Antoine Elwart Video
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- opera
- Francia
- compositore, musicologo, insegnante di musica
Ultimo aggiornamento
2024-05-13
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Gouvy Antoine Elwart Carl Eckert Franz Liszt Hector Berlioz Vigoureux 1815 1851 1994
"Né en Sarre peu après qu'elle fut devenue prussienne en 1815 suite à la bataille de Waterloo et au traité de Paris, Gouvy fut prussien de naissance alors que deux de ses frères aînés (nés à Goffontaine antérieurement encore en France) furent français. Il fut scolarisé au collège de Sarreguemines puis au lycée de Metz. Il étudia le Droit puis la musique à Paris. Le Conservatoire de Paris lui demeurant fermé, en raison de sa nationalité prussienne, il suivit des cours privés avec Antoine Elwart et Carl Eckert. Il se perfectionna ensuite au contact des musiciens de Francfort, Leipzig, Berlin où il rencontra entre autres Franz Liszt. Il séjourna ensuite à Rome. Il ne put accéder à la citoyenneté française par naturalisation qu'à 32 ans. Gouvy vécut et écrivit longtemps à Hombourg-Haut en Moselle chez son frère maître des forges. Il fut un homme de double culture, française et allemande, d'où il tira son inspiration, sa particularité et sa force, devenant finalement un européen avant l'heure. Bien qu'il y fut connu et reconnu de son vivant, il tomba quelque peu dans l'oubli après sa mort. Hector Berlioz a écrit dans le Journal des Débats du 13 avril 1851 « Qu'un musicien de l'importance de M. Gouvy soit encore si peu connu à Paris, et que tant de moucherons importunent le public de leur obstiné bourdonnement, c'est de quoi confondre et indigner les esprits naïfs qui croient encore à la raison et à la justice de nos mœurs musicales. » Hélas, Berlioz n'y changea rien et Gouvy resta largement ignoré jusqu'à la fin du XXe siècle. C'est toute l'action entreprise dans sa région la Lorraine et la redécouverte de son Requiem, avec son vigoureux Dies iræ, qui le fit sortir à nouveau de l'ombre en 1994. Gouvy fut membre de l'Académie des Beaux-Arts en France et de l'Académie royale de Berlin.", WIKIPEDIA
Louis Théodore Gouvy Marie Josèphe Jude Antoine Elwart Zimmerman Franz Liszt Karl Anton Eckert Eduard Franck Niels Gade Hector Berlioz Vigoureux Falcone Palazzetto Bru Zane 1815 1819 1851 1853 1856 1858 1863 1874 1875 1876 1898 1994 2013
Version de travail (non mixée, non étalonnée). Sonate pour deux pianos en ré mineur op. 66, Théodore Gouvy +••.••(...)ème mouvement. Jean-François Heisser & Marie-Josèphe Jude, pianos Joué le lundi 10 juin 2013 au Théâtre des Bouffes du Nord, à Paris, dans le cadre du "Festival Palazzetto Bru Zane" Captation CERIGO Films. Louis Théodore Gouvy est un compositeur français, né à Goffontaine (actuellement un quartier de Sarrebruck en Allemagne) le 3 juillet 1819 – mort à Leipzig le 21 avril 1898. Il est enterré à Hombourg-Haut en Lorraine. Né dans une famille francophone en Sarre peu après qu'elle fut devenue prussienne en 1815 à la suite de la bataille de Waterloo et du traité de Paris, Gouvy fut prussien de naissance alors que deux de ses frères aînés (nés à Goffontaine, antérieurement encore en France) furent français. Il fut scolarisé au collège de Sarreguemines, puis au lycée de Metz. Il étudia le droit puis la musique à Paris. Le Conservatoire de Paris lui demeurant fermé en raison de sa nationalité prussienne, il suivit des cours privés avec Antoine Elwart, Pierre-Joseph Zimmerman1. Il se perfectionna également au contact des musiciens de Francfort, Leipzig et Berlin, où il rencontra entre autres Franz Liszt. Il séjourna ensuite à Rome où il fréquenta un cercle de musiciens parmi lesquels Karl Anton Eckert, Eduard Franck et Niels Gade. Il ne put accéder à la citoyenneté française par naturalisation qu'à 32 ans. Gouvy vécut et écrivit longtemps à Hombourg-Haut en Moselle, chez son frère maître des forges. Il fut un homme de double culture, française et allemande, d'où il tira son inspiration et sa particularité. Bien qu'il y fût connu et reconnu de son vivant, il tomba quelque peu dans l'oubli après sa mort. Hector Berlioz a écrit dans le Journal des Débats du 13 avril 1851 : « Qu'un musicien de l'importance de M. Gouvy soit encore si