Laurent de Rillé Vidéos
compositeur français
Commémorations 2024 (Naissance: Laurent de Rillé) 2025 (Décès: Laurent de Rillé)
- France
- compositeur ou compositrice, musicologue
Dernière mise à jour
2024-05-05
Actualiser
Friedrich Gulda Beethoven Österreicher Knapp Bach Woo Frédéric Chopin Wolfgang Amadeus Mozart Kenner Freund Boris Blacher Scheibe Victoria Hall 1827 1930 1946 1947 1949 1958 2000
Ludwig van Beethoven[1770-1827] Klaviersonate Nr. 15 D-Dur op. 28 [Pastorale] I. Allegro II. Andante III. Scherzo: Allegro vivace IV. Rondo: Allegro ma non troppo Friedrich Gulda, piano / Hauptbahnhof Genf, Oktober 1946: In einer kleinen Gruppe verhungerter und verschreckter Österreicher, die zum ersten Genfer Musikwettbewerb nach dem Ende des 2. Weltkrieg anreisten, war auch der sechzehnjährige Friedrich Gulda. Unter Dutzenden von Mitbewerbern erreichte er knapp den Einzug ins Finale der ersten zwölf. Als Letzter hatte er spät Nachts in der Victoria Hall zu spielen. Bereits nach den ersten Tönen war die Jury wieder hellwach. Sein Auftritt wurde zur Sensation, der junge Pianist war mit einem Schlag weltberühmt geworden. In den folgenden vier Jahren spielte er sich scheinbar mühelos in die erste Reihe der internationalen Klaviermeister. Wie Friedrich Gulda damals klang, das ist jetzt erstmals auf CD dokumentiert. Zwischen 1949 und 1958 nahm Gulda alle Beethovensonaten für die Decca in London auf. Seit dieser weltberühmten Schallplatten-Edition ist das Schaffen des am 27. Januar 2000 verstorbenen Pianisten lückenlos auf LP und CD festgehalten. Das zumindest glaubte man bis heute. Dass Decca/Universal zum 75. Geburtstag des Meisters am 16. Mai 1930 dessen erste Aufnahmen aus den Jahren 1947 bis 1949 auf CD veröffentlicht, ist eine kleine Sensation. Die First Recordings bieten die einzigartige Möglichkeit, den Frühvollendeten mit einem für ihn damals typischen Programm zu hören: J.S. Bach mit “Präludium und Fuge G-Dur BWV 860”, zwei Menuette sowie die Fuge aus “Toccata und Fuge in c-MolI”. Von Beethoven nahm Gulda die “Bagatelle B-Dur op. 119, Nr.11” und “Sechs Ecossaisen Es-Dur WoO 83” auf. Es folgen von Frédéric Chopin die “Berceuse Des-Dur”, die Etüden “As-Dur” und “f-Moll” sowie die “Ballade Nr. 3, As-Dur”. Einzigartig ist die Aufnahme von Sergej Prokofieffs “Klaviersonate Nr. 7 B-Dur op. 83”. Es existiert keine weitere Prokofieff-Einspielung Guldas, obwohl er dessen Werke in den ersten Jahren seiner Karriere häufig spielte, später dagegen nicht mehr. Zeit seines Lebens dagegen begleiteten ihn die Werke Debussys und Mozarts. Das First-Recordings-Album enthält auch Debussys “L’isle joyeuse” und “Reflets dans l’eau” sowie die “Klaviersonate D-Dur” von Wolfgang Amadeus Mozart. First Recordings ist ein Aha-Erlebnis, auch für den Kenner: Hört man den damals siebzehn bis neunzehn Jahre alten Pianisten, dann wird einem klar, was unter “frühvollendet” zu verstehen ist. Der Musikpublizist Joachim Kaiser, Autor des Booklettextes von First Recordings, berichtet von einem Gespräch mit Gulda: “Wenn man Gulda über die Jahrzehnte hin' verfolgte' als Kritiker und Freund — seine Perfektion bewundernd, sein Repertoire bestaunend, seine exzentrische Eskapaden bedauernd — dann mochte man zunächst kaum glauben, dass seine Aussage wirklich zutreffe, er habe eigentlich ‘nur zwischen seinem 13. und 16. Lebensjahr geübt’. Mit 17 sei er als Pianist ‘fertig’ gewesen.” Die schillernde Figur, die er war, als die er sich inszenierte, konnte eines nie überdecken. Ein Faszinosum war Friedrich Gulda nicht wegen seiner Skandale geworden, sondern einfach deshalb, weil er ein Klavier-Genie war. “Das Genie, das so gerne Talent gewesen wäre”, titelte Wolfgang Sandner einmal in der Frankfurter Allgemeinen Zeitung im Hinblick etwa auf Guldas Jazzambitionen. Im Beiheft zu den First Recordings schreibt Joachim Kaiser: "Der Komponist Boris Blacher sagte damals lächelnd zu mir, dass er ‘Klassik’ eigentlich nur noch von diesem Gulda ertragen könne Die Platten waren zwar wieder gefunden, doch es stellte sich die Frage, wer heute überhaupt noch mit dieser Technologie umgehen kann? Durch jedes Abspielen veränderte sich die Größe der Rille. Für eine neue, wenig gespielte Platte benötigte man eine kleine Nadel. War die Scheibe oft abgespielt, brauchte man eine dickere, um zu guten Ergebnissen zu kommen. Product Manager Oliver Wazola wandte sich an Bob Jones in London, dem ehemaligen Decca-Chef-Remasterer. Nachdem er für diese spezielle Herausforderung reaktiviert worden war, sandte Jones bereits nach wenigen Tagen eine professionell remasterte CD-R nach Berlin ins Decca-Büro bei Universal. Dann setzte sich noch ein zweiter Spezialist, der in den Emil Berliner Studios unter anderem die legendäre “Berlin-Ballroom-Edition” remastered hatte, mit Friedrich Guldas ersten Einspielungen auseinander. Das Resultat: First Recordings vermitteln dem Hörer den Eindruck, als wäre der 17-jährige Friedrich Gulda erst gestern im Aufnahmestudio gewesen. KlassikAkzente by berlinzerberus
