +••.••(...)) dont il utilise l’intégralité de sa seconde sonate ( !) ou de façon toute aussi flagrante Giuseppe Valentini +••.••(...)) à qui il « emprunte » nombre de mouvements de son opus 8 constitué intitulé Allettamenti per caméra a violino, violoncello, o cembalo, recueil édité quelques années avant celui d’Eccles. Quoi qu’il en soit de l’authenticité pour le moins douteuse de l’œuvre d’Eccles, il est néanmoins tentant d’aller rechercher dans les deux volumes qui nous sont parvenues (un second recueil de douze sonates a suivi le premier) d’autres possibilités de transcription pour la contrebasse qui ne possède quasiment pas de répertoire original à l’époque baroque. Pour adapter ces sonates afin qu’une interprétation sur la contrebasse puisse être crédible, il a fallu les transposer dans des tons plus adaptés à l’instrument, mais aussi quelquefois transposer à l’octave inférieure la basse afin d’éviter des renversements d’accords inappropriés si la mélodie venait à sonner en dessous du continuo qui la supporte. Concernant la réalisation du continuo elle-même, elle tente d’éviter la surcharge constatée dans beaucoup d’éditions de la fameuse onzième sonate parues à une époque où les préoccupations musicologiques n’étaient pas les mêmes qu’aujourd’hui. L’ornementation et les différentes articulations des éditions originales d’Eccles et de Valentini ont été le plus possible respectées. Ainsi, et même si ces adaptations ne revendiquent pas une authenticité musicologique incontestable (le texte original ne l’est pas !), elles ont cependant l’ambition de suggérer aux contrebassistes de nouveaux morceaux représentatifs de l’époque baroque adaptés à leur instrument. Pour les douze mouvements des trois sonates enregistrées ici, le nom du véritable compositeur est indiqué, dans la mesure de nos connaissances. Ainsi, les mouvements pour lesquels nous n’avons pas la certitude d’un quelconque plagiat ont été attribués à Henry Eccles. Hervé Rémond Juillet 2021 enregistré à Perpignan le 2 juillet 2021 Hervé Rémond (contrebasse) Maï Saito (clavecin et orgue positif)
Sergueï Prokofiev Lilya Zilberstein Sascha Goetzel Dupuis Rémond Opéra National Lorraine Salle Poirel 2018
Quelques notes du concerto pour piano et orchestre n° 3 en do majeur, opus 26 de Sergueï Prokofiev par la pianiste moscovite. Lilya Zilberstein est accompagnée par Sascha Goetzel à la baguette de l’orchestre de l’Opéra National de Lorraine pour cette générale du concert donné les 12 et 13 avril 2018, salle Poirel à Nancy (54). Images. Jean-Christophe Dupuis-Rémond. France 3 Lorraine Abonnez-vous à notre chaîne YouTube : ► (http•••) Retrouvez-nous sur nos sites : ► (http•••) Retrouvez-nous sur Facebook : ► (http•••) ► (http•••) ► (http•••) Retrouvez-nous sur Twitter : ►(http•••) ► (http•••) ► (http•••)
o
- cronologia: Cantanti lirici.
- Indici (per ordine alfabetico): R...