peu connu à Paris, et que tant de moucherons importunent le public de leur obstiné bourdonnement, c'est de quoi confondre et indigner les esprits naïfs qui croient encore à la raison et à la justice de nos mœurs musicales. » Mais Berlioz n'y changea rien et Gouvy resta largement ignoré jusqu'à la fin du xxe siècle. C'est toute l'action entreprise dans sa région, la Lorraine, et la redécouverte de son Requiem, avec son vigoureux Dies iræ, qui le fit sortir à nouveau de l'ombre en 1994. Gouvy devint membre de l'Académie des beaux-arts en France (1874) puis de l'Académie royale de Berlin (1875). Il fut également membre fondateur de la Société nationale de musique. Bien que résident en Allemagne après le Traité de Francfort par lequel l'Alsace-Moselle fut annexée à l'Empire allemand, Théodore Gouvy fut nommé chevalier de la Légion d'honneur en 1876. L'œuvre de Gouvy demeure largement méconnue bien qu'elle comporte plus de 200 compositions, dont 90 opus publiés de son vivant, . Il a notamment écrit 84 compositions pour grand orchestre, dont neuf symphonies, des ouvertures et des variations. La musique de chambre y occupe une très grande place et compte notamment quatre sonates en duo, cinq trios avec piano +••.••(...), 1863), onze quatuors, sept quintettes, un énorme répertoire pour piano – à deux et quatre mains – et pour deux pianos, plusieurs partitions pour ensembles à vent, ainsi que de très nombreuses mélodies et des Lieder. On connaît aussi cinq grandes cantates dramatiques – Aslega, Œdipe à Colone, Iphigénie en Tauride, Électre et Polyxène –, deux opéras – Le Cid et Mateo Falcone – ainsi que des grandes œuvres religieuses, dont un Requiem, un Stabat Mater, une Messe brève et la cantate Golgotha. Régis Meyer
Jules Louis Olivier Métra Hupfeld Ullmann Einert Antoine Elwart Johann Strauss Duval Jacques Offenbach Louis Ganne Robert Planquette Charles Lecocq Edmond Audran Léon Vasseur 1830 1842 1855 1872 1874 1877 1878 1879 1885 1888 1889 1930 2000 2021
Jules Louis Olivier Métra +••.••(...)) LA SÉRÉNADE Valse Espagnole Notenrolle "Animatic S" der Firma Hupfeld (Leipzig), Klavier "Hupfeld Animatic Clavitist" mit Schlagzeugschrank Vielen Dank an Philipp Ullmann, UPhi´s Musikkabinett, Glauchau (C) Jörg Einert, 05/2021 Jules Louis Olivier Métra (* 2. Juni 1830 in Reims; † 22. Oktober 1889 in Paris) war ein französischer Komponist und Dirigent. Der Sohn des Schauspielers Jean Baptiste Métra stand bereits als Kind mit seinem Vater auf der Bühne. 1842 debütierte er am Pariser Théâtre Comte. Daneben erlernte er autodidaktisch das Violinspiel und leitete neunzehnjährig das Orchester bei einem Ball am Boulevard Rochechouart. Auf Anraten eines Orchestermusikers besuchte er daneben Kurse von Antoine Elwart am Pariser Konservatorium, wo er einen ersten Preis im Fach Harmonielehre erhielt. Ab 1855 leitete er das Orchester des Bal Mabille. In dieser Zeit entstanden viele seiner Walzer, die ihm zu großer Popularität verhalfen, wie Le Tour du Monde, Valse des Roses, Gambrinus, La Nuit und La Sérénade. Von 1872 bis 1877 war er Orchesterchef an den Folies Bergère, für die er mehrere Ballette komponierte, darunter Les Volontaires. Daneben leitete er 1874–76 die Opernbälle an der La Monnaie in Brüssel. 1877 engagierte ihn Henri Halenzier-Dufreynoy, der Direktor der Pariser Oper, gemeinsam mit Johann Strauss als Dirigent des Opernballs. 1878 komponierte er im Auftrag Halenziers das japanische Ballett Yedda, das im Januar 1879 mit großem Erfolg aufgeführt wurde. 1885 gründete er im Palais Vivienne die Soirées Métra, die aus Promenadenkonzerten, Bällen und den Mittwoch- und Samstag-Nacht-Festen bestanden. 1888 erschien am Théâtre des Bouffes-Parisiens seine Operette Le Mariage avant la Lettre nach einem Libretto von Alphonse Jaime und Georges Duval. Neben Walzern und Operetten komponierte Métra zahlreiche Arrangements von Operetten anderer Komponisten wie Jacques Offenbach, Emile Tédesco, Louis Ganne, Robert Planquette, Charles Lecocq, Edmond Audran und Léon Vasseur. Kompositionen Métras wurden als Filmmusiken u. a. in Ciboulette (von Claude Autant-Lara, 1930) und Les Destinées Sentimentales (von Olivier Assayas, 2000) verwendet.[1]
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