Jacques Offenbach Laurent Rillé Carpentras Carltheater 1861 1862 1863 1873
Apothicaire et Perruquier est une opérette-bouffe en un acte dont la musique est composée par Jacques Offenbach et le livret écrit par Élie Frébault. La première a eu lieu le 17 octobre 1861. Il s'agit d'un « pastiche » dans le style vocal du XVIIIe siècle. Le livret de cette « opérette du temps jadis » a d'abord été mis en musique par Laurent de Rillé, mais la partition a été perdue. Offenbach compose donc une nouvelle musique dans le style classique dont la première a lieu le 17 octobre 1861 à la Salle Choiseul (Théâtre des Bouffes-Parisiens de Paris). Elle est jouée en 1862 au Carltheater de Vienne, puis en 1863 à Berlin et à Ljubljana. Plus tard, l'opérette est représentée en même temps que La Permission de dix heures en septembre 1873 au Théâtre de la Renaissance. L'action se déroule dans un salon modeste à l'époque de Louis XV. Boudinet lit une lettre de son vieil ami, l'ancien apothicaire Plumoizeau de La Palisse, retenu à cause de sa santé. Boudinet a donné son accord au mariage de sa fille Sempronia avec le fils de Plumoizeau, Théobule, alors que les deux jeunes gens ne se sont jamais vus. C'est le jour de la cérémonie, il attend le perruquier de la mariée, qui doit arranger sa coiffure, et le futur mari de celle-ci que son père a qualifié dans sa lettre de timide et un peu susceptible. Le coiffeur Chilpéric fait son entrée, mais Boudinet le prend pour le fiancé et lui fait mille compliments, l'invitant à dîner, mais ne lui permettant pas de voir sa fiancée. Alors que Boudinet part vérifier la préparation de l'événement, Chilpéric resté seul chante une romance (Un ange, une femme inconnue) à propos d'une jeune fille qu'il a rencontrée à Carpentras et qui avait les plus beaux cheveux du monde. Lorsque Sempronia entre à son tour, les deux jeunes gens se reconnaissent immédiatement (Que vois-je ? suis-je le jouet dune apparition ? Est-ce une illusion décevante ! Veillais-je ou dormais-je ?), mais elle pense qu'il s'agit du fils de l'apothicaire. Lorsque le jeune apothicaire Plumoizeau arrive, Boudinet (qui le prend pour le perruquier) le blâme pour son retard, car la cérémonie ne peut commencer sans lui... les quatre personnages expriment leur sentiment dans un chant d'ensemble. Il est demandé au fils Plumoizeau d'aller coiffer la jeune fille, ce pour quoi il est bien incapable. Après des quiproquos entre le père et le vrai coiffeur, Sempronia revient coiffée n'importe comment, et se plaint du prétendu perruquier qui a cassé son beau peigne en écaille de tortue. Chilpéric se propose d'arranger tout cela et ils sortent de scène. Boudinet et le fils Plumoizeau se disputent, car le père se plaint que sa fille ne soit pas coiffée et le futur marié se plaint d'être si mal traité par le vieil ami de son père. Sempronia revient pendant la dispute et au milieu de la confusion générale elle déclare qu'elle est amoureuse de Chilpéric. Pour Boudinet, il est impossible que sa fille refuse sa main à un Plumoizeau. Entendant cela, Chilpéric révèle que son nom de famille est aussi Plumoizeau ; en fait c'est un cousin du fils de l'apothicaire, Théobule et les deux cousins s'embrassent et décident d'aller dîner ensemble. Mais Boudinet les en empêche et consent au mariage de Sempronia avec le coiffeur en présence du jeune apothicaire. Le chant final réconcilie tout le monde : « Vous allez entrer en ménage, gardez-vous (gardons-nous) bien tous deux après six mois de mariage de vous (nous) prendre aux cheveux ! » Photo by Chris Karidis on Unsplash Photo by Joshua Humphrey on Unsplash Wizard's Apothecary by Rusty001 (http•••) (http•••) Apothecary by MonsterBrand (http•••) apothecary by maileroseland (http•••) (http•••) Sur ce, si vous avez aimé cette vidéo, n' hésitez pas à mettre un pouce en l'air, à la partager, et/ou à vous abonner. N'hésitez pas à laisser vos commentaires, ça fait toujours plaisir d'avoir des retours (fussent-t'ils négatifs) Bonne écoute et passez de bons moments en musique :-)
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Laurent de Rillé ? Nous n'avons pas encore rassemblé beaucoup de contenu sur ce sujet, mais nous continuons à chercher.
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